2ème étape de la course de cyclisme « Grand Prix de la ville de Pirae » 15/04/2016
Dimanche 17 avril - Départ A partir des jardins de l’Hôtel de ville
06h45 - Rassemblement des coureurs dans les jardins 07H30 - Départ donné à partir des jardins de l’Hôtel de ville de Pirae par le représentant du Maire de Pirae, Mr Abel Temarii, 2è adjoint au maire en charge du sport. 09H00 - Arrivée devant les jardins - Remise des prix Organisateur : Fédération Tahitienne de cyclisme - (689) 40 45.10.91 – email : [email protected] Compte rendu du Conseil des ministres du 13 avril 13/04/2016
Locations de lots dépendant du lotissement agricole « Faaroa » à Raiatea
Sur proposition du Président de la Polynésie française et après avis de la commission d’attribution des lots agricoles, le gouvernement a autorisé la location, au profit de huit producteurs, de lots agricoles du lotissement agricole « Faaroa » au sein de la commune de Taputapuatea à Raiatea. Ces locations sont assujetties au respect des clauses du cahier des charges du lotissement agricole moyennant un loyer annuel de 10 000 Fcfp par hectare. Elles sont établies pour une durée de neuf ans à compter de la signature du bail à des fins agricoles pour la plupart et à des fins d’élevage de bovins. Bilans et perspectives de la filière photovoltaïque en Polynésie française Le Vice-président, en sa qualité de ministre de l’énergie, a présenté au Conseil des ministres le bilan et les perspectives de la filière photovoltaïque en Polynésie française. En 2009, le gouvernement prévoyait pour 2020 une puissance installée de 16MWc et un productible de 24GWh pour la filière photovoltaïque. Fin 2015, 1 500 producteurs d’électricité ont investi dans le photovoltaïque pour une puissance installée de près de 27 MWc, soit 68 % de plus que l’objectif initial et plus de 170 clients sont autorisés et en attente de réalisation ou de raccordement d’une installation photovoltaïque pour une puissance de 8,8 MWc. Entre 2010 et 2015, les prix des installations photovoltaïques ont été divisés par 4 en passant de 850 F/Wc à 210 F/Wc. Avec ces nouveaux tarifs et sans aucune aide (tarifs attractifs ou défiscalisation), le retour sur investissement est aujourd’hui de 7 à 8 années au maximum. Le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux électriques est déjà atteint plusieurs jours par an sur certaines îles, notamment les plus importantes à savoir Tahiti, Bora Bora ou Nuku Hiva. Ce franchissement de seuil est pour partie à l’origine du ralentissement de la filière observé à partir du second semestre 2015. Ce seuil représente une limite potentiellement bloquante pour la filière photovoltaïque. En effet, au delà de ce seuil, des problèmes de stabilité peuvent survenir sur les réseaux électriques pouvant occasionner des délestages partiels voir des situations extrêmes de « black out ». Fort de ce constat, le ministère en charges des énergies a inscrit dans le plan de transition énergétique des mesures visant à favoriser le développement de systèmes de stockage ou de lissage de la production d’électricité afin de franchir le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux. La mise en place de tels dispositifs bénéficierait à l’ensemble des acteurs du système électrique (Producteurs, Transporteur et Distributeurs d’électricité) et in fine aux consommateurs en permettant de : • stocker temporairement le surplus de production d’énergie renouvelable, • palier à l’instabilité de la production photovoltaïque, • améliorer les reprises de charges du parc hydroélectrique, • réduire les risques de déclenchement ou de délestage en cas de perte de moyens de transport ou de production. L’investissement estimé à un milliard Fcfp s’inscrira dans un plan d’investissement à échéance 2020. Cette solution de stockage centralisé permettrait la poursuite du développement de la filière solaire et une plus grande place dans le mix énergétique polynésien, concourant ainsi au succès de l’objectif de 50 % d’énergies renouvelables en 2020 confirmé dans le plan de transition énergétique présenté en novembre dernier. Exécution provisoire du budget général pour l’exercice 2015 Lors du Conseil des ministres, le Vice-Président a présenté les résultats provisoires de l’exécution du budget général pour l’exercice 2015. Ceux-ci seront confirmés lors du vote du compte administratif qui doit intervenir courant juin. Les recettes réelles de fonctionnement s’établissent à 107,4 milliards Fcfp et affichent ainsi une hausse importante de 5 milliards Fcfp par rapport à l’exercice 2014. Cette forte évolution résulte à la fois de l’augmentation, aujourd’hui structurelle après 4 années de progression constante, de la fiscalité indirecte [+3,1 milliards Fcfp, dont 2,2 milliards Fcfp de taxe sur la valeur ajoutée (TVA)] et par la reprise de la politique de distribution des dividendes des établissements publics du Pays (2,6 milliards Fcfp). Parallèlement, il est à noter que s’agissant de la fiscalité et des seuls impôts et taxes impactés par la réforme fiscale d’août 2013, ceux-ci ont rapporté l’an dernier 2,8 milliards Fcfp de recettes supplémentaires par rapport à 2014, répartis entre le budget général, le FELP et le FIGD. Ainsi, par rapport à l’exercice 2013, année de la réforme, la plus-value s’approche bien comme initialement prévue des 10 milliards XPF avec 9,8 milliards Fcfp. En ce qui concerne, les dépenses réelles de fonctionnement : - les dépenses de personnel sont en baisse de 931 millions Fcfp avec une exécution à hauteur de 30,2 milliards Fcfp contre 31,2 milliards Fcfp en 2014 dont 29 milliards Fcfp uniquement pour les rémunérations et les charges contre 29,7 milliards Fcfp en 2014 ; - les autres dépenses réelles de fonctionnement totalisent 64,6 milliards Fcfp en 2015 contre 65,6 milliards Fcfp en 2014, ce qui représente une diminution de 1 milliard Fcfp par rapport à 2014. Cet objectif de diminution des dépenses de fonctionnement a notamment été confirmé lors de la préparation du budget 2016 par le Président, par la confirmation des mesures relatives à la maîtrise de la masse salariale et d’un plan triennal de baisse des dépenses de fonctionnement courant de 10% (3,5% par an). En 2015, les recettes réelles d'investissement (hors autofinancement) totalisent 17,8 milliards Fcfp et affichent un retrait de 23,08 % (-5,3 milliards Fcfp) par rapport à 2014. Cette diminution du niveau de recette résulte : - d’une part, de la baisse du niveau des emprunts qui s'établit à 7,2 milliards Fcfp en 2015 contre 16,7 milliards l’année précédente (soit -9,5 milliards Fcfp) et ainsi de la proposition du Vice-Président de consolider le désendettement de la collectivité ; - et d’autre part, d’une augmentation de 4,2 milliards Fcfp des autres recettes. Au 31 décembre 2015, les inscriptions pour les dépenses s'élèvent à 38,8 milliards Fcfp dont 17,3 milliards Fcfp de crédits de paiement nouveaux et 21,4 milliards Fcfp de crédits de paiement reportés. Le montant des liquidations (22 milliards Fcfp) présente une augmentation de 4,77 % par rapport à l’année 2014 (21 milliards Fcfp) et de près de 50 % par rapport à l’année 2013 (14,8 milliards Fcfp) concrétisant ainsi les efforts en matière de commande publique. Globalement, après report et couverture des besoins de financement, le résultat de cloture de l’exercice 2015 est évalué à 5,8 milliards Fcfp. Il est en progression de près de 4,2 milliards Fcfp (+280%) par rapport au résultat 2014. En conclusion, en 2015, l’épargne brute s’établit à 16,1 milliards Fcfp soit plus du double de l’année précédente où cette dernière s’établissait à 7,3 milliards Fcfp (+8,8 milliards Fcfp, +120%) sous l’effet conjugué de la hausse des recettes de fonctionnement et des économies générées sur les dépenses de fonctionnement. Cette épargne couvre ainsi largement le remboursement en capital de la dette qui s’élève à 9,1 milliards Fcfp en 2015, gage de solidité et de solvabilité financière appréciées par les bailleurs de fonds ainsi que les agences de notation. En conséquence, l’épargne nette redevient positive et s’établit à 7 milliards Fcfp (contre -1,5 milliards XPF en 2014). Ce niveau sans précédent depuis les 10 dernières années permet notamment au gouvernement de soutenir avec ambition sa politique en matière d’investissements publics. Bilan de l’activité de contrôle fiscal de la DICP Le Vice-président a présenté en Conseil des ministres un bilan des activités de contrôle fiscal de la direction des impôts et des contributions publiques (DICP). Contrairement à une idée reçue, le contrôle fiscal ne revêt pas des proportions telles qu’il asphyxierait le tissu économique. Tout d’abord en nombre de contrôles effectués, on a enregistré, en 2015, 2103 contrôles sur un tissu fiscal de quelques 20.000 entreprises et 50.000 locaux (impôt foncier). Les enjeux financiers de ces contrôles représentent en cumul 2,55 milliards Fcfp, en baisse de 22,7% par rapport à 2014 et 31% par rapport à 2013. Au niveau juridictionnel, en 2015, il y a eu 150 saisines du tribunal administratif. Au regard du nombre de contrôles effectués annuellement, c’est un nombre relativement faible qui traduit une faible tendance à la contestation et un certain consentement à l’impôt. Sur les 3 dernières années, 74,6% des jugements rendus sont favorables à la DICP. Quant aux taux de recouvrement des impôts, on constate qu’à ce jour, 67% des redressements fiscaux pris en charge par les comptables publics de la Polynésie française entre 2014 et 2015 ont été payés. Pour favoriser une meilleure acceptation des contrôles fiscaux, la DICP, sur l’impulsion du Vice-président, s’est engagée à faire plus de pédagogie dans la conduite des contrôles en proposant un suivi personnalisé des dossiers et une écoute permanente. Des procédures d’incitations aux régularisations spontanées ont en outre été mises en place. Pour conclure sur les contrôles fiscaux, ces derniers : - ne sont pas plus intenses ces derniers temps qu’ils ne l’ont été les années passées et l’évolution du nombre de contrôles et des enjeux financiers montre que le rendement budgétaire n’est pas une priorité ; - ont pour finalité exclusive de s’assurer que les déclarations fiscales souscrites par les contribuables reflètent bien la réalité de l’exploitation : il s’agit donc ni plus ni moins de s’assurer que chaque contribuable paye l’impôt qu’il doit en vertu de la réglementation fiscale. Référentiel des métiers dans l’administration de la Polynésie française Depuis le mois de novembre 2011, l’administration de la Polynésie française s’est engagée dans la construction progressive d’un référentiel des métiers et des compétences. Cette démarche s’inscrit dans processus de modernisation de la gestion des ressources humaines de l’administration polynésienne, avec l’application progressive de nouveaux outils de gestion prévisionnelle des emplois, des effectifs et des compétences (le référentiel des métiers, le référentiel des fonctions et le référentiel de formation). Le référentiel constitue également un outil de communication interne à l’administration en fixant un cadre de référence commun lié aux concepts, aux dénominations se rapportant au management des ressources humaines. Ce chantier, coordonné par la direction générale des ressources humaines (DGRH), est arrivé à son terme. Le ministre du Tourisme, des transports internationaux, de la modernisation de l’administration et de la fonction publique, porte-parole du gouvernement a présenté en Conseil des ministres une communication ayant pour objet de rapporter les productions résultant de ce chantier et avalisées par les instances consultatives concernées. La diffusion et la publicité du référentiel des métiers interviendront prochainement. La formalisation de l’ouvrage marque certes une étape importante de ce projet mais elle ne constitue pas une fin en soi. La phase cruciale d’appropriation de l’outil référentiel dans la gestion des ressources humaines sera une priorité pour les prochains mois. Indice des prix à la consommation : repli de 0,7% sur douze mois En mars 2016, l'indice des prix à la consommation augmente de 0,2 % et s'établit à 107,33. Cette évolution est essentiellement due à la hausse de 1,3 % des prix des produits alimentaires et boissons non alcoolisées. Sur douze mois, l'indice général est en repli de 0,7 %. Les baisses de prix dans les divisions transports et logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles sont en partie compensées par l'augmentation des prix des produits alimentaires. L'indice ouvrier s'accroît de 0,3 % en mars 2016. Il est en repli de 0,7 % sur douze mois. Hors transport aérien international, l'indice général progresse de 0,1 % (- 0,8 % sur douze mois). Index des travaux du bâtiment et des travaux publics : baisse de 0,1% en mars En mars 2016, l'index du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) baisse de 0,1 %, principalement en raison de l'index des Travaux Publics qui diminue de 0,4 %. Ce repli de l'index des Travaux Publics est en partie dû à la baisse du prix du bitume. Plus sensible à l'évolution de la convention collective du BTP officialisée en ce début d'année et aux prix des matériaux métalliques (+ 0,8 %), l'index du Bâtiment augmente de 0,1 %. Dans le Bâtiment, l'index du Gros Œuvre est stable alors que l'index du Second Œuvre croît de 0,2 %. Dans les Travaux Publics, l'index du Génie Civil diminue de 0,4 % alors que l'index des Travaux Spécialisés est stable. Sur douze mois, l'index du BTP diminue (- 1,7 %). L'index des Travaux Publics est en repli de 4,3 % et celui du Bâtiment progresse de 0,3 %. Patrimoine immatériel de la Polynésie française : protection et valorisation de la propriété industrielle La Polynésie française dispose d’un patrimoine immatériel constitué notamment de biens publics incorporels qui, avant d’être valorisés, doivent être d’ores et déjà clairement identifiés. Bien qu’immatériels, ces biens publics sont, au même titre que le domaine public corporel, susceptibles d’avoir une valeur considérable : ainsi par exemple les marques, les brevets sont une des composantes de ce patrimoine qu’il conviendrait de recenser afin de disposer d’une première vision d’ensemble de son contenu. C’est pourquoi il a été proposé au Conseil des ministres de recenser auprès des services et établissements publics, l’ensemble des droits de propriété industrielle (marques, brevets, dessins et modèles) existants ou en cours d’enregistrement, ou en projet. Cette première étape permettra d’avoir une vision d’ensemble initiale des actifs immatériels publics liés à la propriété industrielle. Budget primitif du Centre des Métiers de la Mer pour l’exercice 2016 La ministre du Travail, des solidarités et de la condition féminine a présenté au Conseil des ministres le budget primitif du Centre des métiers de la mer de Polynésie française pour l’exercice 2016, adopté à l’unanimité par son conseil d’administration. Le budget primitif du Centre des métiers de la mer de Polynésie française présente un total général équilibré des dépenses et des recettes en fonctionnement et en investissement de 224 992 733 Fcfp. Pour l’exercice de ses missions, le CMMPf perçoit de la Polynésie française près de 160 000 000 Fcfp, soit une participation s’établissant à hauteur de 85%. Dans le cadre des formations en 2015, 477 stagiaires sont entrés en formation, 295 en formation complète et 182 en formation modulaire nécessaire au maintien des compétences dans les métiers respectifs. Sur les 477 stagiaires formés, 59% sont en activité dans le commerce, 8% dans le secteur de la pêche, 17% travaillent dans le secteur du tourisme et de la plaisance. Le reste des stagiaires est toujours à la recherche d’un embarquement. Le nombre de sessions de formation par titre se répartit comme suit : - 2 pour le Certificat d’Initiation Pêche (CIN) ; - 2 pour le Brevet de capitaine 200 (BC 200) ; - 1 session pour le Brevet d’Officier Chef de Quart Passerelle de la filière professionnelle « pont » (OCQP) ; - 1 pour le Permis de Conduire les Moteurs Marins (PCMM 250 kW) ; - 1 pour le Brevet de Mécanicien 750 kW (BM 750 kW). - 1 pour le Brevet de Mécanicien 3000 kW (BM 3000 kW) ; - 1 pour le Brevet de capitaine de pêche côtière ; - 2 sessions de formation en vue de l’obtention du Certificat de Pilote Lagonaire (CPL). Le taux de réussite global est de 95%. Pour l’année 2016, l’accent sera mis sur les formations relatives à la pêche et leur délocalisation dans les archipels des Tuamotu. Modification d’arrêté pour la prise en charge des planchers défectueux des maisons de type MTR construites par le FDA Des accidents sont survenus récemment dans certaines habitations de type fare MTR construites par le Fonds de Développement des Archipels (FDA), dont les planchers défectueux dès l’origine de leur installation, ont fini par se fissurer ou céder sous le poids de leurs occupants. Afin de sécuriser ces habitations et leurs occupants, le gouvernement a modifié par arrêté en Conseil des ministres, le champ d’application des aides d’urgence en habitat social afin de prendre en compte ces sinistres spécifiques. Les mairies des archipels ont transmis au ministère du Logement et à l’OPH le recensement des Fare MTR présentant des planchers à risque et des missions d’expertises seront très prochainement diligentées par l’OPH, afin de faire l’évaluation des dégâts et des réparations à entreprendre. Une subvention de 300 millions Fcfp a été votée au budget primitif 2016 du Pays afin de pouvoir intervenir en réparation des planchers défectueux des maisons MTR-FDA dans les archipels. Les marchés de matériaux et de travaux ont été lancés par l’OPH en ce sens. Chaque dossier expertisé et validé fera l’objet d’une aide en matériaux pour que les propriétaires du fare puissent réparer le plancher. Le coût de la mise en œuvre des réparations pourra aussi être compris dans le montant de cette aide, dans le cas où la maison MTR a moins de 10 ans, et dans le cadre de la garantie décennale qui incombe au Pays suite à la fermeture du FDA. Enfin, il est important de rappeler aux propriétaires de fare MTR-FDA ou OPH la nécessité d’un entretien régulier de leur habitation et de ne rien entreposer sous le fare afin d’éviter toute condensation d’humidité. Etat d'avancement du schéma directeur des transports collectifs et déplacements durables de l’île de Tahiti Initiée en janvier 2015, l'assistance technique pour la réalisation du schéma directeur des transports collectifs et déplacements durables de l'île de Tahiti a été confiée au groupement EGIS/SYSTRA/Pae Tai Pae Uta, et arrive dans sa phase de conclusions. Après diverses entrevues constructives avec les communes de l'île de Tahiti, les conclusions générales de cette étude ont été présentées le 1er mars 2016 au Comité de Pilotage avec notamment le scénario cible du schéma directeur à divers horizons (5 - 10 et 20 ans). Le ministre de l'équipement, de l'aménagement et de l'urbanisme et des transports intérieurs a présenté au Conseil des ministres un état d'avancement de ce schéma directeur dont les conclusions finales seront rendues dans les prochaines semaines. Faa'a: Aito sport fun run - Perturbation circulation route Nelson Mandela le samedi 16 avril 13/04/2016
FAAA, le 13 avril 2016. (COMMUNIQUE) Le maire de la commune de Faa’a, Oscar Manutahi Temaru et les membres du conseil municipal informent que la circulation, sur la route de ceinture « Nelson Mandela », de la mairie au rond-point de Heiri, sera canalisée le samedi 16 avril de 17h30 à 19 heures.
La section athlétisme de l'association Tefana organise la 1ère édition de son « Aito Fun Run ». Il s'agit d'une course sur route de 4,6 kms avec un aller-retour, mairie de Faa’a au rond-point de Heiri, qui se tiendra ce samedi 16 avril à 17h30. La police municipale avec le concours de la gendarmerie de Faa’a mettra en place un dispositif de signalisation afin de garantir la sécurité des participants durant la course. Nous recommandons la plus grande prudence si vous empruntez la route de ceinture "Nelson Mandela". Pour plus d’informations merci de bien vouloir prendre contact auprès de Françoise Teriierooiterai au 87 78 35 49et/ou la Police municipale au 40 50 22 00. Compte rendu du Conseil des ministres du 6 avril 06/04/2016
Incitations fiscales à l’investissement pour les énergies renouvelables
L’arrêté n°1375/CM du 14 octobre 2013 modifié précise les modalités d’application du dispositif d’incitations fiscales à l’investissement faisant l’objet des titres Ier, II et III de la troisième partie du code des impôts. Le Conseil des ministres souhaite, pour le secteur de l’industrie uniquement, encourager les projets intégrant une démarche éco responsable visant à limiter l’impact de leur activité sur l’environnement. Pour ce faire, l’acquisition et l’installation d’équipements permettant des économies d’énergies fossiles et/ou destinés à produire de l’électricité à partir des énergies renouvelables destinées exclusivement à l’autoconsommation pourront bénéficier des mesures d’incitations fiscales à l’investissement. Projet de loi du pays relatif à la protection de l’entrepreneur individuel et du conjoint En Polynésie française les entreprises individuelles représentent la plus grande partie des entreprises créées. Ainsi en 2014, elles constituent 87 % des créations pures d’entreprises soit 2163 unités, en hausse de 8 % par rapport à 2013. Au regard des articles 2092 et 2093 du code civil, les patrimoines personnel et professionnel de l’entrepreneur individuel sont confondus. Il s’en suit qu’en cas de défaillance de l’entrepreneur individuel pour des dettes qu’il aurait contractées auprès notamment de sa banque ou de ses fournisseurs, ces derniers sont en droit d’agir en justice pour obtenir la saisie de tout ou partie de son patrimoine personnel y compris sa résidence principale. En 2003, le législateur métropolitain, confronté à la même problématique, a introduit dans le code de commerce des dispositions permettant de protéger l’entrepreneur individuel en permettant de déclarer insaisissables ses droits sur leur résidence principale. En 2008, cette protection a été étendue aux droits sur les biens fonciers bâtis ou non bâtis. Enfin, en août 2015, la loi Macron a renforcé cette protection en consacrant l’insaisissabilité de droit de la résidence principale. Afin de garantir aux entrepreneurs individuels polynésiens la même protection de leurs biens fonciers personnels, le Conseil des ministres a proposé un projet de loi du pays qui insère ces dispositions dans le code de commerce applicable localement. Ce projet ayant reçu un avis favorable du CESC, le Conseil des ministres va transmettre le texte à l’Assemblée de la Polynésie française. Ouverture de la campagne 2016 de pêche de trocas dans la commune de Arutua Le troca est un coquillage introduit en Polynésie française depuis 1957. Il est protégé par une interdiction de pêche permanente sauf pendant les campagnes de pêche autorisées par le Pays. En concertation avec la municipalité de Arutua, la pêche de trocas sera ouverte dans les îles de Arutua, Apataki et Kaukura, du 15 avril au 15 mai 2016, sous l’égide du comité de surveillance des espèces animales marines et d’eau douce de la commune. Les pêcheurs issus de la commune et agréés par le comité ne sont autorisés à pêcher que les trocas d’une taille comprise entre 8 et 11 cm et ce, dans la limite du quota attribué à leur île. Les coquilles, vidées, nettoyées, brossées et séchées seront proposées à la vente à des négociants du 15 mai au 15 juin 2016. La récolte prévisible pour la campagne 2016 est estimée à 130 tonnes destinées à l’export pour la confection de boutons pour le secteur textile, pour une valeur marchande de l’ordre de 40 000 000 Fcfp. Approbation du budget de l’établissement Fare Tama Hau Le Conseil des ministres a approuvé et rendu exécutoire une délibération de l’établissement public « Fare Tama Hau » se rapportant au budget primitif 2016 de l’établissement. D’un montant global net de 322 682 212 Fcfp en recettes et en dépenses, le budget 2016 de l’établissement est en augmentation de 43 595 910 Fcfp (+16%) par rapport au budget réalisé de 2015 qui s'élevait à 279 086 302 Fcfp nets en recettes et en dépenses. Le Pays a, pour sa part, augmenté la subvention de fonctionnement alloué à l’établissement de 23 000 000 Fcfp, qui passe de 277 000 000 Fcfp à 300 000 000 Fcfp, afin de permettre l’ouverture et le recrutement du personnel de la maison de l’enfance de Uturoa, programmée pour le mois de juin 2016, ainsi que l’ouverture et le recrutement du personnel de la maison de l’enfance de Taiohae, prévue pour septembre 2016. Il est envisagé de recruter pour chaque maison, un éducateur de jeunes enfants du cadre d’emploi des assistants socio-éducatifs et deux moniteurs animateurs du cadre d’emploi des agents sociaux. Chargé d’accompagner et de conseiller les enfants, les adolescents ainsi que les familles rencontrant des difficultés dans l’éducation de leurs enfants, l’établissement « Fare Tama Hau » exerce ses missions grâce à deux unités de soins et de prise en charge, la maison de l’enfant et la maison de l’adolescent. Ses missions ont évolué avec l’ouverture, à partir de 2013, de maisons de l’enfance, dont la gestion et la coordination est assurée par cet établissement. Avec une orientation résolument préventive destinée aux jeunes enfants (0-5 ans) et à leur famille, les maisons de l’enfance auront pour mission de développer, rétablir et renforcer le lien parents-enfant. Cofinancées par l’Etat et le Pays, les communes garantissant, pour certaines d’entre elles, l’apport du foncier, elles sont respectivement implantées dans les communes de Faaa, de Punaauia, Taravao, Taiohae et Uturoa. Création d’un Comité de gestion du paysage culturel de Taputapuātea Le marae de Taputapuātea sera prochainement classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. La procédure d’inscription auprès de l’UNESCO comprend trois étapes majeures : 1- l’évaluation du dossier par le Comité national des biens français du patrimoine mondial et sa remise au Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO, 2- l’évaluation du dossier par les organismes consultatifs du patrimoine mondial de l’UNESCO (ICOMOS pour les biens culturels), 3- l’évaluation du dossier par le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO réuni en séance plénière et décision (inscription ; non inscription ou renvoi pour examen différé). 4- Le 23 juin 2015, le dossier de candidature du complexe Te Pô incluant le marae Taputapuātea a officiellement été remis au Comité national des biens français du patrimoine mondial (CNBF) et agréé par ce dernier. Le dossier de candidature a été remis officiellement à l’UNESCO le 25 janvier 2016 par la Délégation permanente de la France auprès de l’UNESCO. La première étape de la procédure étant franchie, il est proposé de réviser en profondeur le dispositif de gouvernance prévu en 2009 pour le classement de sites de la Polynésie française au Patrimoine mondial de l’UNESCO (Marquises et marae Taputapuātea), basé sur les comités suivants : - un Comité de pilotage, fédérateur des deux candidatures ; - un Comité de gestion du patrimoine des biens matériels et immatériels par commune ; - un Conseil d’experts par dossier de candidature et d’un Comité rédactionnel par dossier de candidature. Les différents comités susmentionnés sont, pour chaque commune, un Comité de gestion, et pour chaque dossier un Conseil d’experts et un Comité rédactionnel. Il convient en effet de modifier ce dispositif afin de tenir compte, d’une part de l’évolution de la procédure d’inscription du complexe incluant le marae Taputapuātea, et d’autre part des difficultés organisationnelles rencontrées par le Comité de gestion de ce site. Cette modification est une étape de l’évolution du Comité de gestion qui sera amené à l’avenir à disposer d’une plus grande autonomie. Ainsi, les missions du Comité de gestion sont légèrement modifiées pour tenir compte de l’évolution des travaux, tandis que sa composition et son fonctionnement sont complètement revus. D’une part, la composition du comité de gestion a été modifiée de manière à ce que : - l’assemblée décisionnelle du Comité de gestion rassemble le secteur public et le secteur privé ; - le Comité de gestion soit décentralisé ; - le comité consolide sa légitimité locale au sein des villages de ‘Ōpoa et de Hotopu’u, avec une forte représentation de la commune et de la société civile (cinq collèges représentant la population, les associations, les professionnels, l’éducation et les sages) ; - les collectivités publiques (Polynésie française et Commune) soient largement représentées afin de coordonner les actions destinées à la préservation et à la valorisation du site ; - des moyens humains et logistiques soient dégagés par la collectivité publique pour garantir le fonctionnement du comité, la tâche s’étant révélée trop lourde pour une association de bénévoles ; - le Comité de gestion s’organise pour assurer une concertation élargie en matière d’orientations générales, et la mise en œuvre de ces décisions collectives par une équipe restreinte (le bureau). D’autre part, le 14 décembre 2015, le Comité de gestion a validé l’organigramme suivant, qui fixe sa composition et son fonctionnement : Fonctionnement du Comité de gestion Secrétariat (anime, informe, organise le travail, assure les relations avec le Comité de pilotage) : 1 coordonnateur (pays) ; 1 animateur (commune) ; 1 technicien (pays) Bureau (mise en œuvre des décisions: 6 à 9 réunions par an) : 1 représentant de la Commune ; 1 de la Population ; 1 de l'Education ; 1 des associations ; 1 des professionnels. Comité de gestion (Décide des orientations générales, propose des projets : 7 collèges ; 3 comités/an ; Quorum 1/3) : - Polynésie française 6 ; Sages 8 (2 voix délibératives); population 8 (3 voix délibératives) ; - Communes 5 ; associations 8 (2 voix délibératives) ; professionnels 8 (2 voix délibératives) - Etat (invité permanent) ; éducation 5 (2 voix délibératives) Le Conseil d’experts et le Comité rédactionnel, dont l’intervention était exclusivement consacrée à l’élaboration du dossier de candidature, sont supprimés. Le statut envisagé à l’avenir pour permettre au Comité de gestion d’exercer pleinement ses prérogatives est celui de groupement d’intérêt public, permettant de réunir au sein d’une structure dotée de la personnalité juridique, l’Etat, les collectivités publiques (Pays et communes) et les personnes privées (associations ou personnes physiques) et de mutualiser leur moyens pour une administration efficace du site. Cette évolution fera l’objet d’un projet de loi du pays qui sera ultérieurement soumis à l’approbation de l’Assemblée de la Polynésie française. Fermeture voies RDO du lundi 04 au jeudi 07 avril 04/04/2016
PAPEETE, le 4 avril 2016. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Dans le cadre de l’intervention mensuelle du Service des Parcs et Jardins et de la Propreté, deux voies de la route de déviation ouest (RDO) seront fermées de part et d’autre du terre-plein central, de 20h jusqu’à 2h du matin, du lundi 04 au jeudi 07 avril 2016, afin de permettre au Service des Parcs et Jardins et de la Propreté d’entretenir les plantations du terre-plein central.
Il est une nouvelle fois recommandé aux automobilistes la plus grande prudence et le respect des consignes de sécurité aux abords du chantier. Recrutement de 5 agents de police – stade Pater/ Lundi 4 avril à partir de 8h00 01/04/2016
Lundi 4 avril, la ville de Pirae procèdera aux épreuves sportives organisées dans le cadre du recrutement de 5 agents de police. Suite à l’appel à candidature intervenue en mars, 678 candidats ont été convoqué après avoir déposé leurs dossiers complets.
Cette phase de tests physiques et sportifs sera ouverte avec une épreuve de course sur 100 m (temps limité) avec la nécessité d’obtenir une note minimum de 8/20 pour être sélectionné à la 2e épreuve au choix à savoir : natation, saut en hauteur, saut en longueur, lancer de poids. Pour être déclaré apte aux tests physiques et sportifs, les candidats devront également obtenir minimum 8/20 à cette épreuve. Ont été sollicité pour l’organisation de ces épreuves physiques le partenariat de : l’IJSPF, la Fédération tahitienne d’athlétisme, la Direction Générale de l’Education et des Enseignements (DGEE) pour la mise à disposition d’un maître-nageur sauveteur pour l’épreuve de natation et le Centre de Gestion et de Formation. Seuls les candidats convoqués sont autorisés à y participer CPS: Christophe Plée est le nouveau Président du conseil d'administration du RNS 31/03/2016
Le Conseil d’Administration du Régime des non salariés s’est réuni ce jour, jeudi 31 mars 2016, afin de procéder à l’élection des membres du Bureau, à bulletins secrets conformément aux textes.
Le Bureau du Conseil d’Administration du Régime des non salariés de la Caisse de Prévoyance Sociale est ainsi composé pour un an : Président : M. Christophe PLEE Vice-Président : M. Jean TAMA Secrétaire : M. Patrice NAUDIN Compte rendu du Conseil des ministres du 30 mars 30/03/2016
Calendrier des manifestations artisanales
Afin d’organiser au mieux le soutien de la Polynésie française en faveur du secteur de l’artisanat traditionnel, un calendrier officiel des manifestations artisanales a été présenté par le Président de la Polynésie française au Conseil des ministres. Cet échéancier recense les événements qui peuvent prétendre à une aide financière du Pays pour l’exercice 2016. Il s’agit par ce biais d’assurer une meilleure gestion des deniers publics, tout en optimisant la visibilité des événements phares de l’année et leur efficacité en termes de chiffre d’affaires. Compte tenu de la multiplication des initiatives événementielles des artisans, le nombre de manifestations artisanales soutenues financièrement a été limité sur la base de critères objectifs. Parmi les propositions faites par les différents organismes, ont été retenus les grands rendez-vous réunissant la plupart des associations artisanales de Tahiti et des autres archipels. Ainsi, ont été retenues les associations ayant un lien avec les logos qui font l’objet de travaux en vue de labellisation : - la fédération artisanale Te tuhuka o te henua enana pour les salons des îles Marquises - l’association Te Api Nui pour le salon du tifaifai - le Comité organisateur des expositions artisanales des îles Australes (COEAA) pour le salon des îles Australes - l’association Bijouterie d’Art polynésien Ces événements sont complétés par des manifestations ayant une activité d’intérêt général pour la collectivité en favorisant le développement économique et en générant des retombées économiques immédiates lors de la tenue de l’événement : - les salons de la fête des mères et de Noël - les expositions du Heiva rima’i et du Te Noera a te rima’i Pour les événements des îles éloignées, il est proposé de mettre en valeur les produits des îles Sous-le-Vent avec un salon organisé à Tahiti du 29 mars au 10 avril 2016, d’encourager les échanges entre professionnels des îles à l’instar du déplacement organisé par des artisans de Rimatara sur Bora Bora du 11 au 23 avril 2016 et de soutenir les artisans des îles Tuamotu et Gambier lors de leur exposition-vente. L’année 2016 prévoit également de poursuivre la promotion de l’artisanat traditionnel par le biais d’entreprises en participant activement aux évènements de la « Tahiti Fashion Week », la « semaine de la vanille », le « Hura tapairu » et la « Tahiti Festa ». Ces opérations permettent au secteur artisanal de faire connaître et d’écouler les produits spécifiques locaux. Le calendrier officiel défini pour l’année 2016 prévoit donc 18 manifestations dont une à l’international, en laissant une large place aux archipels éloignés. Intégration des agents de la Délégation de la Polynésie française au sein de la fonction publique Le Conseil des ministres, a adopté, un projet de loi du pays ayant pour objet d’autoriser l’intégration des agents de la délégation de la Polynésie française à Paris au sein de la fonction publique de la Polynésie française. Le personnel de la délégation de la Polynésie française à Paris (service administratif de la Polynésie française) relève actuellement d’un statut dont les dispositions sont dérogatoires aux règles générales régissant la fonction publique de la Polynésie française. Ainsi, tant le mode de recrutement que le classement dans une catégorie et la rémunération sont source d’inégalités à l’égard des autres agents titulaires de l’administration. Par ailleurs, cette situation engendre des difficultés de gestion quant à la détermination des règles applicables, en raison du caractère dérogatoire de leur statut. Il convenait d’harmoniser les règles applicables aux agents de la délégation avec celles qui régissent les fonctionnaires exerçant en Polynésie française. Bien que les agents seront désormais soumis aux mêmes principes que ceux qui régissent tous les fonctionnaires de la Polynésie française, un projet de délibération fixant les règles applicables aux fonctionnaires exerçant à la délégation en raison des spécificités du service sur le territoire métropolitain (éloignement géographique, couverture sociale…) a égalément été adopté. Elaboration du schéma directeur de la pêche hauturière en Polynésie française Le ministre en charge de l’économie bleue entame l’élaboration du futur schéma directeur du développement de la pêche hauturière en Polynésie française. A ce titre, il a sollicité l’appui technique et financier de l’Agence Française de Développement (AFD). Cette démarche consistera, dans un premier temps, à évaluer l’ensemble des scénarios de développement déjà identifiés et à les hiérarchiser selon des critères qui seront définis, dans le cadre d’un processus de décision participatif entre pouvoirs publics et opérateurs privés. Puis, l’étude s’attachera à séquencer dans le temps, pour chaque scénario retenu, les actions à mener et les efforts techniques et financiers à fournir par l’ensemble des parties prenantes, sur une perspective décennale. La consultation des entreprises sera lancée très prochainement et sera financée pour 50% par l’AFD et pour 50% par le Pays. Les travaux devraient durer cinq mois, pour une mise en œuvre du schéma directeur prévue début 2017. Réglementation sur le contrôle des équipements sous pression En droit national, la réglementation relative aux produits et équipements à risques (dénomination qui comprend les appareils à pression) fait l’objet d’un chapitre entier du code de l’environnement et est gérée par les directions régionales de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE), chargées de la surveillance des appareils à pression. En Polynésie française, la référence règlementaire de base est le décret n° 63 du 18 janvier 1943 relatif à la réglementation des appareils à pression de gaz qui constitue la base du droit applicable en Polynésie française. Dans sa version applicable en Polynésie française, elle a très peu évolué. Le Conseil des ministres a souhaité que la réglementation soit actualisée pour permettre ainsi d’intégrer les nouvelles dispositions techniques du secteur. Cette révision implique la participation des acteurs administratifs locaux. La coordination des travaux est confiée au service des énergies. Modification des listes des produits de première nécessité et des produits de grande consommation Avec la création de l’Autorité polynésienne de la concurrence, les dispositifs des produits de première nécessité (PPN) et des produits de grande consommation (PGC) sont devenus des dispositifs dérogatoires au régime de liberté des prix régi par le code de la concurrence en matière de réglementation des prix Dans ce cadre général, il est nécessaire de faire évoluer ces dispositifs relevant d’une économie administrée vers une économie libérée et ouverte à la concurrence, notamment dans les domaines où la réglementation administrative encadre encore les prix de nombreux produits et services. Le gouvernement a donc été destinataire d’un état des lieux et des perspectives d’évolution qui pourraient être engagées pour reformer ces dispositifs. Le ministre de la Relance économique est chargé de faire des propositions, selon les perspectives présentées au Conseil des ministres, dans les prochaines semaines. Modification du régime spécifique des prix applicable au riz blanc : intégration au régime commun des produits de première nécessité Le riz semi blanchi ou blanchi, non parfumé, à grains longs, autre que le riz aromatique est considéré comme un produit de première nécessité (PPN). A ce titre et conformément au régime tarifaire applicable à cette catégorie de produit, les prix et les marges sont fixés par l’arrêté n° 171/CM du 7 février 1992. Afin d’éviter ou réduire les fluctuations de prix, le fonds de stabilisation des produits de première nécessité (FSPPN), assure le soutien du prix du riz semi blanchi ou blanchi, non parfumé, à grains longs, autre que le riz aromatique. Le 16 mars dernier, le Conseil des ministres a été informé de l’entrée sur le marché d’un nouvel opérateur proposant des prix compétitifs par rapport aux offres actuelles, lesquelles bénéficient pourtant pour leur part d’un dispositif de soutien des prix relevant de la catégorie des produits de première nécessité. C’est pourquoi, après analyse du marché par les services administratifs concernés, le Conseil des ministres a validé la révision du dispositif tarifaire du riz semi blanchi ou blanchi, non parfumé, à grains longs autre que le riz aromatique en le maintenant uniquement dans la catégorie des produits de première nécessité (PPN) pour d’une part encadrer les marges et permettre la prise en charge du fret par le Pays lors de son acheminement vers les archipels éloignés d’autre part. Par ailleurs, cette catégorie de riz ne bénéficiera plus du soutien du fonds de stabilisation des produits de première nécessité (FSPPN). L’exclusion du riz semi blanchi ou blanchi, non parfumé, à grains longs autre que le riz aromatique du régime du FSPPN ne devrait pas donner lieu à une hausse des prix. En effet, les consommateurs devraient normalement se détourner des produits proposés à des prix plus élevés, obligeant de ce fait les importateurs à trouver de meilleures offres fournisseurs. Situation de l’emploi étranger en Polynésie française Le Conseil des ministres a examiné une communication se rapportant à la situation de l’emploi étranger en 2015. Toute personne n'ayant pas la nationalité française, y compris le ressortissant d'un pays membre de l'Union européenne, désirant exercer une activité salariée en Polynésie française doit solliciter une autorisation de travail. La détention de cette autorisation de travail est préalable à l’obtention d’un titre de séjour délivré par l'Etat. Les autorisations de travail sont accordées pour une durée, un employeur, un métier et une zone géographique déterminés. Il existe plusieurs catégories d’autorisation selon la durée des missions ou des contrats : - les autorisations de travail non renouvelables délivrées pour une durée maximale de 6 mois dans le cas d’un travailleur étranger envoyé en Polynésie française par un employeur établi hors de la Polynésie française pour une mission temporaire n’excédant pas cette durée. - les autorisations de travail renouvelables délivrées : pour une durée maximale d’un an ; pour une durée de cinq ans concernant les personnes établies durablement en Polynésie française (par exemple les étrangers parents d’un enfant né sur le territoire ou conjoint d’un français). Pour accorder ou refuser l’autorisation de travail sollicitée, sont pris en considération les éléments suivants : - la situation de l’emploi présente ou prévisible à court terme, dans la profession qu’occupera le travailleur étranger. Concrètement une autorisation de travail n’est pas admissible pour des emplois si la main d’œuvre disponible existe localement ; - les conditions de régularité de l’employeur vis-à-vis de la réglementation relative au travail et à la protection sociale ; En 2015, le nombre de demandes d’autorisation de travail pour étrangers se contracte de 4,9 % par rapport à 2014. Les autorisations de travail effectivement délivrées (571) ont augmenté (+ 1,8 % par rapport à 2014) et se répartissent entre : - missions temporaires d’une durée inférieure à 6 mois pour des étrangers envoyés par leurs employeurs situés à l’étranger................................. 152 - autorisations d’une durée maximale d’1 an pour ressortissants étrangers employés par des employeurs situés en Polynésie française ............ 409 - autorisations d’une durée de 5 ans pour des ressortissants étrangers durablement établis en Polynésie française et qui y possèdent des liens familiaux, professionnels ou économiques.................................................. 10 Cinq (5) refus d’autorisation ont été prononcés en 2015 contre vingt-et-un (21) l’année précédente. Sur les 419 autorisations (409 + 10) d’une durée égale ou supérieure à un an délivrées en 2015, plus de 68 % (287 autorisations) concernent des renouvellements. Avec 331 autorisations de travail en cours de validité pour un effectif salarié déclaré à la CPS de 61024, le ratio de travailleurs étrangers est de 0,54 % (à titre de comparaison, il est de 6 % en métropole). Subventions du RSPF en faveur des associations ou des établissements du secteur socio-éducatif et médico-social La ministre du Travail et des Solidarités a présenté en Conseil des ministres un projet d’arrêté rendant exécutoire la délibération n° 01-2016/CG.RST du 11 février 2016 relative à l'attribution des subventions du régime de solidarité en faveur des associations ou des établissements du secteur socio-éducatif et médico-social au titre de l'exercice 2016. I – L’action du Pays en faveur des structures socio-éducatives et médico-sociales Le pays finance le fonctionnement de 28 structures (gérées sous forme associative) dont la capacité d’accueil représente 1 300 places : - 463 places pour 10 centres du secteur « enfants adolescents, placements, assistances éducatives» - 328 places pour 6 centres du secteur « familles, femmes en difficultés sociales » - 296 places pour 10 centres du secteur « enfants, adolescents handicapés » - 196 places pour 6 centres du secteur « adultes handicapés » Une association peut gérer plusieurs établissements (ex : la Fraternité chrétienne des handicapés gère quatre établissements) avec faculté d’affecter du personnel commun à plusieurs centres. Ainsi les 28 structures sont gérées par 25 associations. II – La procédure d’attribution des subventions L’instruction des demandes de subventions de chaque association est effectuée par la Direction des affaires sociales (service chargé du contrôle technique et financier des structures du secteur). Ces demandes de subventions font ensuite l’objet d’un travail minutieux par la commission technique (présidée par le ministre en charge des solidarités). La commission a tenu deux séances, soit 14 h de travaux, les 29 décembre 2015 et 21 janvier 2016. Elle a rendu un avis pour chaque demande, avis soumis au comité de gestion du RSPF qui s’est réuni le 11 février 2016. Par délibération n° 01-2016/CG.RSPF du 11 février 2016, le comité de gestion du régime a validé les propositions de subventions annuelles. III – La subvention consacrée pour 2016 s’élève à 1,460 milliard Fcfp Les dotations aux établissements sont financées par la branche « handicap » du budget RSPF. La subvention globale s’élève pour 2016 à 1,460 milliard Fcfp. Elle est répartie entre les 25 associations. Ces subventions financent pour l’essentiel une participation aux salaires des personnels des 25 associations (1 370 916 294 Fcfp) et une aide à l’investissement (786 075 Fcfp pour 13 projets) : - secteur médico-éducatif : 677 260 978 Fcfp pour 12 structures d’accueil ; - secteur socio-éducatif : 782 855 603 Fcfp pour 16 structures d’accueil. Pour l’année 2016, la plus grande partie des crédits d’investissement a été consacrée à la mises aux normes de bâtiments vétustes ne permettant plus d’assurer une prise en charge de qualité ou mettant en péril la sécurité des personnes accueillies. Attribution d’une subvention d’investissement en faveur de la SEM Assainissement des Eaux de Tahiti pour la réalisation de travaux urgents Le programme d’assainissement collectif des eaux usées de Punaauia, lancé par le Pays en 1996, a été mis en service en 2002, avec la réalisation de la station d’épuration, de l’émissaire de rejet, des principaux réseaux, des postes de refoulement et le raccordement des usagers professionnels. Une seconde phase de travaux entre 2007 et 2011 a permis la réalisation de réseaux secondaires et le raccordement d’environ 1 000 usagers situés au niveau de la plaine Sud de Punaauia. Une troisième phase de travaux s'est déroulée de 2012 à 2013 et a permis de poursuivre l’extension du réseau et de raccorder 280 usagers. Le montant global des travaux réalisés s’élève aujourd’hui à plus de 4 milliards Fcfp, financés par le Pays et l’Union Européenne. A ce jour, le réseau de collecte est implanté du pk 7,1 (Hôtel Intercontinental Beachcomber) au pk 15,5 (Hôtel Le Méridien). Ce sont plus de 5 000 m³ d’eaux usées qui sont collectées et traitées quotidiennement par les ouvrages, contribuant à une amélioration de la qualité des eaux de baignade et de l’environnement au niveau des zones assainies. Néanmoins, depuis 3 ans, de nombreux débordements ont été observés au niveau de la station d'épuration (en particulier en cas de fortes pluies) faute de capacité suffisante de l'émissaire actuel. Il donc est indispensable d'augmenter sa capacité. En outre, une expertise technique réalisée en 2011 a confirmé la nécessité immédiate de redimensionner certains postes de refoulement, afin de pouvoir traiter correctement l’ensemble des usagers raccordés et à venir sur ce secteur. Ce dernier point est très important puisque de nombreuses constructions sont attendues sur la commune, qu'elles soient individuelles ou professionnelles. L’objet de la présente demande de subvention concerne le financement des travaux urgents suivants : • le redimensionnement du poste de refoulement de la zone industrielle de la Punaruu (poste S) pour en augmenter sa capacité ; • le redimensionnement de deux postes de refoulement arrivant à saturation (poste H au Lotissement Lotus et poste N à la servitude Manotahi) ; • l’augmentation de la capacité de rejet de l’émissaire en mer par la réalisation d'un poste de pompage situé dans l'enceinte de la station d'épuration. La date de fin desdits travaux est prévue pour le premier trimestre 2017, pour un coût total estimé à 206 687 734 Fcfp HT, dont 200 000 000 Fcfp financés par le biais de la présente subvention. Te mau fa’aotira’a a te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau Tarena no te mau fa’a’ite’itera’a ‘ohipa rima I No te fa’anaho papu maita’ira’a i te mau tauturu a Porinetia farani na te tuha’a no te ‘ohipa rima I tumu, ua vauvauhia’tu te ho’e tarena mana no te mau fa’a’ite’itera’a no te mau ‘ohipa rima I e te Peretiteni no Porinetia farani i mua i te ‘Apo’ora’a a ter mau Fa’aterehau. E ‘iriti mai taua tarena ra i te mau ta’urua o te nehenehe e fana’o i te ho’e tauturu faufa’a moni a te Haufenua no teie matahiti 2016. Na roto i te reira fa’anahora’a te fa o te fa’aterera’a ia i te tahi ti’a’aura’a hau atu i te maita’i e te fa’ahiahia i te mau faufa’a a te hau, ma te fa’atumu i ni’a i te maramarama maita’ira’a te mau fa’anahora’a rarahi no teie matahiti e to ratou hotrura’a i te pae no te mau numera fa’ahotura’a. No te mea, te tupu rahi nei te mau tauto’ora’a no te fa’atupu i te mau fa’a’ite’irtera’a ‘ohipa rima I, ua ta’oti’ahia te numera rahira’a o te mau fa’a’ite’itera’a ‘ohipa rima o te tauturu faufa’a monihia, ia au i te mau tumu papu maita’i. I roto i te mau mana’o tu’u o te mau ta’atira’a e rave rahi, ua tape’ahia mai te mau farereira’a rarahi roa a’e o te fa’ata’iruru i te pae rahi o te mau ta’atira’a ‘ohipa rima I no Tahiti e no te tahi è artu mau ta’amotu. No reira, ua tape’ahia mai te mau ta’atira’a o te mau ra te ho’e aura’a e te mau taipe o te ha’a ra no te hamani i te mau tauiha’a o te raperahia (labellisation) : - te ‘amuitahira’a ‘ohipa rima I Te Tuhuka o te Henua Enana no te mau taupe’e fa’a’ite’itera’a no te mau Motu Matuita ma, - te ta’atira’a Te Api Nui no te taupe’e no te tifaifai, - te Tomite fa’atupu i te mau fa’a’ite’itera’a ‘ohipa rima I no te mau Motu Tuha’apae ma (COEAA) no te taupe’e no te mau Motu Tuha’apae ma, - te ta’atira’a Ho’ora’a tauiha’a piru no te Rahu’ara’a porinetia. E fa’arava’ihia mai taua mau ta’urua ra e te tahi taura ‘ohipa no te maita’i o te ta’ato’ara’a no te ‘oire ma te ha’afaufa’a i te fa’ahotura’a fa’arava’ira’a faufa’a e ma te fa’atere’au i te mau faufa’a o te fa’arava’ira’a faufa’a e topatopa ti’a noa mai i rotoi te fa’atupura’ahia taua fa’anahora’a ra : - te mau taupe’e no te ‘oro’a o te mau Metua vahine e no te Noera, - te mau fa’a’ite’itera’a no te Heiva rima I e no Te Noera a te rima I. No te mau fa’anahora’a a te mau motu atea, ua tu’uhia’tu te mana’o, ia ha’afaufa’ahia te mau hotu a to te mau Motu Raro Mata’i ma na roto i te ho’e taupe’e o te fa’atupuhia i Tahiti mai te 29 no mati e tae atu i te 10 no ‘eperera 2016, te fa’aitoitora’a i te mau ‘aitauira’a i rotopu i te mau rahu’arima I no te mau motu ei hi’ora’a te tere fa’atupuhia e te mau rima I no Rimatara i Bora Bora mai te 11 e tae atu i te 23 no ‘eperera 2016 e te tauturura’a i te mau rahu’a ‘ohipa rima I no Tuamotu e Ma’areva ma no ta ratou fa’a’ite’tera’a-ho’oho’ora’a. Te fa’a’ite ato’a maira te matahiti 2016 ia tamaunoahia te fa’atianianira’a i te ‘ohipa rima I tumu na roto i te mau taiete ‘ohipa ma te ha’ata’ato’a i roto i te mau fa’anahora’a a « Tahiti Fashion Week », te « Hepetoma no te Vanira », te « Hura tapairu » e te « Tahiti Festa ». E horo’a taua mau fa’anahora’a ra i te tuha’a no te ‘ohipa rima I i te rave’a no te fa’afa’a’ite e no te ho’o ha’apau i ta ratou mau hotu tumu no to ratou mau motu. Te tarena mana o tei fa’aotihia no te matahiti 2016, te fa’ata’a maira ia 18 mau fa’a’ite’itera’a e 1 o ratou e tupu ia i te ara, ma te vaiiho i te parahi ateatea maita’i no te mau ta’amotu atea. Fa’aora’a i te mau rave ‘ohipa no te Pu Tomite no Porinetia farani i roto i te ti’ara’a rave ‘ohipa tamau na te hau Ua ma’itimana mai nei, te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, i te ho’e ‘opuara’a Ture ‘Ai’a ma teie fa no te fa’ati’ara’a e fa’ao i te mau rave ‘ohipa a te Tomite no Porinetia farani i Paris i roto i te ti’ara’a no te rave ‘ohipa tamau a te hau no Porinetia farani. Te mau rima rave ‘ohipa no te Pu Tomite no Porinetia farani i Paris (Piha toro’a na te Hau no Porinetia farani) e arata’ihia ia e tae roa mai i teie nei e te ho’e papature e te mau titaura’a o te ‘ofati noa ra i te mau fa’aturera’a rarahi no te mau ti’ara’a ‘ohipa tamau a te hau no Porinetia farani. No reira, mai te huru no te tihepura’a e mai te ‘apapara’a i roto i te ho’e tuha’a e te moni rave ‘ohipa e mau punavai ana’e ia no te mau ‘aifaito ‘orera’a ia fa’ahí’o ana’ehia i ni’a iho i vetahi è atu mau rave ‘ohipa tamau na te hau. I te tahi atu pae’au, e ‘iriti mai te reira ti’ara’a i te mau fifi no te ti’a’aura’a no ni’a i te mau fa’aturera’a e ti’a ia fa’a’ohipahia, no to ratou huru hi’ora’a ‘ofati ture i ta ratou papature. E mea titauhia, ia fa’ato’a’ati maita’ihia te mau fa’aturera’a e ti’a ia fa’a’ohipahia no te mau rima rave ‘ohipa no te Tomite e te mau fa’aturera’a o te fa’a’ohipahia ra no te mau rave ‘ohipa tamau a te hau o te ‘ohipa nei i Porinetia farani. Noa’tu e titau fa’ahepohia i reira te ta’ato’ara’a no te mau rave ‘ohipa ia auraro i te mau titaura’a ho’e e tera o te fa’aturahia ra e te mau rave ‘ohipa tamau na te hau no Porinetia farani, ua ha’amana ato’ahia te ho’e ‘opuara’a fa’aotira’amana o te ha’apapu ra i te mau Ha’amaura’a i te hoho’a fa’atere no te tautaira’a na tua i Porinetia farani Ua ha’amata te Fa’aterehau ti’a’au i te fa’arava’ira’a faufa’a ninamu i te hamani i te hoho’a fa’atere i te fa’ahotura’a i te tautaira’a na tua i Porinetia farani. No te reira tuha’a, ua ani mai ‘oia i te tauturu ‘ihi rave’a ‘aravihi e faufa’a moni a te Pu Farani no te Fa’ahotura’a (PFF=AFD). Te tuha’a matamua no te reira fa’anahora’a, o te faitora’a ia i te mau huru hi’ora’a ato’a no te fa’ahotura’a i ‘iteahia a’e na e te tapa’ora’a ia ratou ia au i te ma titaura’a o te fa’aauhia, i roto i te ho’e fa’anahora’a no te ravera’a i te fa’aotira’a no te fa’ao i roto i rotopu i te mau mana o te hau e o te mau unuma. I muri mai i te reira, e niuhia’tu te mau tapura ‘ohipa ato’a i ni’a i te tuhara’a i roto i te ‘ohura’a o te tau, no te fa’anahora’a tata’itahi e tape’ahia mai, te mau tareni e te mau tauto’ora’a ‘ihirave’a ‘aravihi e faufa’a moni e titauhia ia horo’a te ta’ato’ara’a o te mau pae paturu ato’a, no te roara’a ‘ahuru matahiti. Te tau’aparaura’a i te mau taiete ‘ohipa, e fa’ahaerehia te reira i mua nei o te paturu faufa’a monihia’tu e 50 % e te AFD e e 50 % e te Haufenua. E fa’aterehia te mau tapura ‘ohipa no te roara’a e 5 matahiti, e ia au i te tohura’a, e oti mai e e fa’a’ohipahia i te matahiti 2017. Fa’aturera’a i ni’a i te hi’opo’ara’a i te mau mauha’a paumu mata’i Ia au i te ture haunui, te fa’aturera’a no ni’a i te mau hotu e te mau mauha’a e nehenehe e ro’ohia i te ‘ati e rave rahi (te mau materia ‘opupu mata’i) o tei riro ei parau rahi tumu no te ho’e pene ta’ato’a no te ture no te ‘auanatura e o te ti’a’auhia nei e te mau Fa’aterera’a tuha’a fenua no te PU ‘Ohipa Hamani tauiha’a, no te ‘Ihima’imira’a e no te ‘Auanatura (DRIRE), o tei fa’ata’ahia no te mata jhi’opo’ara’a i te mau materia ‘opupu mata’i. I Porinetia farani nei, te niura’a o te ture o te fa’aotira’a mana ia n° 63 no te 18 no tenuare 1943 no ni’a i te fa’aturera’a o te mau materia ‘opupu mata’i mahu auahi o tei riro ei papa no te ture e fa’a’ohipahia nei i Porinetia farani, o tei nu’u rii noa i ni’a, ma’a vahi iti. Ua hina’aro te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e ia fa’a’ohipa mana fa’ahouhia te reira fa’aturera’a no te fa’aora’a mai i te mau fa’aturera’a ‘api no te mau ‘ihi rave’a ‘aravihi ‘api no te reira tuha’a. TE reira hi’opo’a fa’ahoura’a e ‘amui ato’a mai ia, i te mau tino rave ‘ohipa ato’a a te hau no te fenua nei. Ua pupuhia i roto i te rima o te Piha toro’a no te mau Ito te mana fa’atere’aura’a i te reira tareni. Fa’atauira’a i te mau tapura no te mau hotu hina’aro rahi roahia a’e (PPN) e no te mau hotu ‘aimamau rahi roahia a’e. Na roto i te ha’amaura’ahia mai te Mana Porinetia no te Fa’atipoupoura’a Moniho’o, ua riro ato’a mai te mau fa’aturera’a no te mau ma’a hina’aro rahi roahia a’e (PPN) e no te mau hotu ‘aimamau rahi roahia a’e (PGC) ei mau fa’aturera’a mana vaimatara no te ti’amara’a o te mau moniho’o titauhia e te ture no te Fa’atipoupoura’a i te mau moniho’o i te pae no te fa’aturera’a o te mau moniho’o. I roto i te reira hi’ora’a ‘amui, e mea faufa’a ia ha’amara’ahia te reira mau fa’aturera’a no roto mai i te fa’arava’ira’a faufa’a fa’aterehia i roto i te ho’e fa’arava’ira’a faufa’a ti’ama e ‘uputa matara i mua i te fa’atipoupoura’a moniho’o, i te pae ihoa ra, no te mau tuha’a i reira na te fa’aturera’a noa a a te hau e fa’atere fa’aoti i te mau moniho’o no te mau hotu e te mau taviira’a e rave rahi. Ua riro mai nei ia te ‘Apo’ora’ahau ei tipaera’a no te ho’e hi’ora’a e no te mau tohura’a no te hotura’a o te nehenehe ia ravehia no te reforomatio i taua mau fa’aturera’a ra. Ua horo’ahia i roto i te Fa’aterehau no te Ha’amahutara’a i te Fa’arava’ira’a Faufa’a, te mana no te horo’ara’a mai i te mau mana’o tu’u, ia au i te mau hi’ora’a o tei vauvauhia mai i mua i te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, i te mau hepetoma i mua nei. Fa’atauira’a i te ‘afata ta’a-è no te mau moniho’o o te raiti ‘uo’uo : fa’aora’a i roto i te faito no te mau hotu hina’aro rahi roahia a’e (PPN) Te raiti ‘afa ‘uo’uo e aore ra ‘uo’uo, fa’ano’ano’a ‘orehia, huero roroa, ta’a-è noa’tu i te raiti no’ano’a, ua farirohia ia mai te hotu hina’aro rahi roahia a’e (PPN). Na ni’a i te reirá piira’a ia au i te fa’anahora’a tarifa o te fa’a’ohipahia no taua huru faito hotu ra, te mau moniho’o e te mau área e fa’aotihia mai ia te reirá e te fa’aotira’amana n° 171/CM no te 7 no fepuare 1992. No te arai e no te fa’aiti i te mau tapitora’a moniho’o, na te ‘afata tape’a i te mau hotu hina’aro rahi roahia a’e (FSPPN), e paturu i te moniho’o o te raiti ‘afa ‘uo’uo e aore ra ‘uo’uo, fa’ano’ano’a ‘orehia, huero roroa, ta’a-è atu i te raiti no’ano’a. I te 16 no mati i ma’iri a’e nei, ua fa’a’itehia mai te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau, e o mai i roto i te matete te ho’e ‘ona ho’oma’a ‘api o te horo’a mai i te tahi mau moniho’o fa’atipoupou hau atu i te mama i te vai nei i teie nei, o te fana’o nei ho’i i te fa’anahora’a turu i te moniho’o e ‘naha, e mea ho’orahi na a ta ratou mau hotuma’a, noa’tu a ia ua ‘apapahia i roto i te mau PPN Te reirá te tumu, i muri a’e i te hi’opo’ara’a i te matete o tei ravehia mai e te mau piha a te hau no te reirá tareni, ua ha’amana te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e hi’o fa’ahou i te fa’anahora’a tarifa o te raiti ‘afa ‘uo’uo e aure ra ‘uo’uo, fa’ano’ano’a ‘orehia, huero roroa ta’a-è atu i te raiti no’ano’a no te tape’a noa a ia’na i roto i te ‘apapara’a no te mau ma’a hina’aro rahi roahia a’e (PPN) no te tape’a mau maitera’a i te ta’a-è-ra’a o te mau área moniho’o, e nehenehe atu ai ia amoha te fereti pahi e te Haufenua no te utara’a na roto i te mau ta’amotu atea, i te tahi atu pae’au. TA’a-è noa’tu i te reirá, ‘eita te reirá huru raiti e fa’afana’o fa’ahouhia i te turu a te ‘afata tape’ara’a i te mau hotu hina’aro rahi roahia a’e (PPN). Te tatarara’a i te raiti ‘afa ‘uo’uo e aore ra ‘uo’uo, fa’ano’ano’a ‘orehia, huero roroa, ta’a-è noa’tu i te raiti no’ano’a, i te ‘afata no te FSPPN, ‘eita te reirá e ha’amara’a i to’na moniho’o. ‘Oia mau, e mea ti’a i te mau ‘aimamau, ‘eiaha ratou ia hanihia e te mau hotu ma’a moni rarahi, no te fa’ahepo i te mau poro’i tauiha’a ia ‘imi mai i te mau horo’a hotu faito moni mama. Te huru no te ti’ara’a ‘ohipa a te ta’ata no te ara i Porinetia farani Ua hi’opo’a te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ho’e parau fa’aara no ni’a i te huru no te ti’ara’a ‘ohipa o te ta’ata no te ara i te matahiti 2015 ra. Te mau ta’ata e ‘aita to ratou e ti’ara’a ta’ata farani, no’atu e mau ta’ata no te ho’e hau mero no te ‘Amuitahira’a ‘Europa, o te hina’aro e fa’a’ohipa i te ho’e ti’ara’a ‘ohipa tamoni i Porinetia farani, e titauhia ‘oia ia ani i te ho’e parau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa. Te fatura’a i taua parau fa’ati’ara’a e ‘apitihia mai ia ‘oia e te ho’e parau fa’ati’a no tre nohora’a mai horo’ahia e te Haunui. E fariihia te mau pparau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa no te ho’e roara’a, te ho’e fatu ‘ohipa, ho’e toro’a e ho’e tuha’afenua ‘ohipara’a ta’oti’a maita’ihia. E rave rahi mau huru faito parau fa’ati’a e vaira ia au i te roara’a no te mau tonora’a e no te mau parau fa’aau ravera’a ‘ohipa : - Te mau parau fa’ati’a ravera’a ‘ohipa o te ‘ore e fa’a’api fa’ahouhia no te ho’e roara’a e 6 ‘ava’e no te ho’e ta’ata rave ‘ohipa no te ara o tei toohia mai i Porinetia farani nei no te ho’e tareni pu’etau poto o te ‘ore e hau atu i taua pu’etau ra. - Te mau parau fa’ati’a horo’ahia no te ravera’a i te ‘ohipa o te fa’a’apihia : No te ho’e pu’etau roa roa a’e ho’e matahiti ; * No te ho’e pu’etau roara’a e 5 matahiti no te mau ta’ata o tei paraihi roa mai i Porinetia farani (ei hi’ora’a, te mau ta’ata no te ara metua no te ho’e tamarii fanauhia i te fenua nei e aore ra e hoa here no te ho’e ta’ata farani). No te horo’a e aore ra no te pato’i i te parau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa anihia, e horo’ahia ma te fa’aturahia teie mau titaura’a i muri nei : - te huru no te ti’ara’a ‘ohipa no taua taime ra e aore ra no te tau poto e haere maira, i roto i te toro’a ‘ohipa e ‘ohipahia’tu e taua ta’ata ra no te ara. Te aura’a mau, ‘eita te parau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa e horo’ahia no te mau ti’ara’a ‘ohipa e mea rahi te mau rave ‘ohipa no te fenua e vaira ; - te mau titaura’a fa’atiti’aifarora’a i te fatu ‘ohipa i mua i te fa’aturera’a no te ‘ohipa e no te parurura’a totiare. I te matahiti 2015, ua rahi mai te numera rahira’a anira’a parau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa a te mau ta’ata no te ara i ni’a i te 4,9 % ia fa’ahi’ohia’tu i ni’a i to te matahiti 2014. Te mau parau fa’ati’a no te rtavera’a i te ‘ohipa o tei horo’ahia (571) ua mara’a ia (+ 1,8 % i ni’a i to te matahiti 2014) e o te ‘opere maitehia mai teie : - mau tere tonohia mai pu’etau poto no te ho’e roara’a i raro mai i te 6 ‘ava’e no te mau ta’ata no te ara, o tei tonohia e to ratou mau fatu ‘ohipa e purutia ra i te ara ................................. 152 - parau fa’ati’a no te roara’a tuea i te 1 matahiti no te ho’e ta’ata no te ara fa’a’ohipahia ra e te mau fatu ‘ohipa e noho ra i Porinetia farani ......... 409 - parau fa’ati’a no te ho’e roara’a e 5 matahiti no te mau ta’ata no te ara o tei parahi maoro mai na i Porinetia farani e te vaira to ratou mau taura ta’amura’a fetii, ravera’a ‘ohipa e fa’arava’ira’a faufa’a ............................. 10 E 5 anira’a o tei pato’ihia i te matahiti 2015 ra are’a i te matahiti 2014, e 21 ia. I ni’a i te rahira’a e 419 mau parau fa’ati’ara’a (409 + 10) no te ho’e roara’a ‘aifaito e aore ra i ni’a mai i te ho’e matahiti o tei horo’ahia na i te matahiti 2015 ra, hau atu i te 68 % (287 mau parau fa’ati’a) e mau fa’a’apira’a ia. Na roto i te rahira’a e 331 mau parau fa’ati’a no te ravera’a i te ‘ohipa o te vai nei i roto i te ha’amanara’a no te rahira’a ta’ata rave ‘ohipa tapa’ohia i roto i te ‘afata turuuta’a no te ( CPS) no te 61024, te tai’o ‘iti o te mau ta’ata rave ‘ohipa no te ara tei ni’a ia i te 0,54 % (ei fa’ahi’ora’a, tei ni’a i te 6 % i Farani). Mau tauturu moni na te RSPF na te mau ta’atira’a e aore ra te mau pu ha’apiira’a no te tuha’a totaiete-ha’apiira’a e utuutura’a-totiare Ua vauvau mai te Fa’aterehau vahine no te ‘Ohipa e no te mau Autahira’a, i te ho’e ‘opuara’a fa’aotira’amana no te fa’a’ohipamana i te fa’aotira’amana n° 01-2016/CG.RST no te 11 no fepuare 2016 no ni’a i te horfo’ara’a i te mau tauturu moni a te ‘afata no te autahira’a na te mau ta’atira’a e aore ra te mau pu ha’apiira’a no te tuha’a totiare-ha’apiira’a e utuutura’ama’i-totiare no te matahiti 2016. I – Te tareni a te Haufenua no te mau pu totiare-ha’apiira’a e utuutura’a-totiare Te paturu faufa’a moni nei te Haufenua i te terera’a ‘ohipa roto a ‘eie 28 mau pu ‘ti’a’auhia ia au i te huru o te ta’atira’a) no te rahira’a mero 1300 rahira’a parahira’a : - E 463 rahira’a parahira’a no e to’o’ahuru mau pu no te tuha’a « tama taure’a, tu’uhia i roto, tauturura’a i te pae no te ha’apiira’a » - E 328 rahira’a parahira’a no e to’oono mau pu no te tuha’a « mau ‘utuafare fetii, mau vahine i roto i te mau ‘ati totiare » - E 296 rahira’a parahira’a no e to’o’ahuru mau pu no te tuha’a « tamarii, taure’a huma » - 196 rahira’a parahira’a no e to’oono mau pu no te tuha’a « ta’ata pa’ari huma » E nehenehe ta te ho’ e ta ’atira’a e ti’a’au e rave rahi mau pu (ei hi’ora’a : Te Autaea’era’a Teretetiano no te mau Huma o te tia’au nei e 4 pu) ma te ‘ohie e te matara e ma te mau i te mana no te ono e rave rahi mau rave ‘ohipa matau e te ‘aravihi i roto erave rahi mau pu. No reira e 28 rahira’a purarahi o te ti’a’auhia nei na e 25 mau ta’atira’a. II – Te fa’anahora’a no te horo’ara’a i te mau tauturu Te hamanira’a i te mau anira’a tauturu moni a te ta’atira’a tata’itahi e ha’apa’ohia te reira e te Fa’aterera’a no te mau ‘Ohipa Totiare (Piha ti’a’au i te hi’opo’ara’a ‘ihi rave’a ‘aravihi e faufa’a moni a tre mau pu no taua tuha’a ra). I muri maui e tu’uhia’tu taua mau anira’a ra i roto i roto i te tutapapara’a e te matutura’a a te Tomite ‘Ihirave’a ‘aravihi (peretitenihia e te Fa’aterehau vahine no te mau Autahira’a). Ua fa’atere iho nei te tomite e piti tauaputuputura’a ‘ohipa, ‘oia ho’i, 14 rahira’a ora ‘ohipara’a, i te 29 no titema 2015 e i te 21 no tenuare 2016. Ua horo’a ‘oia i to’na mana’o i ni’a i te mau anira’a tata’itahi, o te tu’uhia’tu i mua i te tomite ti’a’au i te RSPF o tei putuputu na i te 11 no fepuare 2016. Na roto i te fa’aotira’amana n° 01-2016/CG.RSPF no te 11 no fepuare 2016, ua ha’amana te tomite tia’au i te ‘afata i te mau mana’o tu’u no te mau tauturu moni matahiti. III – Te tauturu moni fa’ata’ahia no te matahiti 2016 tei ni’a ia i te faito 1,460 miria toata farane Te mau tuha’a na te mau pu ua paturu monihia ia ratou na roto i te ‘ama’a « huma » no te ‘afata RSPF. Te tauturu moni ta’ato’a tei ni’a ia i te faito no te matahiti 2016, 1,460 miria toata farane. Ua tuhahia ‘oia na ni’a e 25 mau ta’atira’a. E tauturu moni te reira mau tauturu moni ra i te mea faufa’a roa a’e nbo te paturu i te mau moni ‘ohipa a te mau rave ‘ohipa a na ta’atira’a e 25 (1 370 916 294 toata farane) e ho’e tauturu no tefa’ahotura’a (786 075 toata farane no e 13 rahira’a ‘opuara’a) : - Tuha’a utuutura’a-ha’apiira’a : 677 260 978 toata farane no e to’o’ahuru mapiti mau pu fariira’a ; - Tuha’a totiare-ha’apiira’a : 782 855 603 toata farane no e to’o’ahuru maono mau pu fariira’a. No te matahiti 2016, te rahira’a ,no te mau faufa’a moni no te fa’ahotura’a ua fa’a’ohipahia ia no te fa’atiti’aifarora’a i ni’a i te titaura’a a te ture i te mau fare o tei tahito e o tei pe roa, o te ‘ore e pahono fa’ahou i te parau no te parurura’a ‘eiaha ia ro’ohia e te ‘ati te mau ta’ata o te fariihia ra i reira. Horo’ara’a i te ho’e tauturu moni no te fa’ahotu na te SEM titi’ara’a i te mau Pape viivii noTahiti no te fa’atupu i te mau tapura ‘ohipa ru Te tapura ‘ohipa no te titi’a ‘amuira’a i te i te mau pape viivii no Punaauia o tei fa’ahaerehia mai e Haufenua i te matahiti 1996 ra, ua fa’a’ohipahia mai ia i te matahiti 2002 ra, na roto i te ha’amaura’ahia mai te Pu titi’ara’a, no te ha’ama’i i te pape, no roto mai i te mau ‘auri ‘operera’a rarahi, te mau pu fa’a’arapura’a e te ‘operera’a na te mau ta’ata ‘ohipa. Na roto i te piti o te tuha’a no te mau tapura ‘ohipa o tei fa’ahaerehia mai i rotopu i te matahiti 2007 e 2011, na te reira i nehenehe ai e fa’atoro mai i te mau ‘auri numera puiti e te fa’atu’atira’a piri i te rahira’a 1000 ‘utuafaree vai i te area no te fa’a apato’a no Punaauia. Ua ravehia mai te toru no te tuha’a no te mau tapura ‘ohipa mai te 2012 e tae mai i te 2013 e na te reira i fa’a’a’ano i te reni pupa ‘operera’a i te pape na e 280 fa’ahou mau ‘utuafare. Te rahira’a faufa’a moni o tei fa’a’ohipahia mai na, tei ni’a ia i te 4 miria toata farane, ‘aufauhia été Haufenua e te ‘Amuitahira’a no ‘Europa. Tae roa mai i teie mahana, ua ha’ »amauhia te pu ha’apahura’a pape i te pk 7,1 (Hôtel Intercontinental Beachcomber) au pk 15,5 (Hôtera Le Méridien). Hau atu i te 5 000 meera ‘afata pape viivii o te ha’aputuhia maira i te mahana tata’itahi e te mau tapura ‘ohipa, o te tapi ra no tre ha’amaita’i i te faito o te pape no te hopu e te ‘auanatura i roto i te mau tuha’a tamahia. Tera ra, a 3 matahiti i teie nei, ua ‘iteahia mai na e rave rahi mau puehura’a pape i roto i te pu no te titi’ara’a (i te mau tau ua ‘u’ana ihoa ra) no te mea ‘aita e rava’ira’a ra i te ha’ama’ira’a pape i teie mahana. E mea titauhia ia i teie nei ia ha’amara’ahia to’na faito puai. Ia fa’atanotano fa’ahouhia ia te tahi mau ha’a’arepura’a pape, no te titi’ara’a i te ta’ato’ara’a mau pape viivii o tei tu’atihia i ni’a i te reira reni pupa. E mea faufa’a rahi teie tuha’a hope’a, no te mea, e mea rahi te mau fare o te ‘opuahia ra e patu i roto i taua ‘oire ra, fare nohora’a ‘otahi anei, mau fare rarahi anei. Te fa no teie anira’a tauturu moni no te paturu faufa’a monira’a ia i te mau tapura ‘ohipa ru roa i muri nei : • Te fa’atano fa’ahoura’a i te pu no te fa’a’arepura’a pape no te peho pu ‘ohipa hamanira’a ‘ohipa rarahi no Punaruu (Pu S) no te ha’amara’a i to’na puai ; • Te fa’atano fa’ahoura’a i te rahi o na pu e piti no te fa’a’arepura’a e tae mai ai i roto i te titi’ara’a (Pu H no te Pu Nohora’a Totiare Lotus e Tuha’a no te poromu aroa Manotahi) ; • Te ha’amara’ara’a i te faito no te ha’ama’ira’a pape i roto i te miti na roto i tehamanira’a i te ho’e pu paumra’a i roto itre ‘aua no te titi’ara’a pape. Ua tapa’ohia e hope taua mau tapura ‘ohipa ra i roto i na ‘ava’e matamua e toru no 2017, no te ho’e ha’amau’ara’a ta’ato’a e mana’ohia ra e 206 687 734 toata farane ‘aita ia e tute to roto, e 200 000 000 toata farane ‘aufauhia na roto i teie nei tauturu moni. Compte rendu du Conseil des ministres du 23 mars 23/03/2016Participation de la Polynésie française au salon mondial de la croisière Pour la 8ème année consécutive, la destination « Tahiti et ses îles » a été représentée au plus important salon mondial de la croisière, à Fort Lauderdale, en Floride, cet événement international permettant la rencontre des armateurs avec l’ensemble des destinations et fournisseurs du secteur. La délégation de la Polynésie française était menée par le ministre du Tourisme ainsi que par le Président du Tahiti Cruise Club, et était composée de représentants du Tahiti Tourisme, de la CCISM, d’Air Tahiti Nui, du Port autonome de Papeete et de divers agents maritimes et réceptifs. Au sein du pavillon rassemblant les États et territoires insulaires du Pacifique sud, sous la bannière de la South Pacific Cruise Alliance, les rendez-vous se sont succédés avec plus d’une quarantaine de compagnies de croisière, sur les 3 jours du Seatrade Cruise Global. Cela a été l’occasion, comme pour les années précédentes, de faire un bilan avec les armateurs de croisière des opérations passées et de les informer sur les procédures simplifiées, les programmes d’aménagements et d’infrastructures ou encore les offres réceptives de chaque île, l’enjeu étant d’inciter les armateurs à accroître le nombre d’escales en Polynésie française, soit en multipliant les passages ou les navires, soit en programmant des opérations de plusieurs semaines, voire plusieurs mois avec des embarquements et débarquements via l’aéroport de Tahiti. Cette présence était indispensable pour la visibilité de la destination mais également pour afficher la cohésion des acteurs polynésiens et, donc, la motivation et l’intérêt portés par la Polynésie française au développement de ce secteur d’activité. De ces rencontres, il ressort que le cycle de croissance de l’activité en Polynésie française, initié en 2013 (+20% par an jusqu’en 2015), devrait se poursuivre au moins jusqu’en 2018, sauf, peut-être en 2016, compte tenu du retrait momentané du navire de Princess Cruises. Etant donné la course effrénée au gigantisme observée dernièrement pour les navires, le Pacifique doit se préparer à l’arrivée de paquebots plus imposants que ceux accueillis dans nos eaux aujourd’hui. Les programmes d’investissements très offensifs des compagnies haut de gamme sont, par ailleurs, particulièrement adaptés à notre destination. Certains de ces armateurs envisagent d’acquérir des navires parfaitement adaptés à notre contexte insulaire et les stationner dans nos eaux, compte tenu notamment des évolutions réglementaires relatives aux casinos à bord ou aux visas des équipages. Maintien du prix des hydrocarbures au 1er avril Les cours internationaux ont connu des baisses successives tout au long de l’année 2015. Cette baisse a continué pour le mois de février pour l’essence sans plomb. A contrario, une hausse a été constatée à hauteur de 4 % pour le pétrole et de 11 % pour le gazole. Il a été décidé de maintenir le prix des hydrocarbures au 1er avril, le gouvernement continuant de rester attentif à l’évolution des prix d’approvisionnement en hydrocarbures sur les marchés internationaux, l’évolution de ces marchés étant très instable. Révision des prix des médicaments En Polynésie française, les produits pharmaceutiques sont considérés comme des produits de grande consommation (PGC) à régime spécifique. A ce titre, les prix des médicaments sont fixés par l'arrêté n° 1784 CM du 31 décembre 2001 modifié. En métropole, une réforme du mode de rémunération est entrée en vigueur au 1er janvier 2015. Elle a permis la baisse sensible des prix des médicaments et la mise en place d’un honoraire pour les professionnels calculé en fonction des volumes de boîtes vendues. Dans le but de faire appliquer l’esprit de la réforme métropolitaine en Polynésie française, des réunions de travail se sont tenues entre les services administratifs, la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS), les syndicats des pharmaciens et les représentants des ministères concernés. A l’issue de ces rencontres, un accord est intervenu afin de proposer une nouvelle formule de calcul qui permettra d’aboutir à une première baisse d’environ 3,85 % des prix des médicaments. Il est précisé que ce nouveau dispositif permettra d’impacter automatiquement les baisses des prix opérées sur le plan national, en Polynésie française. Revalorisation des tarifs de la manutention portuaire sur le quai au long cours Le syndicat professionnel représentant les acconiers titulaires d’une concession d’outillage privé avec obligation de service public sur le quai au long cours du port de Papeete (l’UNIMAP) a sollicité depuis plusieurs mois une augmentation substantielle de 15% des tarifs de manutention. Après analyse du dossier et entretien avec les syndicats des salariés et des patrons, le Conseil des ministres a décidé de statuer pour une augmentation mesurée et adaptée. Au regard de l’évolution importante depuis 2006, du coût salarial lié à la hausse des cotisations et également aux charges générales liées à la mécanisation des tâches sur le port, le Conseil des ministres a décidé de réviser les tarifs de manutention à hauteur de 4%. Commercialisation de la farine de froment panifiable importée La commission de répartition des contingents des produits de première nécessité (CRCPPN) s’est réunie le 25 février dernier afin de procéder au dépouillement de l’appel d’offres, lancé pour l’approvisionnement et la distribution en Polynésie française, de la farine de froment panifiable type 55. La quantité porte sur deux lots de 3 300 tonnes chacun pour une durée approximative de vente de six mois, qui devrait s’étendre du 20 avril 2016 au 20 octobre 2016, en fonction de l’écoulement des stocks. Afin de soutenir le prix de gros de la farine d’appel d’offres et par conséquent le prix de détail de la baguette de pain, actuellement à 53 Fcfp fixé par l’arrêté n° 697/CM du 8 juillet 1996 consolidé, le montant de l’écart entre le prix de gros de la farine panifiable d’appel d’offres va être pris en charge par le budget général du Pays, à hauteur de 19.30 Fcfp/ kg, soit un coût global de 230 millions Fcfp pour les finances publiques. La farine de froment panifiable d’appel d’offres type 55 est indispensable aux boulangers pour la fabrication quotidienne de baguettes de pain à prix réglementé, lesquelles font partie des denrées alimentaires les plus consommées, notamment par les ménages les plus défavorisés et les populations des archipels éloignés. Mise en application de la mesure d’aide à l’emploi de type contrat aidé Aide au Contrat de Travail (ACT) La ministre du Travail a présenté au Conseil des ministres un projet d’arrêté fixant les modalités d’application de la mesure d’aide à l’emploi de type contrat aidé « Aide au Contrat de Travail (ACT). L’ACT permet à un employeur (personne physique ou morale de droit privé), en contrepartie d’une embauche en contrat de travail à durée indéterminée, de bénéficier durant 2 ans d’un remboursement forfaitaire des cotisations patronales, fixé à 36 000 Fcfp par mois, soit un total de l’aide de 864 000 Fcfp. Le public ciblé couvre les demandeurs d’emploi de 18 à 55 ans, sans emploi en Polynésie française depuis au moins trois mois. La condition de durée sans emploi ne s’applique pas au public de 50 ans et plus pour faciliter l’embauche des séniors, ni aux personnes ayant subi un licenciement pour motif économique en Polynésie française. Cet arrêté énumère les pièces constitutives de la demande d’ACT, afin de vérifier l’éligibilité de l’employeur et du salarié au dispositif et précise également le délai maximum de dépôt de la demande d’aide auprès du SEFI chargé de la mise en œuvre du dispositif. Enfin, une limite du nombre d’ACT dont un employeur peut bénéficier de manière simultanée est fixée. Eu égard à la crise de l’emploi qui perdure, le Gouvernement signifie, au travers de la mesure ACT, sa volonté de promouvoir l’emploi durable, en garantissant la mise en œuvre d’un accompagnement de nature à encourager le recours aux contrats à durée indéterminée. Calendrier des manifestations pour la Jeunesse Le Conseil des ministres a pris acte de la communication présentée par la ministre de l’Education et de l’enseignement supérieur, de la jeunesse et des sports sur les grands événements relatifs à la jeunesse cette année. Constituant la force active, la clé de voûte de l’avenir, la prise en considération de la jeunesse de notre Pays, dont les moins de 25 ans représentent près de 46 % de la population totale, est particulièrement importante. Il convient d’accompagner les jeunes en s’appuyant notamment sur un système scolaire adapté, sur un socle associatif dynamique et sur une coopération accrue avec le secteur privé (familles, confessions religieuses…). Les enfants et les adolescents bénéficent d’un certain nombre de dispositifs existants qui leur permettent d’avoir des activités culturelles, sportives ou intellectuelles sur le temps scolaire, mais aussi hors du temps scolaire. A contrario, les jeunes déscolarisés ou sans emploi, parfois confinés dans les lotissements sociaux, notamment dans la zone urbaine de Papeete, se retrouvent exposés aux incivilités, voire aux stupéfiants et à la violence. La cohésion sociale est un enjeu prioritaire pour le gouvernement, avec donc la mise en œuvre de réponses concertées, interministérielles et multipartenariales. Le calendrier annuel 2016 des grandes manifestations du secteur de la jeunesse constitue une première réponse pour accompagner la jeunesse de notre Pays. Ceci implique également un soutien du Pays sur les plans financiers, techniques et humains. Stratégie territoriale de l’innovation Le gouvernement voit en l’innovation un outil privilégié pour le développement durable du Pays car celle-ci participera à la diversification de notre économie et améliorera sa compétitivité régionale et globale. C’est ainsi que le ministère de la Santé et de la Recherche s’est investi pleinement dans un programme européen intitulé « Stratégie Territoriale pour l’Innovation », communiqué à l’OCTA (Overseas Countries and Territories Association) le 13 janvier dernier. La stratégie s’appuie sur les priorités déjà identifiées dans le schéma directeur de la recherche et de l’innovation (SDRI) et a été aiguillée par un comité consultatif de l’innovation composé de référents de plusieurs ministères, du groupement d’entreprises Tahiti Fa’ahotu et du Cluster maritime de la Polynésie française. Développer la culture de l’innovation et de l’entrepreneuriat, accroître l'impact économique de la recherche et faire de la Polynésie française la vitrine du savoir-faire en matière de lutte contre le changement climatique sont les trois axes majeurs autour desquels s’articule la stratégie. Cette stratégie qui devrait permettre la mise en place de mesures concrètes dans les secteurs innovants a été présentée lors du Marché de l’Innovation le 26 février dernier par le ministère de la Santé et de la Recherche. Ce dernier a par ailleurs présenté deux programmes européens permettant de stimuler l’innovation. Le premier est un programme d'échanges transfrontaliers qui offre aux jeunes et aux futurs entrepreneurs la possibilité de se former, aux frais de l’Union Européenne, auprès d'entrepreneurs chevronnés dirigeant de petites entreprises dans d’autres pays européens que la France. Le second s’applique aux PME (petites et moyennes entreprises), déjà établies, mais en manque de connaissance pour pouvoir progresser. Ainsi, la PME retenue par le programme pourra bénéficier, grâce au soutien financier de l’Union Européenne, d’une expertise dans un domaine scientifique précis en provenance d’un autre pays membre de l’Union Européenne pour une durée de 12 mois. Enfin, c’est lors de ce même Marché de l’Innovation que s’est ouvert le premier concours Poly’Nov. Ce dernier, organisé par Tahiti Fa’ahotu et placé sous le patronage du Président de la Polynésie française, Edouard Fritch, a pour ambition d’être un réel soutien au développement de l’innovation en Polynésie française. Il a pour objectif d’identifier des projets de développement économique basés sur l’innovation et de soutenir les meilleurs d’entre eux grâce à une aide financière (1 000 000 Fcfp pour le premier; 750 000 Fcfp pour le deuxième et 500 000 Fcfp pour le troisième) et à un accompagnement adapté. Un pêcheur ivre se noie à Papeete 21/03/2016
PAPEETE - Un homme ivre s’est noyé après être tombé à l’eau, samedi soir à Fare Ute. L’information a été diffusée par radio Première lundi. Ce pêcheur buvait samedi soir avec des amis à proximité du quai. Il serait tombé à l’eau alors qu’il était en train d’uriner dans la mer. Ne le voyant pas revenir, ses amis ont alerté les secours. Les plongeurs de la brigade marine ont retrouvé le corps sans vie par douze mètres de fond, après deux heures de recherches dans la soirée de samedi. Une enquête est ouverte en recherche des causes de la mort.
Compte-rendu du conseil des ministres du 16 mars 16/03/2016
Voici le compte-rendu du conseil des ministres du 16 mars
4e édition du Festival du ‘uru Le Président de la Polynésie française, en charge du portefeuille de l’agriculture, a présenté au Conseil des ministres une communication portant sur la 4ème édition du Festival du ‘uru. Fort du succès rencontré depuis la première édition en 2013, la valorisation du fruit de l’arbre à pain s’inscrit désormais parmi les produits vivriers auxquels le Gouvernement s’attache à redonner une place dans l’histoire et le terroir des Polynésiens. Cette opération revêt un rôle majeur pour la promotion et la valorisation de nos ressources propres et participe de ce fait à marquer une plus grande présence de l’agriculture au cœur de la Polynésie française. Une place qui doit notamment prendre du sens par la valorisation de ce patrimoine alimentaire au service de la santé. En effet, le changement des modes alimentaires de la population, marqué par le recul des denrées de base traditionnelles au profit du riz, des céréales et des produits agro-transformés, conduit à une progression inquiétante de l’obésité et des pathologies associées à une mauvaise nutrition. Aussi, la politique agricole du Gouvernement s’engage à poursuivre la préservation et la valorisation de notre patrimoine alimentaire traditionnel par des programmes et des actions de promotion des produits amylacés issus de la culture vivrière. Plusieurs animations sont prévues, alliant artisanat, alimentation, culture et agriculture, notamment : - projections audiovisuelles (interlude du ‘uru, préparation du ma, pièce de théâtre) ; - contes et légendes autour de l’histoire du ‘uru ; - exposition spéciale ‘uru ; - médecine traditionnelle ; - cuisine traditionnelle ; - présentation des cultivars et des techniques culturales du ‘uru par le service du développement rural et les producteurs du SPG BioFetia ; - démonstrations techniques de bouturage, marcottage par le service du développement rural ; - ventes de produits transformés à base de ‘uru. Enfin, la participation de plusieurs restaurateurs de la ville de Papeete et de lycées professionnels dont les formations sont axées vers les services de restauration est prévue. En introduisant le produit à leur carte de menu, ils mettent en avant leur intérêt pour cette opération de promotion du ‘uru. La 4ème édition du festival du ‘uru aura lieu du 17 au 19 mars dans les Jardins de la Maison de la Culture. Construction du « Fare Natura » Le ministère en charge du Tourisme a exposé au Conseil des ministres la première phase opérationnelle de mise œuvre du projet Fare Natura. Les travaux de construction devraient démarrer en octobre 2016 pour se terminer en début d’année 2018. Pour la réalisation de ce projet, la Polynésie française a décidé de déléguer la maîtrise d’ouvrage à l’établissement TNAD. Le projet du Fare Natura trouve sa genèse dans la volonté des chercheurs présents sur le site d’Opunohu de vulgariser et partager leurs connaissances et recherches avec un large public et, notamment, les jeunes en développant un outil pédagogique. C’est le Ministère des ressources marines qui, dès 2013, a financé, à hauteur de 21 848 000 Fcfp les études permettant d’aboutir en 2014 à un avant-projet détaillé. Compte tenu de l’intérêt touristique du projet qui permet de présenter la richesse de la biodiversité terrestre et marine de nos îles, le ministère du Tourisme a financé les études relatives à la muséographie et proposé le financement de sa construction par le Contrat de Projets 2015-2020, à hauteur de 636 000 000 Fcfp TTC. Ce musée offrira à un large public de visiteurs l’opportunité de découvrir les particularités de notre nature, de nos lagons, mais aussi les perspectives de développement écologique de notre pays. Le Fare Natura est le fruit d’un partenariat particulièrement original qui témoigne d’une volonté du gouvernement de diversifier l’attractivité de l’île sœur et de proposer des activités entre science et nature à nos visiteurs. Ce musée s’apparentera plus à une cité des sciences dédiées à la nature de Tahiti Et Ses Iles et aux développements technologiques à même de préserver l’équilibre entre Nature et Homme. Il a pour ambition de rendre la recherche accessible et de montrer que le développement durable et l’innovation sont des moteurs économiques pour notre tourisme. Le Fare Natura sera un lieu ludique et atypique où le visiteur pourra explorer les mystères de la science, multiplier les expériences insolites, plonger dans le monde de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Un espace où petits et grands, polynésiens ou touristes, scientifiques ou simples amateurs pourront satisfaire leur curiosité. Régime fiscal d’exonération des droits et taxes pour la rénovation des hôtels Le régime fiscal d’exonération de droits et taxes à l’importation applicable aux établissements d’hébergement de tourisme, institué par la délibération n° 92-6 AT du 24 janvier 1992 modifiée a été reconduit jusqu’au 31 décembre 2017 par l’article LP 3 de la loi du pays n° 2015-16 du 14 décembre 2015. Le principe de ce dispositif est que les établissements hôteliers classés en application de la délibération n° 2000-140/APF du 30 novembre 2000 modifiée et à jour de la redevance de promotion touristique (RPT) puissent bénéficier d’une exonération de droits et taxes à l’importation. L’objectif visé par ce dispositif est d’encourager une rénovation permanente des établissements en allégeant leurs charges d’exploitation, favorisant ainsi leur compétitivité au niveau international. Ainsi, sur un parc de 44 hôtels et résidences de tourisme international, 32 établissements sont éligibles et bénéficieront de ce régime d’exonération jusqu’à fin 2016. Indice des prix : baisse de 0,6% en février Au mois de février, l'indice des prix à la consommation baisse de 0,6 % et s'établit à 107,11. Cette évolution est essentiellement due à la baisse de 2,5 % des prix dans la division transport (- 0,5 point d'indice). Sur douze mois, l'indice général est en repli de 1,0 %. Les baisses de prix dans les divisions transports et logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles sont en partie compensées par l'augmentation des prix des produits alimentaires. L'indice ouvrier diminue de 0,5 % en février 2016. Il est en repli de 0,8 % sur douze mois. Hors transport aérien international, l'indice général évolue comme l'indice ouvrier : - 0,5 % sur un mois et - 0,8 % sur douze mois. Projet d’importation de riz long en provenance du Vietnam En Polynésie française, l’approvisionnement et la commercialisation du riz blanc non parfumé à grains longs sont soumis à un régime de soutien spécifique. Le Conseil des ministres a été informé de l’entrée sur le marché d’un nouvel opérateur proposant des prix compétitifs par rapport aux offres actuelles, qui bénéficient pourtant pour leur part d’un dispositif de soutien des prix relevant de la catégorie des produits de première nécessité. Dès lors, le Conseil des ministres a demandé au ministre de la Relance économique d’examiner l’opportunité de maintenir le dispositif de soutien pour ce produit de manière à permettre la libre concurrence entre les acteurs du secteur. Représentativité des organisations syndicales de salariés au niveau de la Polynésie française Les articles Lp. 2221-2 et Lp. 2221-3 du code du travail disposent que, pour pouvoir bénéficier de la représentativité au niveau de la Polynésie française, toute organisation syndicale de salariés ou toute union syndicale de salariés doit avoir obtenu, au cours des deux dernières années, une moyenne de voix aux élections des délégués du personnel, titulaires et suppléants, supérieure à 5 % du nombre de voix exprimées. Après validation des résultats des élections professionnelles par la commission idoine réunie le 15 février dernier, le Conseil des ministres a adopté un arrêté se rapportant à la représentativité des organisations syndicales de salariés. Sur la base de ces résultats, sont reconnues représentatives au niveau de la Polynésie française, les organisations syndicales ci-après, classées en fonction du nombre de voix obtenues aux élections des délégués de personnel, titulaires et suppléants, des années 2014 et 2015 : 1°) Confédération des syndicats des travailleurs de Polynésie/Force ouvrière (CSTP/FO) : 11 999 voix, soit 33,21 % des suffrages 2014 et 2015 ; 2°) Confédération des syndicats indépendants de Polynésie (CSIP) : 6 438 voix, soit 17,82 % des suffrages 2014 et 2015 ; 3°) Confédération A Ti’a I Mua : 6 292 voix, soit 17,42 % des suffrages 2014 et 2015 ; 4°) Confédération OTAHI : 3 904 voix, soit 10,80 % des suffrages 2014 et 2015 ; 5°) Confédération O Oe To Oe Rima : 3 165 voix, soit 8,76 % des suffrages 2014 et 2015. L’article Lp. 2221-12 dispose que, les organisations syndicales représentatives peuvent se voir attribuer des subventions pour leur fonctionnement interne. Le critère retenu est celui du nombre des délégués du personnel et des représentants élus aux comités d’entreprises, titulaires et suppléants, obtenu au cours des deux dernières années. Le montant de la subvention susceptible d’être allouée à chaque syndicat, compte tenu de ces derniers résultats, se répartit comme suit : CSTP/FO : 7 544 536 Fcfp A TI’A I MUA : 4 046 033 Fcfp CSIP : 3 228 293 Fcfp O OE TO OE RIMA : 2 161 677 Fcfp OTAHI : 2 019 461 Fcfp Les projets d’arrêtés attributifs de subvention ne pourront être produits que sur présentation, par chaque syndicat, des pièces obligatoires au traitement des demandes de subvention. Présentation du plan d’action rivières Les ministres de l’Équipement et de l'Environnement ont présenté le plan d'action rivières, élaboré par les deux ministères, avec les concours de la DEQ (Direction de l'Equipement) et de la DIREN (Direction de l'Environnement): Ce plan d'action rivières se décline en 10 points : 1. Poursuite et mise en commun des programmes pluriannuels d'entretien et de protection des berges élaborés par la DEQ et celui d'évaluation et réhabilitation des rivières et cours d'eau de la DIREN. Ces programmes, ainsi que le programme de relogement des familles en cours de lancement par le ministère du Logement, qui mettent en avant la protection des personnes, des biens et la préservation de l’environnement des rivières et cours d’eau de l’île de Tahiti, forment un total de près de 30 milliards Fcfp sur 10 à 15 ans ; 2. Lancement d’un Schéma directeur de gestion des rivières et des cours d’eau. Ce schéma directeur s’inscrira dans la PSE (Politique Sectorielle de l’Eau), dont l’élaboration est actuellement en cours sous conduite de la DIREN; 3. Mise en place d’une « Commission rivières », regroupant à la fois le Pays, l’Etat (Direction de la Protection Civile), les communes, le CESC, le président de la FAPE (Fédération des Associations de Protection de l’Environnement) et le Président de la Chambre syndicale des entreprises de génie-civil. Cette commission devra se prononcer sur toutes les demandes d’autorisations d’extractions et évaluera annuellement les besoins de curage de chaque rivière. Elle sera également en charge de valider le plan pluriannuel de curage et d’entretien des rivières qui sera établi conjointement par la DEQ et la DIREN ; 4. Mise en place de cahiers des charges pour toutes les entreprises réalisant des curages en rivières et extractions. Ces cahiers des charges détailleront les modalités d’exécution des travaux. Ils seront établis conjointement par la DIREN et la DEQ ; 5. Mise en place d’un « fonds rivières » qui sera alimenté par les redevances de curage et d’extractions. Ce fonds sera destiné aux actions de contrôles et de surveillance des rivières et cours d’eau, ainsi qu’aux actions de protection et de réhabilitations. Ce fonds peut être estimé aujourd’hui à 50 millions Fcfp par an, mais il a vocation à doubler très rapidement, par une accentuation des contrôles (seul 1/3 des extractions semblent faire l’objet d’un paiement de redevance) ; 6. Mise en place de contrôles communs sur le terrain à la fois par les agents assermentés de la DEQ et de la DIREN; 7. Lancement par la DEQ des études économiques et du cahier des charges de gestion et d’extraction, en vue de l’appel d’offres, pour l’ouverture de la première carrière de l’île de Tahiti en roches massives sur la côte est. Les études géotechniques en cours confirment la qualité du gisement en matériaux de deux sites majeurs ; 8. Refonte des textes régissant l’activité d’extractions de matériaux, ainsi que pour les curages, dont l’un des textes date de 1958. Les sanctions administratives seront élargies, et celles d’ordre financières seront renforcées, pour tout dépassement des quantités autorisées. La DIREN devrait à terme être l’entité administrative unique qui délivrera les autorisations de curages et d’extractions et qui procèdera à leurs contrôles ; 9. Mise en place de mesures concrètes afin d’optimiser les besoins en matériaux d’extractions. a. Les constructions en bois seront favorisées par le biais d’une fiscalité favorable au bénéfice des particuliers (accroissement du délai d’exonération de l’impôt sur la propriété bâtie) et des sociétés de production de bois local et des entreprises de construction de maisons en bois (baisse de 20% de leur fiscalité à l’instar de ce qui a été établi pour les producteurs d’énergies renouvelables, et notamment hydroélectrique, comme Marama Nui) ; b. Le réemploi des matériaux de déconstruction dans le bâtiment, et des matériaux d’enrobés dans les travaux publics, sera favorisé dans les marchés publics du Pays et de ses établissements publics. 10. Mise en place d’un Observatoire des rivières et des cours d’eau. Il s’agit d’un réseau de suivi des ressources en eaux superficielles, de la source à la mer, qui pourrait être alimenté et accessible via une plateforme internet. Il fait partie d’un réseau plus large d’observation et de suivi des masses d’eau douce et marine. Une partie du fonctionnement de cet Observatoire sera pris en charge par le fonds rivières. Ce vaste plan d'action, qui reprend les principales propositions faites par le CESC dans son rapport sur la problématique des extractions établi en 2011, est une refonte globale de la gouvernance et de la gestion des rivières et cours d'eau de notre fenua, l'une des grandes richesses de nos îles hautes, telle que souhaitée par l'ensemble des concitoyens. Le plan d'action sera présenté en détail dans les prochains jours, aux diverses parties prenantes (association des maires de Polynésie, élus de l'Assemblée de la Polynésie, associations de protection de l'environnement dûment reconnues d'intérêt public, associations de riverains propriétaires, entreprises de travaux, protection civile, etc), lors de diverses réunions d'informations qui seront animées par les ministres eux-mêmes et leurs équipes. Qualité des eaux de consommation des communes de Tahiti et des îles Dans le cadre de ses missions de protection et de promotion de la santé de la population, le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP) a poursuivi en 2015 le contrôle de la qualité des eaux destinées à la consommation, distribuées par les réseaux et fontaines publics à Tahiti et dans les îles. Sur 140 points de contrôle, 331 prélèvements ont ainsi été effectués en 2015 par le CHSP. Malgré une diminution de 12% du nombre de prélèvements par rapport à 2014, 23 communes ont pu faire l’objet d’un classement de la qualité de leurs eaux distribuées en 2015. Ces communes représentent 90% de la population du Pays. Chaque année, le CHSP établit et diffuse auprès des communes un rapport de synthèse faisant état de la qualité de l’eau qu’elles distribuent. Il s’avère qu’en 2014 et 2015, le nombre de communes distribuant de l’eau potable est passé de 7 à 9 avec Papeete, Pirae, Arue, Mahina, Faa’a, Punaauia et Bora Bora qui ont obtenu 100% de résultats conformes, les communes de Papara et Tumaraa ayant elles obtenu, respectivement, 99% et 98%. Les réseaux de distribution de Temae, Nuuroa et Maharepa 2 à Moorea ont obtenu aussi 100% de conformité en 2015. Ces 9 communes et ces zones de Moorea desservies en eau potable regroupent 58% de la population du Pays. Viennent ensuite Rimatara et Huahine avec respectivement 93% et 90% de conformité. Le suivi de l’évolution de ces taux de conformité depuis 2012, pour chaque commune bénéficiant d’un classement, permet de souligner : • la régularité de Papeete, Arue, Mahina, Faa’a et Bora-Bora dans le maintien de leur taux de conformité à 100% ; • la progression continue de Pirae, Punaauia et Papara leur permettant en 2015 d’être classées parmi les communes distribuant de l’eau potable ; • les progrès remarquables et continus de Rurutu (de 52% en 2013, 62% en 2014 à 83% en 2015) ; • la progression notable de Paea entre 2014 et 2015 (de 52% à 71%) ; de Rimatara (de 75% à 93%) ; • la persévérance de Tumaraa, Rimatara et Tahaa malgré la baisse de leur taux de conformité en 2014 permettant ainsi à Tumaraa de distribuer de l’eau potable en 2015 ; • la baisse en 2015 comme en 2014 de leur taux de conformité pour Taputapuatea, Huahine, Tubuai et Uturoa alors que les 3 premières communes avaient jusqu’alors été en constante progression ; • l’absence marquante de délivrance d’eau potable dans toute la zone rurale de Tahiti, hors Papara et les zones à Taravao desservies par le réseau Van Bastolaer fournissant de l’eau potable depuis novembre 2015. Les raisons de la mauvaise qualité de l’eau distribuée sont connues : absence d’installations de traitement adaptées et efficaces des ressources en eau, mauvaise exploitation des installations liée à une carence en personnel technique qualifié, vétusté des ouvrages existants ou encore utilisation exclusive de captages d’eaux superficielles. En 2015, aucune fontaine publique de Tahiti n’a délivré une eau de qualité conforme en permanence. Sur Moorea, les 2 fontaines (Temae et Nuuroa) alimentées par le réseau de distribution ont continué à fournir une eau d’excellente qualité. A noter que les communes de Maupiti et Nuku-Hiva ont installé des fontaines publiques équipées de filtration et de lampes UV. La qualité des eaux de ces fontaines est variable mais un classement n’a pu être établi en raison du nombre insuffisant de contrôles. A ce jour, 11 atolls des Tuamotu possèdent une centrale de production d’eau potable opérationnelle. La réalisation de travaux contribue à une amélioration de la qualité des eaux de consommation mais les efforts et les investissements doivent se poursuivre en particulier au niveau des communes de la zone rurale de Tahiti hors Papara, à Moorea dans les zones non encore desservies en eau potable, à Raivavae et aux Marquises. Le recours à des outils d’aide peut également s’avérer utile, tels que le projet PAPE proposé par le Syndicat pour la promotion des communes ou les Plans de Sécurité Sanitaire des Eaux (PSSE), outil préconisé par l’OMS depuis 2004. Qualité des eaux de baignade Le Centre d’hygiène et de salubrité publique (CHSP) a également poursuivi en 2014 et 2015 son programme de contrôle de la qualité sanitaire des eaux de baignade en mer (plages) et en eau douce (embouchures de rivières et sources), mis en place depuis 1985. Depuis 2010, le contrôle et l’interprétation des résultats d’analyses sont effectués sur la base de la dernière directive européenne n° 2006-7-CE du 15.02.2006 relative à la gestion de la qualité des eaux de baignade. Il n’est actuellement pas possible de réaliser des campagnes de prélèvements dans toutes les îles. Grâce à la présence d’une antenne du CHSP dans certaines îles et à l’auto-contrôle effectué par la commune de Bora Bora, les îles de Tahiti, Moorea, Bora Bora, Raiatea et Tubuai ont pu faire l’objet de campagnes de prélèvements et figurer dans le classement de la qualité des eaux en 2014 et 2015. Ainsi, 104 points de contrôle ont pu faire l’objet d’un classement de leur qualité en 2015, comme en 2014. En 2015, 926 prélèvements ont été réalisés. Les conclusions du rapport sur la qualité des eaux de baignade en 2014 et 2015 sont les suivantes : A Tahiti, en 2015, 63 % des points en mer sont propres à la baignade contre 67 % en 2014, et seulement 20 % des eaux douces sont propres à la baignade contre 25 % en 2014. Ainsi, entre 2014 et 2015, la qualité générale des eaux de baignade s’est légèrement dégradée, en particulier en zone rurale. A noter qu’il y a toujours une différence marquée entre la zone urbaine et la zone rurale avec en 2015, 56 % de points propres à la baignade en zone urbaine contre 73 % en zone rurale. La qualité des eaux de baignade en zone rurale reste toujours meilleure que celle en zone urbaine. Si on examine l’évolution de la qualité des eaux de baignade en mer à Tahiti depuis 2010, on constate une tendance générale à une légère amélioration aussi bien en zone urbaine qu’en zone rurale. A Moorea, en 2015, la qualité des eaux de baignade en mer sur Moorea s’est légèrement dégradée avec 73 % de points propres à la baignade contre 80 % en 2014. Par contre, les trois embouchures de rivières contrôlées sont toujours impropres à la baignade. Depuis 2010, on observe toutefois une tendance générale à l’amélioration de la qualité des eaux de baignade en mer à Moorea. A Bora Bora, la qualité des eaux de baignade reste excellente. A Raiatea et Tubuai, les points en mer contrôlés en 2015 sont propres à la baignade. Les principales causes de pollution des eaux de baignade restent constantes au fil des années. Ce rapport et la carte de qualité des eaux de baignade seront diffusés auprès des communes et des services administratifs concernés ainsi qu’auprès du public. Ils seront mis en ligne sur le site internet du CHSP : www.hygiene-publique.gov.pf Création d'un comité de pilotage des archives en Polynésie française Le ministre en charge de la communication a proposé au Conseil des ministres la création d'un comité de pilotage chargé d'examiner et de proposer des solutions aux problématiques liées à l'archivage des documents produits ou détenus par l'État sur le territoire. Depuis juillet 1990, date de l’inauguration du dépôt des archives, à Tipaerui, le Service territorial des archives conserve le patrimoine intéressant la Polynésie française. À ce jour, le dépôt des archives affiche un taux d’occupation de ses magasins de près de 60%, ce qui représente 9 000 mètres linéaires d’archives. Un tiers de ces archives sont des documents versés par l’État, les services de l’État ou la Justice. Les méthodes de traitement des archives ont grandement évolué. Depuis quelques années, les processus de collecte, de tri et de classement ont bénéficié de nouveaux outils. Ainsi, sur le territoire national, les archives départementales assurent une mission de proximité avec les préfectures. C’est sur la base du même schéma que les services de l’État souhaitent s’appuyer sur le Service du patrimoine archivistique et audiovisuel pour assurer les mêmes fonctions : la gestion des tableaux de tri, le contrôle scientifique et technique, la conservation, la restauration. Le Pays, quant à lui, souhaite garder la maîtrise de ses archives. Les principales missions du comité peuvent se résumer comme suit : - définir les grands axes stratégiques nécessaires à la prise en compte et à l’amélioration du traitement archivistique des archives ; - orienter, étudier et coordonner toutes opérations techniques permettant de dresser un constat sur la situation générale de l’activité d’archivage ; - identifier et évaluer les besoins immédiats et futurs à mettre en œuvre ; - examiner toute question relative à la bibliothèque, à la médiathèque et au dépôt légal en Polynésie française ; - proposer toute solution permettant de garantir la sauvegarde, la sécurité et l’accessibilité des fonds archivistiques patrimoniaux du Pays ; - étudier toute proposition de facilitation d’échanges inter-services d’archives de contenus numérisés. Les premiers travaux du comité viseront à la réalisation d’un état des lieux des archives en Polynésie française. -o-o-o-o-o- Réouverture de la Vallée de la Fautaua 16/03/2016
PAPEETE, le 16 mars 2016. (COMMUNIQUE) La Ville de Papeete informe le public de la réouverture de la Vallée de la Fautaua.
Les intempéries du mois de février ont causé de nombreux éboulements sur le site et par mesure de précaution, ce dernier a été officiellement fermé le 15 février dernier. Les sentiers sont à présent dégagés et sécurisés. Pour les autorisations d'entrée, joindre la régie des recettes de la mairie de Papeete, au 40 415 836. Lutte contre le Diabète et l’Obésité : Dépistage gratuit à Hyper U le 12 et 13 mars 11/03/2016
Dans le cadre de la lutte contre le Diabète et l’Obésité, L’ADOPF va pratiquer un dépistage gratuit à Hyper U Pirae le Samedi 12 Mars 2016 de 8h00 à 16h00 et le Dimanche 13 Mars 2016 de 8h00 à 12h00
Venez nombreux aux séances d’information et de sensibilisation sur le diabète, l’hypertension artérielle et l’obésité. Contact ADOPF 40 43 96 84 Compte-rendu du conseil des ministres du 9 mars 2016 09/03/2016
Revalorisation du tarif de l’abonnement mensuel de la ligne téléphonique
Sur proposition du gouvernement, le Conseil des ministres a validé la revalorisation du tarif de l’abonnement mensuel de la ligne téléphonique. Auparavant, afin d'adapter sa politique tarifaire de l'abonnement téléphonique, l’OPT a fait auditer les coûts de l'infrastructure du réseau et notamment la boucle locale cuivre, par le cabinet Solucom. Il ressort de cet audit que : - le coût moyen d'une ligne d'abonné pour l'ensemble de la Polynésie française, sur la base de 57 435 lignes, est de 3 398 Fcfp hors taxes (HT), - le prix de l'abonnement mensuel résidentiel étant de 2 136 Fcfp HT, il en résulte un déficit mensuel de 1 262 Fcfp HT. Face à ce constat, dans un souci de pérennisation des structures et services proposés aux usagers, une évolution des tarifs de l'abonnement téléphonique s’est avérée inévitable. Cependant, soucieux de préserver les ressources des ménages polynésiens dans un contexte économique contraint, le gouvernement a décidé de limiter cette évolution tarifaire à 214 Fcfp, soit tout juste 10%, l’abonnement n’ayant pas évolué depuis février 2008. La revalorisation prendra effet à compter du 1er mai 2016 et fera l’objet d’un réexamen annuel. La Polynésie française présente au Seatrade Cruise Global Le ministre du Tourisme conduira la délégation polynésienne au « Seatrade Cruise Global », organisé à Fort Lauderdale la semaine prochaine. Cette délégation compte l’ensemble des acteurs locaux de la croisière et, notamment, Tahiti Tourisme, le Port Autonome de Papeete, Air Tahiti Nui et le Tahiti Cruise Club. Le « Seatrade Cruise Global », qui existe depuis plus de trente années est le plus grand salon professionnel mondial de la croisière. Il regroupe, sur un espace de 38 000 m², plus de 1 000 exposants issus de 127 pays et 11 000 participants y sont attendus. La Polynésie française, qui s’associe à cet évènement depuis 2009, a bénéficié depuis de retombées très positives. Ainsi, en 2015, on a dénombré pas moins de 508 escales de paquebots transpacifiques, en progression de 14% par rapport à 2014. Le nombre de passagers débarqués sur l’ensemble de la Polynésie, Aranui et Paul Gauguin compris, enregistre une augmentation de 34 % (442 000 en 2015 contre 330 000 en 2014). De nombreuses rencontres sont prévues, avec les majors de la croisière (Windstar Cruises, Seabourn, SilverSea Cruises, Ocenia/Regent, Seven Seas Cruises, Princess Cruises, Holland America Lines, Carnival, Ponant, Oceania Cruises Lines, Regent, Disney Cruises Lines, Crystal Cruises, Carnival Cruises Lines, Royal Caribban Cruise Ltd) mais aussi avec les fournisseurs spécialisés (équipements, infrastructures, etc.). C’est l’occasion, pour notre destination, de conforter sa présence sur ce marché porteur, notamment par son insertion régionale via South Pacific Cruise Alliance (SPCA), auquel est affilié le Tahiti Cruise Club (TCC), partenaire local de l’évènement. En effet, par nature, le développement de la croisière passe par une coopération de l’ensemble des pays insulaires de la région et le partenariat océanien, renforcé à l’occasion du premier Forum régional organisé à Papeete en septembre dernier, commence à porter ses fruits. Le « Seatrade Cruise Global » sera l’occasion, pour la Polynésie française, de faire valoir ses atouts et de présenter ses infrastructures d’accueil, nouvelles ou en projet (Moorea, Uturoa, Fakarava). Il permettra également d’informer les compagnies de nouvelles dispositions polynésiennes favorables au développement de l’activité dont, notamment, la possibilité, pour les paquebots transpacifiques à quai, d’ouvrir leurs casinos pour les passagers lorsqu’ils sont en escale ou encore les simplifications de procédures mises en place par l’Etat pour les visas des équipages étrangers. Dans un contexte concurrentiel, outre l’occupation et l’animation d’un stand de promotion « Tahiti et ses Iles », disposé dans le pavillon régional South Pacific, des opérations de communication permettront de renforcer la visibilité de la destination Polynésie française. Une brochure spécifique, « Tahiti, destination », a été éditée pour l’occasion. Reclassement des personnels de santé Le Conseil des ministres a défini, par arrêté, la liste des diplômes de la filière santé pouvant donner lieu à un reclassement ainsi que les modalités de sélection des candidats. En effet, l’article 56 du statut général de la fonction publique de la Polynésie française prévoit que les fonctionnaires ayant obtenu un diplôme permettant d’accéder à une catégorie supérieure après avoir suivi des études ou un cycle de formation à l’initiative de l’administration, ont la possibilité d’être reclassés. Ce dispositif constitue une dérogation au recrutement par concours qui garantit l’égal accès aux emplois publics. Cette exception est justifiée par des besoins avérés de l’administration, la prise en charge d’une formation longue et la rareté des candidats dans le cadre d’emplois d’accueil. Ainsi, les dispositions prises ont pour objectif d’encadrer cette dérogation et d’éviter tout arbitraire dans le choix des candidats. Revalorisation du point d’indice pour les fonctionnaires Le Conseil des ministres a adopté la revalorisation du point d’indice servant au calcul de la rémunération des fonctionnaires. L’arrêté n° 1799/CM du 21 décembre 2007 avait fixé la valeur de l’indice 100 à 99 500 Fcfp à compter du 1er janvier 2008, dernière date de revalorisation de la valeur du point. Aussi, après 8 ans du gel de la valeur de l’indice servant de base au calcul de la rémunération des fonctionnaires, la valeur de l’indice 100 est portée à 100 000 Fcfp à compter du 1er mai 2016 et 100 500 Fcfp à compter du 1er septembre 2016, soit une augmentation de 1%. Cette décision résulte d’un arbitrage entre les attentes des fonctionnaires et l’engagement du gouvernement à maîtriser l’évolution de la masse salariale du Pays, dans le cadre du plan d’assainissement des finances publiques. Programmes de vols des compagnies aériennes internationales pour la saison IATA été 2016 Le Conseil des ministres a approuvé les programmes de vols des compagnies aériennes internationales pour la saison IATA été 2016. Ces programmes comprennent les fréquences hebdomadaires suivantes : - Pour Air Tahiti Nui : de 10 à 16 fréquences vers Los Angeles, dont la moitié avec une continuité sur Paris, 3 fréquences vers Auckland et 2 fréquences vers Tokyo ; - Pour Air France : 3 fréquences vers Los Angeles puis Paris ; - Pour Air New Zealand : 2 à 3 fréquences vers Auckland ; - Pour LATAM et Hawaiian Airlines, 1 fréquence, respectivement vers Santiago (via l’île de Pâques) et Honolulu ; - Pour Air Tahiti : 1 à 2 fréquences vers Rarotonga, en partenariat avec Air Rarotonga. Les programmes de cabotage ont été reconduits dans leur configuration habituelle. En outre, des négociations en cours avec les autorités brésiliennes pourraient permettre à Air Tahiti Nui de proposer, dès cette saison IATA, des vols vers Sao Paulo, via Los Angeles, en partenariat avec American Airlines. Extension de la zone de collectage de bénitiers dans le lagon de l’atoll de Reao Les exportations de bénitiers, issus du collectage, concernent un marché de niche en aquariophilie, tandis que le marché de la chair devrait pouvoir se développer davantage au niveau local et à l’international. Les aquaculteurs ont sollicité une extension de la zone autorisée au collectage de bénitiers dans le lagon de Reao, représentant actuellement 965 Ha, afin d’améliorer leurs probabilités de réussite. Aussi, après avis favorable du maire de la commune de Reao-Pukarua, une extension de 500 Ha de la zone de collectage (zone Sud du bassin 1) a été autorisée par le Conseil des ministres. Cependant, aucune nouvelle concession d’élevage ne sera autorisée dans cette extension de zone de collectage, afin de limiter tout risque de développement d’anémones. Développer le volet « formation » dans le dispositif du contrat d’accès à l’emploi (CAE) Dans le cadre du développement des dispositifs de formation et d’accompagnement à adjoindre au CAE, la ministre du Travail a présenté au Conseil des ministres une modification des dispositions idoines du code du travail. En formation en alternance pour la majorité d’entre eux, les stagiaires bénéficiaires d’un CAE rénové (avec formation) sont accueillis, à l’instar des stagiaires bénéficiaires d’un CAE classique (sans formation), en entreprise, en association, mairie ou dans l’administration, à raison de 35 heures hebdomadaires d’activité. Or, la durée hebdomadaire d’un stagiaire bénéficiaire d’un CAE rénové varie sensiblement de celui d’un stagiaire en CAE classique, du fait de sa participation à la formation théorique dispensée en organisme de formation. En effet, pour toute formation qualifiante et diplômante, le quota horaire hebdomadaire répond à des exigences édictées par des programmes et des référentiels. Il y a donc lieu de garantir la mise en adéquation du quota horaire hebdomadaire des stagiaires bénéficiant d’un CAE rénové avec les exigences propres à chaque formation, dans le respect de la durée légale du travail. Par ailleurs, il a été décidé d’augmenter d’une unité le nombre de CAE autorisé en entreprise ou en coopérative de façon à renforcer les possibilités de placement des stagiaires en CAE rénové, tout en maintenant un taux d’encadrement raisonnable. Pour l’année 2016, il est prévu de mettre en formation en alternance près de 600 bénéficiaires du CAE, sur l’ensemble de la Polynésie française. Dispositif éducatif d’aide de prévention en faveur des collèges et lycées publics Le Conseil des ministres a adopté un arrêté approuvant l’attribution d’une subvention de fonctionnement, destinée à financer le dispositif éducatif d’aide de prévention en faveur des collèges et lycées publics. Le dispositif éducatif d’aide de prévention a pour objectifs principaux d’améliorer l’encadrement des établissements par un accompagnement éducatif, de prévenir la violence intra et extra scolaire et enfin de participer aux actions et projets d’animation dans les internats. Ce dispositif est financé par le budget du Pays avec une participation financière pour la période de janvier à juin 2016 s’élèvant à 47 628 000 Fcfp, pour un équivalent en heures correspondant à 15 120 heures. La répartition des moyens horaires par établissement est effectuée selon les critères suivants : - Nombre d’élèves dans l’établissement ; - Proportions de boursiers ; - Proportions d’internes ; - Présence d’un CPE, titulaire ou non ; - Ouverture de l’internat le week-end ; - Eloignement géographique de l’établissement ; - Etablissement en REP+ ; - Taux de réussite aux examens. L’arrêté adopté concerne l’attribution d’une subvention de fonctionnement destinée à financer ce dispositif éducatif d’aide de prévention pour un montant global de 47 628 000 Fcfp. Au total, 25 collèges et 10 lycées publics, répartis sur l’ensemble des archipels de Polynésie française, en seront bénéficiaires. Opération A’ata – Smile for peace A la suite d’un tragique fait divers qui marqué la fin de l’année 2015, les étudiants en photographie de l'École de Commerce de Tahiti et l'association Pacific Storytellers ont décidé de mener une opération artistique et sociale pour apporter leur voix, résolument positive et innovante, sur le sujet de la violence à Tahiti et dans les archipels. Cette opération a été baptisée : « A'ata – Smile for peace » À l'échelle internationale, cette action s'inscrit dans le cadre du projet « Inside Out », un grand projet participatif mondial dont le but est de « transformer les messages des populations en œuvre d’art ». Celui-ci concerne aujourd'hui plus de 130 pays à travers le monde, avec plus de 250.000 posters imprimés, et plus de 1.000 groupes d'action créés, chaque pays, chaque groupe d’action choisissant de défendre la cause qui lui est chère. À partir de la problématique de la violence, les jeunes de l'ECT Tahiti ont voulu user de moyens non-violents comme l'image, avec ce message fort: « Nous agissons pour nous rappeler que la joie de vivre et la générosité sont des valeurs polynésiennes et que la montée des violences ne doit pas nous les faire oublier ». Il s'agit donc de réaliser 1 000 portraits individuels : des visages souriants, riants, ou inspirant instantanément la joie, puis de les afficher sur les murs, sur le sol, sur des surfaces visibles par le plus grand nombre, et dans plusieurs communes de Tahiti. S’il est porteur indéniablement d'un effet rassembleur, le projet aura un impact fort également pour le tourisme. Avec le rayonnement que l’organisation Inside Out, l’opération aura ainsi une visibilité internationale. A ce jour, plusieurs partenaires institutionnels, sportifs, des artistes, des étudiants, des entreprises locales, et des membres de la société civile ont accepté de prendre part au projet. Mise à jour de la base de données SIG des installations classées pour la protection de l'environnement sur l'île de Tahiti Les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) sont des installations qui peuvent présenter des dangers ou inconvénients pour la commodité du voisinage, la santé, la sécurité, la salubrité publique, l'agriculture, l'aquaculture, la pêche, la protection de la nature et de l'environnement. Ces dernières sont régies par un arrêté d'autorisation dans lequel sont spécifiées les prescriptions permettant de prévenir des dangers qu'elles représentent et auxquelles elles sont soumises. Depuis 1967, 2023 arrêtés d'autorisation ont été délivrés sur l'ensemble de la Polynésie française. La majorité des ICPE autorisées sont encore en activité mais il s’avère nécessaire d'actualiser les données relatives aux ICPE, puis de les intégrer dans un système d’information géographique (SIG) afin de les cartographier. La mise à jour des données et la cartographie des ICPE ont été effectuées sur les communes de l'île de Tahiti. A elle seule, la commune de Papeete concentre 48 % des ICPE encore en activité. Elles sont généralement du type industriel. Une densité importante de ces dernières est relevée au niveau des zones industrielles de Fare Ute, Motu Uta, Tipaerui et Titioro. Les installations les plus dangereuses telles que les dépôts d'hydrocarbures des grandes sociétés pétrolières, les sphères et cuves de gaz se situent au niveau de la zone industrielle de Fare Ute - Motu Uta. Dans la zone industrielle de Tipaerui, se trouvent principalement des hangars de stockage avec quelques activités à risque (unité de traitement des huiles usées et de stockage de substances dangereuses, station de concassage, unité de production d'oxygène et fabrication de matières plastiques). Quant à la zone industrielle de Titioro, elle concentre diverses activités dont les principales sont les ateliers mécaniques des grands concessionnaires locaux, les entrepôts de stockage des sociétés d'importation et de construction de matériaux et les ateliers de travail de matières premières (bois, métaux). Ainsi, la mise à jour de la base de données SIG sur l'île de Tahiti permettra de faciliter la consultation des informations concernant les ICPE par les agents de la Direction de l'environnement, une meilleure visualisation de la répartition des ICPE dans le but d'améliorer le contrôle de ces dernières ou l'intervention d'urgence en cas de pollution ou de sinistre, surtout durant cette période à fort risque cyclonique. Ce travail devrait s'étendre par la suite sur l'île de Moorea dans un second temps, puis sur l'ensemble des archipels de la Polynésie française. Calendrier des manifestations culturelles et environnementales pour 2016 Le ministre de la Culture et de l’Environnement a présenté au Conseil des ministres le calendrier des manifestations culturelles et environnementales soutenues par le Pays tant au plan financier qu’au plan des moyens techniques et humains. Certaines de ces manifestations, tel que le Heiva I Tahiti, sont récurrentes et bien installées dans notre calendrier évenementiel, d’autres en sont à leur première édition. Ainsi dans le domaine culturel, le « Festival Polynesia » et le « Forum des langues polynésiennes » se dérouleront du 12 au 17 septembre 2016, et permettront de valoriser les cultures et les langues du triangle polynésien. Autre moment fort, l’exposition ‘Tiki’, du musée de Tahiti et des îles, présentera des pièces maîtresses de l’établissement et des objets issus des collections privées et du Musée du Quai Branly. Dans le domaine de l’environnement, la journée mondiale de l’environnement sera au diapason de l’année de la baleine, et sur le thème de la sanctuarisation de la ZEE polynésienne en faveur des espèces marines emblématiques. Date Manifestations Lieu 30 janvier au 07 février 13ème FIFO Maison de la Culture 4 mars 2016 5eme Concert Soroptimist -Journée internationale de la femme Mairie de Pirae 17 au 19 mars 4ème Festival du 'Uru et autres cultures vivrières locales Paepae a Hiro 20 mars 2016 Journée Mondiale de l'eau Jardins de Paofai 24 mars 2016 2ème Tahiti Comedy Show "Pute 'ata" Grand Théâtre 30 mars au 03 avril Convention Polynesia Tatau Musée de Tahiti et des îles 30 mars au 1er avril Ateliers de formation sur les espèces exotiques envahissantes Royal Tahitien 9 avril 2016 1st Ori Tahiti World Cup Toata 12 au 24 avril Hoho'a 2016( exposition photos) Musée de Tahiti et des îles 21 avril 2016 Concert des grands ensembles du Conservatoire Grand Théâtre 6 mai 2016 1er concours de Ta’iri Paumotu Paepae a Hiro 9 au 13 mai Ateliers préparatoires à l'initiative pour un océan durable Bora Bora 14 mai au 11 juin Exposition "Les Poilus tahitiens" Musée de Tahiti et des îles 17 au 21 mai Concert Symphonique et Rencontre Ori & Danse Classique Grand Théâtre 21 mai 2016 La nuit des Musées Musée de Tahiti et des îles 26 mai au 4 juin Heiva des Ecoles Toata 5 juin 2016 Journée mondiale de l'environnement sur l'année de la baleine Jardin Paofai ou Musée de Tahiti 10 juin 2016 Concours Orero Grand Théâtre 11 juin 2016 Gala du conservatoire Toata 17 juin au 31 juillet Exposition "Orama Studio" Musée de Tahiti et des îles 18 juin 2016 Fête de la Musique 29 juin 2016 Hiva Vaevae Toata 30 juin au 23 juillet Heiva I Tahiti Toata 1er et 2 juillet Heiva va’a Mata’einaa Mataeia 02 au 30 juillet Grand spectacle sur le Marae Arahurahu-Tamariki Poerani Marae Arahurahu 14 juillet au 17 juillet Heiva Tu'aro Ma'ohi 2016 Jardin du Musée de Tahiti 22 juillet au 07 août Heiva de Teva i Uta Site de Tehoro à Mataiea 12 au 17 septembre Festival International Polynesia Maison de la Culture 12 au 16 septembre Forum des Langues Polynésiennes Foyer Protestant Paofai 15 septembre au 19 mars Exposition Tiki Musée de Tahiti et des îles 17 -18 septembre Journées européennes du patrimoine Musée de Tahiti et des îles 15 octobre 2016 6éme Pina'ina'i Paepae a Hiro 4 novembre 2016 Upa Nui Toata 12 novembre 2016 2ème Heiva Tarava Tahiti Jardin de Paofai 16-19 novembre 16ème salon du Livre Paepae a Hiro 24 nov au 04 décembre 12ème Hura Tapairu-2ème Pahu Nui Grand Théâtre 30 nov au 03 décembre 1er Huara Tapairu International Grand Théâtre 7 décembre 2016 Gala des arts traditionnels Jardin du Musée de Tahiti Célébration de la Journée mondiale de l’eau 2016 au Parc Paofai Le ministre de l’Environnement a présenté le programme de La Journée Mondiale de l’Eau qui se tiendra cette année encore au Parc Paofai. Instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies depuis 1993, cette Journée est célébrée, chaque année, le 22 mars, l’objectif étant d’attirer l’attention de tous sur l’importance de la conservation de l’eau et du développement des ressources en eau. Pour sensibiliser la population à ces thématiques, la Direction de l'environnement a mis en place un village de l’eau dans les jardins de Paofai en 2015, en optant pour une approche culturelle et ludique à destination d'un public familial. Cette première édition a connu une affluence estimée à près de 2 000 personnes. Il a été proposé de reconduire l’opération sur le même format, sous le thème onusien 2016 de « l’Eau et l’emploi». Ainsi, le dimanche 20 mars 2016, un village de l’eau implanté dans les jardins de Paofai proposera différentes activités récréatives et pédagogiques, avec des spectacles pour les plus jeunes, des ateliers-démonstrations et un concours photo. Différents acteurs de l’eau du secteur institutionnel, associatif et privé présenteront un panorama des métiers de l’eau : le syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française, les communes de Papeete et de Mahina, le service de la culture et du patrimoine, le centre d’hygiène et de salubrité publique, le groupe d’études et de gestion du domaine publique, la direction de l’environnement, les associations Colibris et Ta’ata Ti’a, Marama Nui, ainsi que la Polynésienne des Eaux. Une nouveauté pour cette édition 2016 : un « Fare de l’eau » permettra aux étudiants ou chercheurs d’emploi de rencontrer les différents acteurs de l’eau. Programme de la journée : 9h Ouverture - Discours d’ouverture - Pata'uta'u : Oro’a no te Vai, e puna no te Ora 10h – 11h Spectacle de marionnettes Tao et Tiaporo, par Fenua Marionnettes (10h – 11h30 Fare des métiers (Fare pote’e) 11h15 – 12h15 Narration de la légende de l’arc en ciel Anuanua, par Léonore Caneri 13h – 14h Spectacle de marionnettes Tao et Tiaporo, par Fenua Marionnettes 14h30 – 15h30 Spectacle du magicien de l’eau, par Hildevert 16h30 Proclamation des résultats du concours photo « L’Eau et l’Homme » 17h Fermeture du village TFTN - Fermeture temporaire de la caisse de l'Etablissement en matinée du 7 au 14 mars 07/03/2016
Te Fare Tauhiti Nui – Maison de la Culture vous informe que la Caisse de l’établissement sera fermée du lundi 07 mars au lundi 14 mars inclus de 8h à 12h.
En effet, l’ensemble des agents habilités à encaisser des recettes seront en formation en visioconférence avec la métropole sur le logiciel de vente de la Maison de la Culture. Cette formation permettra de mettre à niveau les connaissances des agents et de former les nouveaux venus, ainsi que de développer de nouvelles fonctionnalités. La Caisse sera accessible au public de 12h à 17h du 07 au 14 mars, avant de revenir à ses horaires habituels dès le mardi 15 mars 2016. L’établissement remercie ses usagers pour leur compréhension et s’excuse du désagrément occasionné. Fermeture voies RDO du mardi 08 au jeudi 10 mars 07/03/2016
PAPEETE, le 7 mars 2016. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Les deux voies de la route de déviation ouest (RDO) seront fermées de part et d’autre du terre-plein central, de 20h jusqu’à 2h du matin, du mardi 08 au jeudi 10 mars 2016, afin de permettre au Service des Parcs et Jardins et de la Propreté d’entretenir les plantations du terre-plein central.
Il est recommandé aux automobilistes la plus grande prudence et le respect des consignes de sécurité aux abords du chantier. Assemblée Générale 05/03/2016
La SOP Manu invite cordialement tous ses membres à participer à son Assemblée Générale annuelle qui aura lieu le samedi 19 mars 2016 de 13h30 à 17h, au CDI du Lycée Samuel Raapoto à Arue.
Après l'exposé du bilan moral et financier de l'exercice passé, il sera procédé au renouvèlement des membres du Conseil d'administration. Seuls les membres à jour de la cotisation 2016 pourront participer aux différents votes. Merci à tous ! Compte rendu du Conseil des ministres du 2 mars 2016 03/03/2016Validation du budget prévisionnel 2016 de l’OPT Le Conseil des ministres a validé le budget prévisionnel pour l’exercice 2016 de l’Office des Postes et Télécommunications. Au préalable, les budgets de l’OPT et de ses filiales avaient été présentés et validés par les administrateurs du conseil d’administration de l’OPT, le 28 janvier 2016. Ce budget prévisionnel prend en compte la tendance baissière des résultats de l’OPT et ce, dans un contexte concurrentiel devenu réel dans le secteur de la téléphonie mobile et de l’Internet. La prévision de résultat net du groupe demeure cependant positive. L’année 2016 sera marquée par le démarrage des travaux relatifs à la mise en œuvre du plan d’actions des orientations stratégiques Ambition 2020 approuvé par le conseil d’administration dans sa séance du 27 octobre 2015. Le conseil d’administration de l’OPT a également validé un accroissement des capacités satellitaires en direction des populations des archipels, la mise en œuvre d’un câble sous-marin reliant Tahiti à certaines îles des archipels des Tuamotu et des Marquises et le raccordement de la Polynésie française par un deuxième câble sous-marin international. Précipitations exceptionnelles du 14 janvier 2016 sur la commune de Ua Pou Le Président de la Polynésie française a présenté au Conseil des ministres une communication destinée à faire le point sur le phénomène de pluies torrentielles accompagnées de vents forts ayant eu lieu à Ua Pou, dans l’archipel des Marquises, le 14 janvier dernier, et qui a entrainé de gros dégâts. Des débordements de rivières ont eu lieu à Hakahau et Hakahetau, des torrents ont causé des dommages aux infrastructures publiques telles que les routes territoriales ainsi que les routes permettant l’accès aux captages de Hakahetau, Hakatao et Hikeu. En outre, les routes desservant certains quartiers de Hakahau et l’accès à la baie de Hakamoui sont devenus impraticables. Compte tenu de l’importance de ces dommages, le Président de la Polynésie française a proposé de constater l’état de calamité naturelle des sinistres occasionnés par ces précipitations exceptionnelles survenues à Ua Pou. Bilan des manifestations artisanales de l’année 2015 Le Président de la Polynésie française a dressé le bilan du secteur de l’artisanat pour l’année 2015. Cette année s’inscrit en effet dans la prolongation des actions menées par les comités, fédérations et associations artisanales, avec comme but principal la valorisation des produits locaux. En participant activement et financièrement à une vingtaine de manifestations artisanales, le Pays confirme sa volonté d’encourager les professionnels du secteur à exposer leurs productions mais aussi à soutenir les initiatives des Polynésiens des archipels éloignés dans leur créativité et l’écoulement de leurs produits. Le secteur de l’artisanat a ainsi bénéficié d’un soutien financier du Pays par l’attribution d’aides financières. A ce titre, des subventions d’un montant total de trente millions Fcfp de subventions ont été consacrées à l’organisation et la tenue de douze manifestations, dont huit sur l’île de Tahiti, deux aux îles Australes, une aux îles Sous Le Vent et une au Japon. En parallèle, quatre de ces évènements ont fait l’objet de campagnes de communication directement prises en charge par le service de l’Artisanat traditionnel. De plus, huit autres manifestations ont bénéficié d’une aide financière en matière de communication. Quatre d’entre elles se sont tenues à l’Assemblée de la Polynésie française, du 10 au 14 février, pour le compte de l’association « Bijouterie d’Art de Polynésie française », du 24 février au 8 mars, pour l’association « Te Rara’a » spécialisée dans la vannerie, du 27 avril au 10 mai pour l’association « Te Kapu nui » qui travaille essentiellement les coquillages, et du 18 au 24 décembre pour l’association « Artisanat d’Art » reconnue pour ses produits innovants. La cinquième exposition s’est déroulée au CESC le 28 mars dans le cadre de l’opération Earth Hour Tahiti 2015. La sixième a été organisée à l’Assemblée de la Polynésie française et à l’hôtel Méridien de Punaauia du 8 au 13 juin à l’occasion de la Tahiti Fashion Week. La septième, menée par l’EPIC « Vanille de Tahiti » du 16 au 20 juin dans le hall de l’Assemblée de la Polynésie française, a regroupé neuf artisans exposants. Enfin, la dernière exposition s’est déroulée du 25 novembre au 5 décembre lors de la 11e édition du Hura Tapairu, en collaboration avec la Maison de la Culture. Les manifestations ayant disposé d’une aide financière du Pays ont généré un chiffre d’affaires à hauteur de près de 217 629 620 Fcfp pour les acteurs du secteur. Par ailleurs, les sept centres artisanaux en activité, situés à Mahina (Tahiti), Paopao (Moorea), Fare (Huahine), Raivavae, Rimatara, Tubuai (Australes) et Taiohae (Marquises) ont généré un chiffre d’affaires de 30 989 046 Fcfp. Bilan de la participation de la Polynésie française au Forum UE-PTOM Le ministre du Tourisme a représenté le Gouvernement lors du 14ème Forum UE-PTOM organisé par la Commission européenne et l’association des Pays et Territoires d’Outre-mer (OCTA). Ce rendez-vous annuel entre les Pays et Territoires d’Outre-Mer (PTOM), les Etats membres de l’Union européenne auxquels ils sont liés et la Commission européenne, comprend trois temps forts : - La Conférence ministérielle de l’OCTA (Overseas Countries and Territories Association) qui est l’assemblée générale de l’association, objet de la première journée de réunion ; - Le Forum UE-PTOM qui réunit des représentants de l’UE (Commission européenne), des PTOM et des Etats Membres (EM) auxquels ils sont liés (Royaume-Uni, Danemark, Pays-Bas et France), objet de la seconde journée de réunion ; - Les rencontres trilatérales CE-PTOM-EM, réunions techniques de suivi de l’exécution du Fonds européen de développement (FED), territorial et régional, intercalées entre les sessions de la Conférence ministérielle. La Conférence ministérielle de l’OCTA est l’occasion pour les Pays et Territoire d’Outre-mer (PTOM) de faire un point sur le fonctionnement de l’association mais aussi d’échanger sur la vulnérabilité et les responsabilités des PTOM en matière de changement climatique. Dans ce cadre, le ministre a fait valoir les attentes de la Polynésie française vis-à-vis de l’Union européenne et, en particulier, a appelé au soutien de l’UE pour que les PTOM, dont l’innovation pour l’atténuation et les efforts d’adaptation au changement climatique méritent d’être considérés, puissent bénéficier des contributions internationales, dont le fonds vert. Le Forum UE-PTOM qui a suivi était présidé par Neven Mimica, Commissaire européen à la coopération internationale et au développement. Les différentes interventions officielles ont rappelé l’importance géostratégique des PTOM ainsi que leur rôle essentiel de sentinelle dans l’adaptation au changement climatique. La ministre des Outre-mer, George Pau-Langevin, a souligné que la France était très attentive à la qualité des relations UE-PTOM et a appelé de ses vœux l’engagement sans tarder des discussions sur l’après 2020, permettant de faire évoluer le statut des PTOM afin que leurs liens privilégiés avec les Etats membres et, donc, leur appartenance à la famille européenne soit mieux pris en compte. A l’occasion d’une table ronde sur le changement climatique, le ministre du Tourisme a fait valoir l’expérience de la Polynésie française en évoquant, d’une part, les initiatives en matière d’adaptation (Fare MTR, abris para-cycloniques, plans d’urgence) et, d’autre part, les innovations pour la réduction des gaz à effet de serre (SWAC, plan de transition énergétique, énergie thermique des mers, centrales hybrides). Création de deux zones de pêche réglementée des bénitiers dans le lagon de Reao Le Conseil des ministres, à la demande de la population, des pêcheurs, des aquaculteurs, et des autorités locales, a adopté la création de deux zones de pêche réglementée (ZPR) d’une superficie totale de 16,7 hectares dans le lagon de Reao, à Hakahiri dans le bassin 1 et à Tegagiefanaugatua dans le bassin 3. A ce titre, un comité de gestion ou Tomite pahiva no Reao, composé de représentants de la commune, de la société civile locale et de la Direction des ressources marines et minières, sera mis en place pour suivre ces ZPR et émettre toute proposition en matière de préservation et d’exploitation des bénitiers de l’île de Reao. Ces mesures participeront à la préservation d’un écosystème riche et diversifié mais fragile, au maintien durable d’une activité de pêche artisanale et au développement d’une activité d’aquaculture durable dans le cadre d’une cohabitation harmonieuse avec les autres usagers de l’espace lagonaire de Reao. Exonération des droits de douane applicables à certaines matières premières importées et destinées à une transformation sur place Afin d’améliorer la compétitivité des activités manufacturières locales, la délibération n°93-52 AT du 10 juin 1993 modifiée prévoit la suspension de la perception du droit de douane applicable aux matériaux importés et destinés à une transformation sur place. En contrepartie de cet agrément, l’entreprise s’engage à modérer ses prix de vente et à n’utiliser les produits exonérés qu’aux seules fins de transformation. Le Conseil des ministres a décidé d’octroyer cette disposition au bénéfice de la SARL Pacific Press qui a pour activité l’imprimerie de labeur en général et toutes les activités d’imprimerie et d’industrie graphique pouvant s’y rapporter. Organisation de la Journée internationale de la femme Le Conseil des ministres a pris acte d’une communication présentée par la ministre en charge de la condition féminine, se rapportant à l’organisation de la journée de la femme. Depuis 1990, la Polynésie française organise la journée internationale des droits de la femme autour de thèmes spécifiques sur les plans locaux, régionaux et mondiaux. Jusqu’alors trop souvent présentée au regard de ses fragilités ou de ses combats, la femme n’a pas suffisamment été valorisée. Au coeur de sa famille, dans ses activités culturelles, artisanales ou sportives, dans l’exercice de ses compétences professionnelles, la femme se réalise, coordonne, partage, transmet ses connaissances et ses valeurs. Cela participe à son épanouissement personnel, à l’équilibre des familles, au bien être des enfants et, au final, à une plus grande cohésion sociale. Ainsi, l’accent sera-t-il mis en 2016 sur la célébration et la reconnaissance de la femme polynésienne dans toutes ses réalisations et tous ses projets au plan économique, sanitaire, social, culturel, politique et familial autour du thème : “SMILE FOR VAHINE, La Reconnaissance pour ELLES - A fa’ahanahana i te mau vahine” Une conférence de presse annonçant les diverses activités et manifestations organisées à l’occasion de la célébration de la journée de la femme est programmée pour le 7 mars prochain. Une nouvelle salle d'embarquement pour l'île sacrée 01/03/2016
RAIATEA, le 01/03/2016 - Une salle attendue depuis longtemps par les habitants de Raiatea et de Tahaa.
On l’attendait depuis longtemps ! Sans tambours ni trompettes, et après de multiples retards, Aéroport de Tahiti a enfin ouvert la nouvelle salle d’embarquement de l’aéroport de Raiatea. La venue de François Hollande a sans aucun doute bousculé un peu le calendrier car il a bien fallu l’accueillir dans une salle digne de ce nom. Fini les bousculades entre les partants et les arrivants, la nouvelle salle est claire, spacieuse et confortable ! Futsal : La 1re édition de la Coupe du maire s'est tenue ce week-end 29/02/2016
TAUTIRA, le 29/02/2016 - Organisée par le comité de Taiarapu-Est à la salle omnisports de Tautira, cette Coupe du maire a réuni plusieurs équipes issues de diverses communes.
Les séniors de Punaauia sont arrivés à la première place grâce à leur victoire contre Faa'a, 6 à 1. Un trophée qu'ils remettront en jeu l'an prochain. En 3e position, on retrouve l'équipe de Vaiotaha, de Pueu. Chez les femmes, les joueuses de Tautira n’ont pas démérité au même titre que les vétérans de l’association sportive Te ahi manu de Pueu où a évolué Hérold Atani, adjoint au maire. |
Les locations soumises à cotisations en 2025
18/12/2024
Un incendie ravage une maison à Matati'a
23/11/2024
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