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Compte rendu du Conseil des ministres du 3 août 2016  03/08/2016

Exécution du budget général de la Polynésie française

Le Vice-Président en charge du budget et des finances a présenté en Conseil des ministres les résultats de l’exécution du budget général de la Polynésie française au 31 mai 2016. Ceux-ci semblent notamment confirmer la tendance annoncée lors de la publication des comptes économiques rapides de la Polynésie française pour l’exercice 2015.

En effet, sur les premiers mois de 2016, la consolidation de l’économie polynésienne se concrétise par une progression importante des recettes fiscales de 1,531 milliard Fcfp (qui s’élèvent à 37,147 milliards Fcfp contre 35,617 milliards Fcfp au 31 mai 2015, soit +4,30 %), consécutive à une augmentation des recettes issues de la fiscalité directe comme de la fiscalité indirecte.

Le produit de la fiscalité indirecte s’établit à 26,883 milliards Fcfp contre 26,384 milliards Fcfp en 2015, soit un résultat en augmentation de 500 millions Fcfp (+1,89 %) correspondant principalement à l’augmentation du produit de la TVA à l’importation (+202 millions Fcfp) et aux droits de timbres et d’enregistrements (+386 millions Fcfp). Le produit de la fiscalité directe s’inscrit en hausse de 1,031 milliard Fcfp (+11,17 %), avec un rendement de 10,264 milliards Fcfp en mai 2016, contre 9,233 milliards Fcfp en mai 2015.

Cette augmentation est principalement due aux impôts et taxes sur le revenu qui affichent une recette en augmentation, de 987 millions Fcfp (+ 12,73 %) dont :

• 587 millions au titre de l’impôt sur les sociétés (IS) : on enregistre ainsi le bénéfice de la mesure prise en 2013 de baisse de la fourchette de taux d’impôt sur les sociétés (passée de 30%-40% à 25%-35%) et de la reprise économique ;
• 272 millions au titre de la Contribution Supplémentaire à l’Impôt sur les Sociétés (CSIS),
• 81 millions au titre de l’impôt sur le revenu des capitaux mobiliers (IRCM) ;
• 137 millions au titre de la retenue à la source des non résidents ;

On note toutefois une baisse de 102 millions Fcfp de l’impôt sur les transactions (-11%). S’y ajoutent l’augmentation du produit des droits intérieurs de consommation sur les véhicules (+ 63 millions Fcfp) et les résultats de la redevance de promotion touristique (+ 53 millions Fcfp). Les projections sur la totalité de l’exercice 2016 des rendements fiscaux sont supérieures aux prévisions budgétaires de 1,744 milliard Fcfp (+2 %).

Les projections pour les recettes non fiscales dépassent de 677 millions Fcfp les prévisions budgétaires dont 477 millions Fcfp pour le rattrapage de la dotation globale d’autonomie (DGA) conformément aux engagements du premier ministre Manuel Valls. Ainsi, les projections des recettes de fonctionnement pour l’exercice 2016, estimées à 110,832 milliards Fcfp, prévoient un rendement supérieur de 2,421 milliards Fcfp (+2,23 %) en comparaison des prévisions budgétaires.

S’agissant des dépenses de fonctionnement, les réalisations s’exécutent normalement. Enfin, pour ce qui concerne l’investissement, la mobilisation d’emprunt s’effectue selon les besoins (1,895 milliard Fcfp de mobilisation d’emprunt contracté en 2015 dont 1 milliard Fcfp auprès de la Socredo et 895 millions Fcfp auprès de l’Agence française de développement (AFD) et les partenariats financiers s’exécutent selon le rythme habituel.

Au 31 mai 2016, le montant des crédits de paiement budgétés dédiés aux opérations réelles d'investissement du budget général de la Polynésie française s'élève à 37,068 milliards Fcfp, dont 20,246 milliards Fcfp de crédits de paiement nouveaux et 16,822 milliards Fcfp de crédits de paiement reportés. Le montant des crédits de paiement répartis sur les opérations réelles d’investissement s’élève à 36,567 milliards Fcfp.

Les chiffres de consommation de crédits à l’issue du mois de mai 2016 confirment à nouveau la relance de la commande publique sur l’exercice. Les liquidations sont ainsi largement supérieures de près de 1,125 milliard Fcfp de celles de 2014 et de 1,186 milliard Fcfp aux résultats de l’année précédente. La moyenne des liquidations mensuelles à l’issue des 5 premiers mois de l’année 2016 s’établit à 1,4 milliard Fcfp contre près de 1,2 milliard en 2014 et 2015 et moins de 1 milliard durant les exercices 2012 et 2013.

Le collectif budgétaire voté par l’Assemblée de la Polynésie française le 14 juin dernier injecte plus de 6 milliards Fcfp de crédits de paiement nouveaux et créent 80 nouvelles opérations d’investissements qui permettront d’optimiser encore les résultats attendus. Les bonnes perspectives de liquidation couplées au fort niveau d’engagement actuel permettent de maintenir une prévision de consommation 2016 conforme à l’objectif annoncé de 25 milliards Fcfp (+/-10 %) par le gouvernement. Ce résultat serait alors largement supérieur à ceux des six exercices précédents.


Modification de la réglementation budgétaire

Le Vice-Président en charge du budget et des finances a présenté en Conseil des ministres un projet de « loi du Pays » modifiant, en plusieurs points, les dispositions de la délibération du 23 novembre 1995 portant réglementation budgétaire, comptable et financière de la Polynésie française et de ses établissements publics.

Si ce projet permet de procéder à un toilettage et à une modernisation de plusieurs dispositions de la règlementation budgétaire, comptable et financière, il a surtout pour principal objet d’instaurer la procédure du crédit pour « dépenses imprévues » destinée à faciliter le déblocage et la répartition de crédits en cas de calamité naturelle en Polynésie française ou hors de son territoire.

Cette procédure fait suite à l’annonce du Président de la Polynésie française lors du comité des finances locales en mars 2016, de suppression du compte spécial dénommé Compte d’Aide aux Victimes des Calamités (CAVC).

Ainsi, le projet de loi du Pays autorise l’Assemblée de la Polynésie française à voter un crédit pour « Dépenses imprévues » qui ne pourra être utilisés que dans deux cas clairement identifiés :

• en cas de catastrophe naturelle en Polynésie française, constatée par le Conseil des ministres ou
• pour venir en aide aux populations touchées par une catastrophe naturelle hors du territoire de la Polynésie française.

Ce crédit, qui constitue en quelque sorte une réserve budgétaire, permet au Conseil des ministres, en cas de calamité naturelle, de procéder rapidement à des virements de crédits sans devoir attendre un collectif budgétaire qui nécessite une procédure assez longue, incompatible avec les besoins urgents ressentis dans ces cas extrêmes.


Comptes économiques de la Polynésie française pour l’exercice 2015

Le CEROM, organisme constitué de l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM), de l’Agence française de développement (AFD) et de l’Institut de la statistique de Polynésie française (ISPF), a établi et publié les comptes rapides économiques de la Polynésie pour l’exercice 2015. Les résultats déclinés ci-après indiquent une amélioration continue de l’économie polynésienne.

1- La demande intérieure privée, moteur de la croissance

En 2015 la reprise de l'activité, observée depuis 2014, se confirme : le PIB progresse de 1,1 % en volume. L’investissement est le principal moteur de la croissance (+ 5,1% en volume), elle est également soutenue par la bonne tenue de la consommation des ménages (+ 1 % en volume). Le revenu du travail augmente légèrement en lien avec l’amélioration du marché du travail. Ainsi, la masse salariale comme le revenu disponible brut des ménages progressent (respectivement 1,3 % et 0,9 %). Cette hausse des revenus conjuguée à la baisse des prix à la consommation profite aux ménages, dont les gains de pouvoir d'achat atteignent 1,3 %. La consommation des ménages progresse de 1 % en volume, après 0,3 % en 2014.

2- La demande intérieure plus dynamique stimule la croissance du PIB

Le Produit Intérieur Brut (PIB) de la Polynésie française progresse de 1,1 % en volume en 2015 après + 0,9 % en 2014. Pour la deuxième année consécutive, l’économie polynésienne croît à un rythme qui n'avait plus été observé depuis le début de la crise en 2009. Cette embellie ne suffit cependant pas pour créer les 1 300 postes annuels nécessaires pour stopper la montée du chômage. Les principaux moteurs de la croissance sont l’investissement et la consommation finale des ménages. Ils contribuent respectivement pour 1 point et 0,7 point à la croissance du PIB.
Le commerce extérieur contribue négativement (- 0,6 point) au PIB. La hausse des importations (+ 1,8 % en volume) traduit la reprise de la demande intérieure tandis que les exportations sont stables (+ 0,6 % en volume).

3- La reprise de l’investissement soutient la croissance

En 2015, pour la troisième année consécutive, l’investissement dans l’économie polynésienne progresse. Cette progression est soutenue par le secteur privé (entreprises et ménages) qui représente trois quart de l’investissement total. Identifiées par les importations de biens d'équipements, les dépenses d’investissement des entreprises, progressent de 8% en valeur, portées par le renouvellement d’équipements de transport (avions et bateaux). Les hausses de dépenses d’investissement des ménages (+ 1,6% en volume) et du secteur public (+ 8,1 % en volume) sont principalement orientées vers les dépenses de construction.
Toutefois l’investissement total demeure faible ; son niveau est inférieur de 23 milliards Fcfp en valeur à celui de 2008. L’investissement privé (entreprises et ménages) contribue pour 0,6 point à la croissance du PIB en 2015. Il progresse de manière continue depuis 2012, comme en témoigne l’évolution des encours de crédits à l’équipement (+ 2,7%) et des crédits à l’habitat (+ 3,7%). Ces investissements s’élèvent à 84 milliards de Fcfp en 2015 (+ 4,1% en volume), dont 57 milliards Fcfp pour les entreprises (+ 6,7% en volume) et 27 milliards pour les ménages.
L’investissement public augmente de 8,1% en volume en 2015. Les travaux du tunnel de Punaauia, de la prison de Papeari et la préparation du site du Mahana Beach, auxquels s’ajoutent de nombreux travaux sur les réseaux routiers, et les investissements communaux constituent un apport majeur à l’activité économique polynésienne. Le montant total investi par les administrations publiques (État, Pays, communes) dépasse 30 milliards Fcfp.

4- La consommation des ménages profite de la baisse des prix

La consommation, principale composante de l’économie polynésienne est favorablement orientée en 2015. Elle contribue pour 0,6 point à la croissance du PIB. Bien que positive, son évolution diffère selon les agents économiques. Ainsi, la consommation finale des ménages progresse (+ 1% en volume, après + 0,3% en 2014) alors que la consommation publique se contracte (- 0,4% en volume, après - 1,8% en 2014). Cette croissance de la consommation finale des ménages contribue pour 0,7 point à la croissance du PIB. La hausse de la consommation des ménages, la plus forte observée depuis 2007, s’explique surtout par un contexte favorable des prix (- 0,3% pour les prix de la dépense de consommation finale des ménages), associé à une progression soutenue de la masse salariale en 2015. Toutefois, la confiance des ménages est toujours fragile comme en témoigne la baisse de l’encours des crédits à la consommation (- 6,5%en 2015). En revanche, la consommation publique diminue pour la huitième année consécutive, à - 0,4 % en volume, après une baisse de 1,8% en 2014. Elle contribue négativement (- 0,1 point) à la croissance.
Même si la contraction des dépenses de fonctionnement de l’administration est moins marquée cette année, la consommation publique a diminué de 19 milliards Fcfp par rapport à 2008.

5- Pourquoi le déflateur du PIB est supérieur à celui de la consommation des ménages ?

En 2015, la croissance économique mesurée par l’augmentation du PIB en volume (c’est-à-dire à prix constants) a été de 1,1%, mais dans le même temps, l’augmentation du PIB en valeur (c’est-à-dire à prix courants ou nominal) a été de 1,7%. Pour comprendre cette différence, qui correspond aux prix de chaque agrégat du PIB, il faut définir ce qu’est le PIB réel ou PIB en volume. En 2015, l’écart de croissance entre la valeur réelle du PIB et celle en volume s’explique par un déflateur du PIB qui est de 0,6%. Ce déflateur a comme particularité, cette année, d’être positif alors que les prix à la consommation (IPC) sont en baisse de 0,4 %. Cette différence s’explique par une baisse plus forte du prix des importations (- 1,4 %) que celle mesurée sur l’IPC, conjuguée à des prix de l’’investissement et des exportations en hausse. En volume, la hausse des importations (qui est un contributeur négatif à la croissance), étant plus élevée que l’évolution des autres composantes de la demande (consommation, investissement et exportations), la valeur du PIB 2015 au prix de 2014, est donc plus faible que celle du PIB 2015 en valeur, impliquant donc, l’existante d’un déflateur positif.

6- La hausse de l’emploi se confirme

Pour la première fois depuis 2009, l’emploi salarié augmente (+ 0,4 %), de même que la masse salariale totale (+1,3 %). Cette progression du nombre d’emplois et du salaire moyen (+1,6%), dans un contexte de baisse des prix, permet aux salariés des gains de pouvoir d’achat de 1,9 %.

7- Point sur les échanges commerciaux


Malgré des résultats à l’exportation de biens et de services, essentiellement touristiques, positifs (+ 0,6 % en volume), la contribution du commerce extérieur à la croissance du PIB est négative (- 0,6 point) du fait d’une hausse des importations de biens et de services plus importante. Cette hausse des importations, qui comme dans toute économie insulaire, est liée à la hausse de la demande intérieure (consommation et investissement), traduit une dynamique positive de l’activité. Par ailleurs, le déficit commercial de la Polynésie française a été tempéré par la baisse de la facture énergétique qui diminue de 19% en valeur par rapport à 2014. La croissance des exportations concerne quasi exclusivement les exportations de services touristiques (hôtellerie, transport..). Elle compense la baisse des exportations de produits locaux, pénalisées par une forte contraction des ventes de perles à l’étranger (- 14 % en valeur). Les autres exportations (poissons, vanille, coprah…) ont progressé de 14 %, mais pèsent peu dans la balance commerciale du Pays.
Cependant, l’augmentation de l’emploi (270 postes salariés supplémentaires en 2015) n’est pas suffisante pour diminuer le nombre de chômeurs. La Polynésie française compte, en moyenne, 1 300 nouveaux actifs entrant chaque année sur le marché du travail. Le taux de chômage, qui était de 21,8 % (24 900 personnes) au recensement de la population de 2012, peut être estimé à 24 % en 2015, toutes choses restant égales par ailleurs.
Les secteurs d’activité dont la masse salariale a le plus augmenté sont l’agriculture (+7,0%), la construction (+ 2,0) grâce aux divers projets tels que la prison de Papeari et les travaux routiers, le commerce (+ 2,7%), qui profite de l’augmentation de la consommation des ménages, le transport (+ 3,5 %) et l’hôtellerie restauration (+ 5,0 %), qui bénéficient de l’augmentation de la fréquentation touristique (+1,8 % par rapport à 2014).


Soutien à la création audiovisuelle et numérique

Le Conseil des ministres a choisi de donner une suite favorable aux deux premières demandes de soutien à la création audiovisuelle et numérique (SCAN) déposées par plusieurs sociétés locales et examinées par la commission consultative SCAN du 20 juin dernier.

Cette commission a rendu 16 avis favorables concernant plusieurs projets de documentaires, fictions de télévision, films d’animation, clips musicaux et plateformes numériques. Deux dossiers dont les montants des aides n’excèdent pas 1,5 million Fcfp ont été soumis à la décision du Conseil des ministres. Les autres projets seront étudiés ultérieurement notamment par la Commission de contrôle budgétaire et financier (CCBF).

Le premier projet aidé, pour un montant de 300 000 Fcfp, est la production d’un clip musical de 5 minutes, intitulé « E Noho nei », portée par la SARL Les Studios Hashtag. Le second projet, aidé à hauteur de 950 000 Fcfp, est le développement d’un documentaire de 52 minutes, intitulé « Taputapuatea, cœur de la civilisation ma’ohi », porté par la SARL Bleu Lagon production.


Accompagnement du Pays aux actions de promotion des perles de culture de Tahiti menées par les professionnels de la filièr
e

La Tahitian Pearl Association of French Polynesia (TPAFP), créée en 2014, est composée des principales organisations professionnelles de la filière perlicole. Elle propose de poursuivre le programme d’actions de promotion de la perle de culture de Tahiti, qu’elle mène depuis déjà deux ans, sur les marchés de la Chine (Hong Kong), du Japon et sur le marché local. Elle propose également, en 2016, d’élargir son champ d’action au marché nord-américain.

A ce titre, TPAFP mènera des actions, en collaboration avec les organisations de grossistes de Chine (TPAHK) et du Japon (TPJ), et notamment lors des salons professionnels internationaux à Hong Kong, cette ville constituant une véritable plaque tournante des ventes de perles de culture de Tahiti. D’autres actions sont également prévus notamment avec l’Institut de formation en bijouterie « Revere San Francisco » aux Etats-Unis pour l’organisation d’un concours de bijoux à base de perles de culture de Tahiti et la venue en octobre prochain d’un spécialiste des perles pour un séminaire destiné aux professionnels du secteur.

La conception d’outils de promotion, au travers de sa page Facebook, d’un site internet et de brochures, permettra à TPAFP d’assurer une meilleure visibilité des produits perliers. L’association prévoit également d’entamer les préparatifs pour organiser la « Tahiti Pearl Week » prévue en 2017, événement qui permettra de rassembler, en un même lieu et durant quelques jours, tous les acteurs de la filière sous stands avec des animations et des conférences. La perle de culture de Tahiti constitue la première ressource à l’export de la Polynésie française. La promotion est un vecteur essentiel pour faire connaître davantage la gemme polynésienne, tant sur le marché local qu’à l’international, et ainsi dynamiser la production et la commercialisation.


Subventions pour des associations des secteurs socio et médico-éducatif
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La ministre du Travail a présenté en Conseil des ministres un projet d’arrêté approuvant une délibération adoptée par le comité de gestion du RSPF le 24 juin dernier relative à l’attribution d’une subvention complémentaire en faveur de 3 associations du secteur socio-éducatif et médico-éducatif au titre de l’exercice 2016.
La couverture du risque lié aux handicaps sociaux et médico-sociaux des ressortissants polynésiens est assurée notamment par des subventions aux organismes œuvrant dans les domaines médico-éducatifs et sociaux éducatifs. Ces charges annuelles sont supportées par le régime de solidarité sur la « branche handicap » du régime. Pour l’exercice 2016, l’enveloppe globale annuelle réservée à ces structures a été fixée à 1,522 milliard Fcfp, ce qui correspond à une reconduction de l’enveloppe 2015.
Le comité de gestion du RSPF a validé les propositions de la commission technique, pour donner suite aux demandes de trois associations. En investissement, un reliquat de 52 millions Fcfp pouvait encore être consommé. Il a été octroyé à 3 associations.


Evacuations sanitaires : conventions pour le transport et l’hébergement des patients

La ministre du Travail a présenté en Conseil des ministres deux projets d’arrêtés approuvant 2 délibérations adoptées par le comité de gestion du RSPF le 24 juin dernier relatives aux avenants aux conventions entre la CPS et deux établissements hôteliers situés en Nouvelle-Zélande (Auckland) et à la convention entre la CPS et la compagnie Air Archipels sur les évacuations sanitaires urgentes.
La couverture des besoins sanitaires des patients polynésiens requiert la mise en œuvre de procédures d’évacuations sanitaires programmées voire urgentes, pour permettre aux patients d’être dirigés vers les plateaux techniques hospitaliers les plus adaptés (Hôpital de Taaone, structures néo-zélandaises). Ces dispositifs opérationnels exigent que soient mobilisés des prestataires privés permettant d’acheminer les patients (moyens aériens) ou de subvenir à leur hébergement.
La nature de ces prestations et leur tarification sont fixées par voie de conventions passées entre la Caisse de prévoyance sociale, pour le compte des trois régimes de protection sociale polynésiens, et les prestataires de service.
I - Mise à jour des tarifs d’hébergement pour l’accueil des patients évacués sur la Nouvelle-Zélande :
Deux prestataires hôteliers implantés à Auckland ont sollicité une revalorisation de certains de leurs tarifs inchangés depuis 2013. Ces progressions tarifaires restent sans conséquence majeure pour la branche assurance maladie du régime.
II– Mise en place d’une nouvelle convention relative aux évacuations sanitaires urgentes entre la Caisse de prévoyance sociale et la compagnie aérienne « Air Archipels »

La CPS confie à la compagnie Air Archipels le transport des ressortissants des régimes de protection sociale dont l'état de santé nécessite une évacuation sanitaire urgente par vol spécial des îles vers Tahiti et/ou intra îles Sous-le-Vent. Il a été proposé de formaliser les accords par une nouvelle convention quinquennale qui permet d’encadrer les prix mais aussi les conditions d'intervention et les prestations exigées.
Les forces armées sont parfois amenées à intervenir quand Air Archipels a déjà des evasans en cours ou quand l’amplitude réglementaire des équipages d’Air Archipels est dépassée. La compagnie aérienne propose d'augmenter sa flotte d'un équipage supplémentaire. Ceci permettrait de réaliser une économie sur les coûts des évasans qui pourraient être réalisées par Air Archipels en lieu et place de l'Armée dans certains cas.


Subventions d’investissement en faveur de l’OPH relative à des travaux sur la résidence sociale « Motio »

Suite à la livraison de la résidence sociale « Motio » au cours du dernier trimestre 2015, l’Office polynésien de l’habitat (OPH) réalisera des équipements supplémentaires afin de mieux sécuriser le site.

Pour ce faire, le Conseil des ministres, sensible aux risques que peuvent courir les locataires, et particulièrement les enfants des locataires des résidences sociales, a accordé une subvention d’un montant total de 14 399 000 Fcfp en faveur de l’OPH pour réaliser des travaux qui consisteront en :

- L’édification d’un mur de clôture
- La fourniture et la pose de grilles métalliques pour couvrir le caniveau des eaux pluviales
- La fourniture et la pose de signalétique au niveau des aires de jeux pour enfants.

Les travaux, financés à 100% par le Pays, se dérouleront sur 3 mois.

Parallèlement à ces travaux, le Conseil des ministes a également validé une deuxième subvention d’un montant total de 14 875 000 Fcfp en faveur de l’OPH afin de réaliser un mur de soutènement. Cette opération permettra le rétablissement d’une des servitudes de passage de la résidence Motio qui s’est effondrée en partie suite aux pluies diluviennes de la fin d’année 2015. Cette opération, financée à 100% par le Pays, se déroulera sur 3 mois également.


Avenant à la convention entre l’Etat et la Polynésie française relative à l’éducation

L’article 21 de la convention modifiée du 4 avril 2007 dispose que la Polynésie française assure les dépenses de fonctionnement, d’équipement, de construction, de maintenance, de sécurité et de reconstruction des établissements scolaires du second degré public. Elle reçoit chaque année de l’Etat une participation financière aux dépenses qu’elle assume.

En conclusion du dialogue de gestion du mois de novembre 2015, au cours duquel des éléments d’information au sujet de la politique éducative du ministère de l’Education de la Polynésie française ont été présentés à l’administration centrale, ainsi qu’à la ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, deux premiers avenant de la convention ont repris les arbitrages inscrits dans la loi de finances de l’Etat pour l’année 2016.

Les fonds sociaux n’ayant pas été consommés dans leur totalité (reliquat des années 2011 à 2013), il a été sollicité, auprès de l’Etat, le redéploiement d’une enveloppe d’environ 38 millions Fcfp des fonds sociaux vers les rémunérations des agents non titulaires recrutés par la Polynésie française pour assurer les fonctions d’assistants d’éducation dans les collèges et les lycées de l’enseignement public. Cette proposition a reçu un arbitrage favorable du ministère de l’Education nationale, objet de l’avenant à la convention du 4 avril 2007 relative à l’éducation.

La redistribution proposée se fonde sur trois principes : renforcer les équipes en déficit d’effectif, renforcer les établissements scolaires de Tahiti qui ouvrent leur internat le week-end et instaurer des zones de remplacement sur Tahiti et Moorea.


Règles de mouillage dans la baie de Taiohae


La Polynésie française connaît depuis certaines années un accroissement du trafic maritime dans l’archipel des Marquises. Dans une optique de régulation et de sécurité des escales des navires, le Conseil des ministres a décidé d’adopter un arrêté portant création d’une zone d’interdiction de mouillage dans la baie de Taiohae et de stationnement au quai de Fort Collet (petit quai), à Nuku Hiva. Cette règlementation, réalisée après consultation de la mairie de Nuku Hiva, permettra d’optimiser la gestion des espaces maritimes dans l’intérêt de tous les usagers de la mer.


Création d’un comité de suivi pour le projet de Centre culturel de la Polynésie française

Le gouvernement de la Polynésie française a inscrit dans ses projets structurants la création d’un centre culturel de la Polynésie française. Depuis le début des années 1990, ce projet a fait l’objet de nombreuses pré-études, études, esquisses, phases de programmation et de définition. Les changements de caps stratégiques et les diverses réorientations avaient jusqu’à présent laissé ces travaux préparatoires sans suite, et ce malgré les attentes du secteur culturel.

Cet équipement sera conçu comme un espace de promotion de la création artistique et de diffusion de la culture contemporaine polynésienne multiculturelle. Il s’inscrit dans la volonté du gouvernement de la Polynésie française de développer l’offre culturelle, notamment pour diversifier son offre touristique. Par ailleurs, cet outil a également un rôle majeur en termes d’éducation et d’intégration sociale, au travers du développement de la lecture publique et de l’offre culturelle accessible pour tous.

Le projet présenté au gouvernement de la Polynésie française par les acteurs du secteur culturel propose de répartir l’offre culturelle en deux entités, d’étendre et de repenser le pôle « Spectacle vivant » sur le site de la Maison de la culture en front de mer, et de créer un pôle « Médiathèque, Activité culturelle et Exposition artistique » sur le site de Vaiami – Ilot Paofai. Ces équipements s’inscrivent en complémentarité des infrastructures existantes et s’appuient sur des moyens optimisés.

Depuis la validation de ce programme, trois équipes projets se sont mises en place afin de préparer les contenus, les fonds, et le parcours muséographique. Une médiathèque historique en ligne (www.mediatheque-polynesie.org) proposant déjà plus de 400 références a été mise en place. Ce site sera enrichi par un fonds documentaire, en cours de numérisation par le Service du patrimoine archivistique et audiovisuel, d'environ 200 ouvrages.

Afin de définir le programme architectural de façon détaillé, et dans la perspective du concours d’architecte qui doit être lancé avant la fin de l’année, une mission de programmation d’un cabinet métropolitain reconnu dans le domaine culturel est programmée pour la mi-août, et une présélection de 3 cabinets réputés, avec de très solides références, a été effectuée par le groupe de travail en charge du suivi du projet. L’importance d’un tel équipement nécessite une parfaite coordination des différents acteurs culturels et requiert une large concertation des acteurs institutionnels. Aussi il apparaît essentiel, dès le lancement de la programmation détaillée, d’informer et d’associer largement les partenaires techniques et institutionnels aux travaux de réflexions en cours.

Aussi le ministre de la Culture a proposé au Conseil des ministres la création d’un comité de suivi du projet de centre culturel, regroupant les ministères en charge de la Culture, de l’Equipement et du Tourisme, ainsi que le Haut-commissariat, la commune de Papeete et les services et établissements culturels impliqués dans la programmation du projet. La première réunion de ce comité de suivi se tiendra avant l’arrivée du cabinet métropolitain qui sera retenu.

Tipaerui : fermeture de la salle omnisport du 4 au 17 août  02/08/2016

Tipaerui : fermeture de la salle omnisport  du 4 au 17 août
La salle omnisport Maco Nena de Tipaerui sera fermée au public du jeudi 4 au mercredi 17 août en raison de travaux de peinture.

Sa réouverture est prévue le jeudi 18 août 2016, aux horaires habituels.

Tamarii Vairao offrira un spectacle à ses matahiapo dimanche  29/07/2016

Tamarii Vairao offrira un spectacle à ses matahiapo dimanche
VAIRAO, le 29/07/2016 - Après ses nombreuses victoires au Heiva i Tahiti 2016, les groupes de chants et danses des Tamarii Vairao feront des prestations gratuites en faveur des matahiapo de sa commune.

Les habitants de Vairao pourront également assister à ce spectacle, l'entrée est fixée à 300 francs.

La soirée se fera ce dimanche 31 juillet à la salle omnisports de Vairao, à partir de 18 heures.

Teva i Uta : hommage aux diplômés de la commune dimanche  28/07/2016

Teva i Uta : hommage aux diplômés de la commune dimanche
TEVA I UTA, le 28/07/2016 - Depuis trois ans, la municipalité de Teva i Uta organise une réception pour féliciter les meilleurs élèves de sa commune. Cette fois-ci, le conseil municipal a choisi de féliciter tous les bacheliers de 2016 et ceux qui viennent de valider leur 3ème année de licence ou leur diplôme de master, par la remise d'un cadeau symbolique.

Par la même occasion, une opération cartable est organisée par l'Office municipal de la jeunesse et des sports pour les enfants provenant de familles modestes et effectuant leur rentrée en 6ème. Ainsi, en collaboration avec les écoles qui ont elles-mêmes proposées une liste d'élèves, l'OMJS offrira un bon d'achat de 4 000 Fcfp à 60 familles pour l'achat de fournitures scolaires.

"Nous invitons donc tous les bacheliers de Teva i Uta (ayant obtenu leur BAC cette année), ainsi que les personnes ayant validé leur licence ou master à se joindre à l'événement qui aura lieu à 17h30, ce dimanche 31 juillet, sous le chapiteau de Tehoro."

La cérémonie débutera à 18 heures.

Te mau Fa’aotira’a a te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau, mahana toru 27 no tiurai 2016  27/07/2016

Tomite porinetia no te tuatapapa i te mau fa’a’inora’a ‘atomi : nominora’a ia Bruno Barrillot

Ua nomino te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau ia Bruno Barrillot ei fa’atere i t Tomite tere porinetia no te tuatapapa i te mau fa’a’inora’a ‘atomi (DSCEN). Ua ha’amauhia na teie piha a te hau i te titema 2007 e i teie nei, tei raro a’e ‘ōia i te mana fa’atere o te Peretiteni no Porinetia farani no te ha’afaufa’a i te mau tareni o tei horo’ahia’tu nā’na.
Teie te mau tareni rarahi roa a taua piha ‘ōhipa ra :
 Te āmora’a i te ti’ara’a Papa’iparau Rahi, ‘ihi rave’a e ‘ihima’imira’a a te Tomite arata’i i te tuatapapara’a i te mau fa’a’inora’a a te mau tamatamatara’a ‘atomi (COSCEN) ;
 Te arai vavaora’a i te tapura ‘ōhipa a te mau piha ‘ōhipa a te hau e a te mau pū fare ha’apiira’a a te hau ia ha’a ato’a mai ratou i roto i te tuatapapara’a i te mau fa’a’inora’a ‘atomi a te mau tamatamatara’a ;
 Te horo’ara’a mai i te mau mana’o tu’u e te mau fa’aarara’a i te pae no te ‘āua natura, no te ‘ea, no te totiare, no te fa’arava’ira’a faufa’a, no te fenua, no te mau fare e no te ta’ere, i roto i teie tuha’a no te mana ‘aravihi ;
 E ia riro ei ‘āfa’ifa’i parau no te Ti’a tono o te Haunui no te tuatapapara’a i teie pu’eparau e na reira ato’a no te Tomite no te tu’atira’a no te arai vavaora’a i te tuatapapara’a ‘ea o te mau tamatamatara’a ‘atomi a Farani (CSSEN).
Ei ha’afaufa’ara’a i te mau tapura ‘ohipa no mua nei o te tia’ihia e te CSSEN e no te tuatapapara’a i te mau fa’atauiuira’a fa’aturera’a natihia i ni’a i te ture Morin, e i te tahi atu pae te mau tahua ‘ōhipara’a natihia i ni’a i te tamara’a i te mau poro tahua fifi, ua ‘itehia e mea faufa’a ia nomino i te hō’ē Ti’a Tono no te tuatapapa i te mau fa’a’inora’a a te mau tamatamatara’a ‘atomi. .
E pahono o Barillot tane i te mau titaura’a no taua ti’ara’a ra ia au i tō’na haere’a toro’a ‘ōhipa e i tō’na mau ‘aravihi no taua tuha’a ra. ‘Aivana’a ‘ōtahi, ‘aivana’a no te mau mauha’a tama’i e no te mau mauha’a tama’i ‘atomi ihoa ra, ua riro ‘ōia ei ha’amau ‘apiti, i te matahti 1984 ra, no te Pū no te Putura’a puta ha’amaramaramara’a e no te ‘Ihi ma’imira’a no te parau o te Hau e no te mau Fe’i’ira’a, o tei riro roa mai mai reira mai ei Pū hi’opo’ara’a i te mau mauha’a tama’i. Ua mau mai na ‘oia i te mau ti’ara’a no te Ti’a tonohia i roto i te tuatapapara’a i te mau fa’a’inora’a o te mau tamatamatara’a ‘atomi i roto i te matahiti 2009 e 2013.


Hamani fa’ahoura’a i te tataroto no te mau pū’ohura’a tauiha’a e no te mau tauiha’a o tei ineine no te haponohia na roto i te farerata a te OPT

Ua hamani mai nei te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te tataroto no te mau pū’ohura’a tauiha’a e no te mau tauiha’a o tei ineine no te haponohia na roto i te Pū no te mau Farerata e no te mau Taniuniura’a (OPT).

No te mana’ona’ora’a e ha’amaita’i i te mau tavinira’a e te mau hotu e horo’ahia no tā’na mau hoani, e ma te turu’i i ni’a i te mau fa’aotira’a a te hō’ē tuatapapara’a no te matete, e rave te OPT i teie mau tareni :

• E fa’a’ohie i ta’na fa’anahora’a pū’ohura’a tauiha’a na roto i te fa’ahu’ara’a ia’na, ma te tamaru ato’a i tō’na mau huru hi’ora’a e ma te fa’a’āpi ato’a i tō’na mau nana’ora’a hoho’a.

• Te fa’a’ohiera’a i tā’na pu’e’a no te mau tauiha’a o tei ineine no te hapono ma te fa’a’ore i te mau pu’e’a no te 10 e no te 100, e te tapiho’ora’a i te mau pū’ohu tauiha’a o tei ineine no te hapono na roto i te tu’ura’a’tu na ni’a i te parau fa’a’ite tapirihia i ni’a i te mau pū’ohu tauiha’a.

• Te tapiho’ora’a i te hō’ē vihirata paruru maita’ihia no te hō’ē tino moni ha’amanahia na te mau hoani o te hina’aro ra e hapono i te mau tauiha’a e te mau pu’eparau faufa’a rahi, ma te hō’ē tapirira’a huti matara ‘ore faito teitei ta’a-è a te Farerata Porinetia.

Na roto i teie mau fa’anahora’a ‘āpi no teie tau rave’a fa’ahiahia, e nehenehe atura ia ta te mau hoani a te OPT e ‘apihia i ni’a i te taime no te mau tapura ‘ōhipa no te ‘aufauraa e no te mau pū’ohura’a, e e manuia rahi ato’a mai i te pae no te parurura’a i ta rātou mau tauiha’a hapono. E mana mai teie fa’a’api fa’ahoura’a i te tataroto no te mau pū’ohura’a tauiha’a e no te mau tauiha’a o tei ineine no te hapono mai te 1 atu no ‘atete 2016.


Parau ha’apapa no te rurura’a rahi a te piha ‘ōhipa a te hau

Ua ‘ite atu te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te parau ha’apapa no te rurura’a rahi a te piha ‘ōhipa a te hau 2016 o tei tupu na i roto i te piha putuputura’a rahi a te Fare Ha’apiira’a Tuatoru no Porinetia farani i te pae po’ipo’i ra no te 7 no tiunu.

Taua rurura’a rahi ra, fa’ata’ahia no te ta’ato’ara’a a te mau rima rave ‘ōhipa fa’atere no te piha terera’a ‘ōhipa a te Haufenua, ua niuhia ia i ni’a i teie fā no te ha’amaramaramara’a e no te titaura’a i te mau rima rave ‘ōhipa no ni’a i te tauira’a no te fa’anahora’a rorouira o tei hina’arohia mai e te ‘Āpo’ora’ahau no te terera’a ‘ōhipa a te hau. Te tahi ato’a titaura’a o te fa’a’itera’a ia i te faufa’a rahi no te ha’amaita’i i te mau rave’a no te ha’amaramaramara’a i te mau terera’a ‘ōhipa no te fatura’a i te mau mauha’a no te fa’a’tera’a tapura ‘ōhipa e no te mau matutura’a ‘ōhipa papu. Ua riro ato’a te reira fa’anahora’a ei rave’a no te fa’atere’au i te mahua maita’ira’a te fa’a’āpira’a o tei fa’aterehia mai.
Ua riro taua rurura’a rahi ra ei rave’a no te ha’afaufa’a i te tapura ‘ōhipa a te mau rima rave ‘ōhipa e a te mau piha toro’a o tei nehenehe mai e fa’a’ōhipa i ta rātou fa’anahora’a rave’a ha’amaramaramara’a ( te fa’aterera’a no te mau ‘ōhipa fenua e te fa’aterera’a no te mau tutera’a e no te mau titaura’a tute). Ua riro ato’a mai te reira ei rave’a no te fa’aarara’a i te mau ferurira’a mana’o no ni’a i te arata’ira’a e te mau fa’aterera’a i roto i te mau piha ‘ōhipara’a rau e te mau pū ‘ōhipa rau a te hau.

Ua matara mai, mai roto mai i taua parau ha’apapa ra, e ua mauruuruhia e mau mana’o tu’u ato’a e te ta’ato’ara’a no tei tae mai. Te hia’aira’a o tei matara mai, ia nehenehe ia roa’a fa’ahou mai te tahi atu a mau ha’amaramaramara’a hau atu a a nehenehe atu ai e ha’apapu i te faufa’a no te maura’a i te mau titeti, te mau fa’ahorora’a no te mau fa’a’ōhipara’a maitata’i e tae noa’tu i te mau fa’aarara’a i te mau fifi e ti’a ia araihia. Ua tu’u ato’ahia mai te tahi mau parau tumu no te rurura’a rahi no 2017. Ua mauruuruhia te reira e te ta’ato’ara’a o tei ta’iruru mai.

Ua fa’a’ite mai te MEDEF e te ‘Āmuitahira’a o te mau taiete ‘ōhipa e te mau ti’atoro’a rau no te fa’arava’ira’a faufa’a rorouira – OPEN – na roto i te reo o to rātou mau peretiteni, i ta rātou mau na e tia’i rahi maira : « te fa’ahiahia, te maita’i hau è atu a, te tupu maite maita’ira’a, te maita’i hau è e te fa’a’ohiera’a ia fa’arirohia ei mau niu taviri no te patura’a i te tapura ‘ōhipa a te hau efficience, » e, to ratou ‘oa’oara’a i te mau fa’anahora’a terera’a ‘ohipa o tei fa’anahohia mai e te Haufenua i te pae no te ha’amaita’ira’a i te rorouira. E tu’uhia’tu ni’a i te tahua natirara te paraui ha’apapa no te rurura’a rahi no te terera’a ‘ohipa a te hau.


Fa’atauira’a i te mau ha’aputura’a no te mau mori : hō’ē tahua ‘ōhipara’a no te rahira’a e 4 miria toata farane

Ua vauvau mai te Mono-Peretiteni, Fa’aterehau ti’a’au i te mau itouira, i te huru no te nu’ura’a te patura’a i te mau ha’aputura’a i te mau mori no Fare-‘Ute. ‘Ōia mau, ua riro te parurura’a ‘ēiaha ia tupu te ‘ati i ni’a i te titora’a mai i te mori ei fā rahi roa no te mau tapura ‘ōhipa e rave rahi i roto i te Hoho’a no te fa’ahorora’a mori a Porinetia farani. E fa’anahora’a ta’a-è no te mai faito 4 ( mau ha’aputura’a ‘ihi rave’a ‘aravihi, fa’arava’ira’a i te mau motu) e 38 (hamanira’a i te mau tura ‘āpi i Motu-Uta).
Ua fa’aha’amana’o mai ‘ōia i te faufa’a titauhia no te fa’ataui e no te patu i te mau ha’aputura’a e vai nei no te STTE (Total/PPS) e STDP (Total/Pétropol) i te paruru toro Hitia’a o te Ra no Motu-Uta, pu’eparau o tei fa’aotihia na i te matahiti 2008 ra.
Taua titaura’a ra ua fa’ahepohia mai ia e te ‘itera’ahia te pera’a e te mau fifi tu’atihia i ni’a i te mau ha’amaura’a e vaira i teie nei, o te tumu ia i fa’aoti ai te Haufenua, na roto i te mana’o tu’u a te mau piha toro’a a te Haunui, e pato’i i te mau huru ha’aputura’a mori ato’a i Fare-‘Ute no te mau tumu niuhia i ni’a i te parurura’a i te mau maita’i e te mau ta’ata. Te tatarara’a fa’arava’ira’a faufa’a hō’ē roa e nehenehe e fa’atupu i roto i te hō’ē pu’etaime poto, o te fa’atauira’a ia i te mau tura mai Fare-‘Ute ‘āfa’iti’a atu i ni’a i te paruru toro no te Hitia’a o te Ra o Motu-Uta. E tapura ‘ōhipa hahano e te rahi, o tei tohuhia to’na ‘afata no te mau fa’ahotura’a i ni’a i te 4 miria toata farane.
Ua tohuhia e oti mai i te fa’a’ōhipara’a i te reira pū ‘āpi i rotopu i te 2019 e aore ra 2020, mai te mea e ha’amatahia te mau tapura ‘ōhipa i fa’a’itehia i te tenuare 2018. Mai te ‘omuara’a mai no 2016, ua ha’amauhia te hō’ē fa’aterera’a ‘ohipa i te upo’o no te totaiete SPMU, e ta’na tareni rahi roa, o te fa’atupura’a ia i te mau ‘opuara’a no te patu i te ha’aputura’a SPMU e te fa’anaho fa’ahoura’a i te ha’aputura’a STDP Motu-Uta, tapiri noa mai i te ti’ara’a SPMU. Hau atu i te reira, ua ta’amu ato’a mai te totaiete i te mau piha ‘ohipa a te hō’ē taiete tapatana ‘aravihi no te mau ha’aputura’a, o te ha’a mai no te tauturu i te taiete rahi arata’i ‘ōhipa.


Horo’ara’a i te paturura’a faufa’a moni na te Pū Farani no te Fa’ahotura’a (PFF= AFD)

Ua fa’ati’ahia te Mono-Peretiteni, tī’ā’au i te ‘Āfata terera’a faufa’a e te mau Faufa’a moni ia fa’aoti i te hō’ē ‘aitarahura’a moni no te faito rahira’a e 2.983.293.556 toata farane (c/v 25.000.000 tara ‘euro), i roto i te Pu Farani no te Fa’ahotura’a (FFD=AFD) no te paturu faufa’a moni tuha’ara’a i te mau fa’ahotura’a o teitapurahia i roto i te ‘Afata terera’a faufa’a 2016. I roto i tā’na rurura’a no te 6 no tiurai, ua farii mai a te Tomite no te Aramoana a te FFD (AFD) i te anira’a ‘aitarahu a Porinetia farani.
I teie matahiti, te tapura no te fa’ahotura’a o tei tape’ahia e te faremoni mai teie ia tō’na fa’anahora’a :
- 50% no taua tino moni ra, no te paturu faufa’a moni i te tuha’a a te Haufenua, roto i te 3ra’a no te mauha’a faufa’a moni, fa’aaura’a autaipe o tei tu’urimahia e te Haunui e te Haufenua, no te mau tapura ‘ōhipa no te mau poromu e no te mau pu patura’a rarahi ;
- 25% no taua tino moni ra, no te tapura ‘ōhipa matameha’i roa no te patura’a i te nohora’a turu’uta’a ‘aufau ti’apitihia e te Haunui na roto i te fa’anahora’a no te Fa’aaura’a no te mau ‘Ōpuara’a, e tae noa’tu i te tuha’a no te mau nohora’a ateatea, ‘amohia e te mau ‘afata iho a te Haufenua. Na te Piha Porinetia no te Nohora’a (OPH) e fa’a’ōhipa i te reira mau tapura ‘ōhipa.
- ‘are’a te tuha’a tino moni e 25% e fa’ata’ahia’tu ia no te fa’atupura’a i te patura’a i te fare ha’apiira’a pirituarua no Teva I Uta.
I te no ‘atete 2016, t faito ‘āmui o te ‘aitarahura’a e vai atu ia i ni’a i te faito e 89,696 miria toata farane, e 22,156 miria toata farane no te reira, e mea ‘aitarahuhia mai ia na roto i te FFD (AFD), ‘ōia ho’i, e 24,7 % no te ‘aitarahura’a porinetia. Te horo’a mai nei te FFD (AFD) i te mau fenua e mau ‘amuira’a o te hau (te ‘ai’a no Porinetia farani e tō’na mau aveave, te mau ‘ōire) i te mau punavai fa’ahotura’a faufa’a paturuhia e aore ra e te Haunui no te fa’atupu i ta rātou mau tapura ‘ōhipa fa’ahotura’a, ma te ha’afaufa’a atu i te mau fa’ahotura’a o te paturu i te fa’ahotura’a e ti’a i te vaira’a e o te ha’apuai atu i te hō’ēra’a totiare.


Ha’amaura’a i te ho’e fa’anahora’a tauturu no te Ta’amu i ni’a i te Natirara i te mau Taiete ‘ōhipa

Na roto i te fa’anahora’a terera’a ‘ōhipa a te ‘Āpo’ora’ahau, ua fa’aoti te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau e ha’amau i te hō’ē fa’anahora’a tauturu no te Tā’a’mu i ni’a i te Natirara i te mau Taiete ‘ōhipa TNT=ACE) i Porinetia farani nei. Te fa no teie fa’anahora’a ‘āpi o te ha’afaufa’ara’a ia e te fa’aitoitora’a ia Ta’amuhia te mau Taiete ‘ōhipa porinetia i ni’a i te Natirara.
‘Oia mau, ‘ahiri te faito ta’amura’a i ni’a i te natirara o te mau taiete ‘ōhipa rarahi porinetia e tei ni’a i te 100 %, e roa’ahia mai ia i te mau taiete ‘ōhipa rii na’inai e fa’a’ohipa ra i raro mai i te rahira’a 10 rave ‘ōhipa ma te tutaperepere te faito 72 %. Hau atu i te reira, te vai ato’a ra te parau no te rahira’a no te ateateara’a iho hiro’a fenua e te ‘ite ato’ahia ra te reira i roto i te tahi mau terera’a tapura ‘ōhipa. E rave rahi ia mau tumu o te parau maira e mea maita’i ia ia ha’amaita’ihia te parau no te mape’era’a i te mau taiete ’ōhipa porinetia no te fa’ataui ia ratou ia ta’atmuhia i ni’a i te natirara.
E vai teie tauturu i ni’a i te niu no te paturura’a faufa’a moni ti’apiti i te mau ha’amau’ara’a no ni’a i te mau tauiha’a e te mau tā’amura’a e hina’arohia i ni’a i te Natirara. Te aroaro no te faito no taua tauturu ra, ua niuhia ia i ni’a i te 100 000 toata farane e ‘ēita te reira e nehenehe ia hau atu i te 70 % no te mau ha’amau’ara’a o tei ravehia mai e te taiete ‘ōhipa. Te ti’a’aura’a i taua fa’anahora’a tauturu ra no te ta’amu i ni’a i te Natirara i te mau taiete ‘ōhipa (TNT=ACE) i Porinetia farani, e amohia mai ia e te Fa’aterera’a rahi no te fa’arava’ira’a faufa’a rorouira (FRFR=DGEN). Na’na e ha’apa’o mai i te hamanira’a i te anira’a e te tuatapapara’a i te mau pu’eparau anira’a no te ta’amu i ni’a i te Natirara i te mau taiete ‘ōhipa porinetia.


Tauturu moni na te CIDFF

Ua vauvau mai te Fa’aterehau vahine no te ‘Ōhipa, no te mau Autahira’a e no te Ti’ara’a o te Vahine i mua i te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ‘ōpuara’a fa’aotira’a mana no te farii e horo’a i te hō’ē tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto a te Pū Ha’amaramaramara’a no ni’a i te mau Ti’ara’a mana o te mau Vahine e o te mau ‘Utuafare fetii no Porinetia farani PHTVF=CIDFF).
Ta’atira’a fa’ahotu faufa’a niuhia i te mau fa’anahora’a no te ture no te 1 no tiurai 1901, o tei ha’amauhia na i te ‘atopa 1990 ra, na roto i te hina’aro ti’atoru o Porinetia farani, te Haunui e te Tomite a te mau Vahine, te mau tareni rarahi a te PHTVF (CIDFF) o te haufaufa’a ra ia i te ora’a i roto i te ti’ara’amana o te huira’atira e o te mau vahine ihoa ra na roto i te fariira’a, te faa’aro’ora’a, te ha’amaramaramara’a, e te arata’ira’a na roto i te mau tuha’a ato’a e no te ha’afaufa’ara’a i te ‘aifaitora’a i rotopu i te mau vahine e te mau tane.
No te matahiti 2016, ua ha’amau te PHTVF (CIDFF) ei tareni matameha’i roa nā’na :
- te ha’amaura’a i te mau pū ‘iriti ture e no te « ‘ea-ora-aura’a » i te pū no Papeete ;
- te ha’amaita’ira’a i te hō’ē piha no te ferurira’a i te mau pe’ape’a ‘utuafare fetii na roto i te fa’aro’ora’a e te tau’aparaura’a na roto i te ‘iriti tamaura’a i te hō’ē pū fa’ahaura’a parau ‘utuafare fetii ;
- te fa’atupura’a i te mau putuputura’a ha’amaramaramara’a i roto i te pu fariira’a e te mau ‘utuafare no te tama i Fa’a’a, Puna’auia e Taravao na roto i te mau anira’a a te mau Fa’atere vahine ;
- te fa’aterera’a i te mau ha’apiipiira’a no e to’o’ahuru mau ti’a tono ‘āpi no te mau ‘oire no Porinetia farani i te hope’a no ‘atopa ;
- te fa’aotira’a mai i te hamani i te puta arata’i no te mau ti’ara’a mana o te mau vahine e o te ‘utuafare fetii, no te hope’ara’a no 2016.
Ia au i te faito no te rahira’a tino e haere atura i roto i taua pū ra o te tamau noa nei i te mara’a (te numera rahira’a ta’ata ha’amaramaramahia e te PHTVF (CIDFF) i te 2014 ra, tei ni’a ia i te 5 632 ‘are’a i te 2015 ra e 5 905, ‘oia ho’i, te hō’ē mara’ara’a piri i te 5%), no te raura’a te mau tareni a PHTVF (CIDFF) i te pae no te mau tauturu hoho’ahia i te huira’atira, ua fa’a’āpi fa’ahou te Haufenua i tā’na mau fafaura’a na roto i te horo’ara’a atu i te hō’ē tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto i ni’a i te faito 15 mirioni toata farane, ‘ōia ho’i e 45 % no tā’na ‘āfata terera’a faufa’a metua, no te matahiti 2016.


Terera’a ha’api'ira’a i roto i te mau tuha’a 1, 2, e 3

Te ture ‘anetihia i ni’a i te Ture ‘Ai’a no te 29 no ‘atete 2011, no ni’a i te fariira’a a te Ture Arata’i no te Ha’apiira’a, ua fa’a’tauihia ia. Na te fa’aotira’a mana a te ‘Āpo’ora’arahi no Porinetia farani e fa’atere nei i teie mahana. I roto i te reira tuha’a, ia fa’aautanohia ia te mau reforomatiora’a no roto mai i te ture ‘avei’a e no te tapurara’a ‘ohipa no te fa’aniu fa’ahou i te Ha’apiira’a a te Repupirita no te 8 no tiurai 2013 no ni’a i te mau tuha’a faito huru terera’a ha’apiira’a i roto i te fare ha’apiira’a tuatahi e i roto i te piri tuarua, e i te fa’aotira’a mana no te 21 no mati 2015 no ni’a i te niu ho’e no te mau ‘ite maramarama, no te mau ‘aravihi e no te ta’ere.
Mai te ha’amatara’a atu o te ha’apiira’a no 2016, e fa’aterehia te mau ha’apiira’a na roto e 4 tuha’a faito, i te tuatahi e i te piri tuarua.
I Te mau tapura ‘ohipa ‘api
Te mau tapura ‘ohipa ‘api no te Tuha’a faito 1, Tuha’a fito 2 e Tuha’a faito 3, e mea tupu mai ia na roto i te reforomatiora’a o te tuatahi e o te piri tuarua. E mea ‘ohie a’e e e mea maramarama a’e ia ta’io, te fa e titauhia na roto i te reira, ia manui rahi te ta’ato’ara’a o te mau piahi e ia maita’i a’e te huru no te horo’ara’a ha’apiira’a. E fa’a’ohu tapiihia i ni’a i te niu no te mau ‘ite maramarama, no te ‘aravihi e no te ta’ere. Taua niu ra o tei fa’aiho fa’ahouhia mai, ua riro ia ei hoho’a mau no ta te mau piahi e hina’aro mau ra e ‘ite e e ha’apii ia hope ta rātou tau ha’apiira’a fa’ahepohia.
E mea papu e na roto i teie mau tapura ‘ōhipa e roa’a mai ihoa te mau ‘ite maramarama e te mau ‘aravihi tumu. E fa’aoha mai rātou e e ha’apapu mai i te mau fā o tei fa’ata’ahia mai e teie niu ‘āmui ‘āpi o te tapii ra i ni’a e 5 tuha’a :
· te mau reo no te feruri e no te tau’aparau,
· te mau fa’anahora’a e te mau rave’a no te ha’apiira’a mai,
· te ha’apii fa’aineinera’a i te ta’ata e i te mero huira’atira,
· te mau fa’anahora’a rave’a natura e te maufa’anahora’a rave’a ‘aravihi,
· te mau fa’i fa’a’itera’a o te ao e no te tareni ta’ata.

Na te mau tapura ‘ōhipa ‘āpi e fa’a’ite mai i te mau fā ara’ara’a maita’i e ta’oti’a maita’ihia ia au i te hō’ē ha’amara’ara’a fa’aau tano maita’ihia no te ha’api'ira’a o te mau tamarii, na roto i te mau tuha’a faito no te 3 o te matahiti.

No ni’a i na tuha’a faito matamua e 3 :
· te tuha’a faito 1, ha’apiira’a tamahou,
· te tuha’a faito 2, tuha’a no te mau ha’apiipiira’a tumu (CP, CE1, e CE2)
· te tuha’a faito 3, tuha’a ha’apa’arira’a (CM1, CM2 e piha 6)

Tuha’a faito 1 :
Te fa’ata’a ra te mau tapura ‘ōhipa i te hō’ē fa’anahora’a no te mau huru fa’aterera’a ha’apiira’a i roto e 5 tuha’a ha’apiira’a. E horo’a taua fa’anahora’a ra i te ‘orometua ha’apii i te ‘itera’a i te mau ha’apiipiira’a e tapihia ra e no te fa’a’ōhipara’a i te mau tu’ati’atira’a tapura ‘ohipa i roto i te piha ha’apiira’a. E mea faufa’a rahi te ta’ato’ara’a no na tuha’a ra e 5 no te ha’afaufa’a i te tamarii e ia vai mai tō’na ti’ara’a i roto i te fa’anahora’a no te taime o te mahana tata’itahi.
1. Te ha’afaufa’a ra’a i te reo i roto i tō’na mau huru ato’a
2. Te ha’ara’a, te parauparaura’a, te ta’ara’a na roto i te tapura ‘ōhipa fa’aeta’etara’a tino
3. Te ha’ara’a, te parauparaura’a, te ta’ara’a na roto i te tapura ‘ōhipa fa’aeta’etara’a tino
4. Te patura’a i te mau mauha’a matamua roa no te patutuha maita’ira’a i tō’na mana’o
5. Te hi’opo’ara’a i te ao

Tuha’a faito 2 e tuha’a faito 3 :
Ua fa’anahohia te mau tapura ‘ōhipa ‘āpi ia tamau noa i te mara’a. Ua tapurahia ia rā’ua i roto i te hō’ē ‘ōpuara’a ta’ato’a o te mataara i te raura’a o te mau piahi e ia au i to rātou tata’itahi faito vitivitira’a i te ‘apo mai. E ha’amaita’i rā’ua i te to’a’atira’a tuatahi-pirituarua ma te paruru ha’amaita’i papu i te mara’ara’a o te mau ha’apiipiira’a mai te ‘ōmuara’a mai o te piha fa’aineinera’a e tae roa’tu i te pirituarua.
Ua fa’anahohia te tapura ‘ōhipa tata’itahi no te tuha’a faito i roto e 3 tuha’a natihau :
· E vauvau mai te tuha’a faito 1 i te mau parau tumu rarahi roa e te mau fā no te fa’aineinera’a o te tuha’a faito, i roto i te hi’ora’a ta’ato’a no te tau ha’apiira’a fa’ahepohia e no te ‘apo mara’a noara’a i te ta’ere ‘amui fa’aotihia e te niu hō’ē ;
· E ‘āmuitahi te tuha’a faito 2 i te mau tuha’aha’ahia mai e te mau tahua ha’avira’a e mau ha’avira’a ia roa’a mai na tuha’a tata’itahi e 5 no te fa’aineinera’a o te niupapa ‘amui ;
· E ha’apapu mai te tuha’a faito 3, na roto i te tahua ha’avira’a e aore ra ha’avira’a, i te mau faito no te mautaira’a e tia’ihia no te tuha’a faito, te mau ‘aravihi e te mau ‘ite maramarama e titauhia ia roa’a mai e ia ha’afaufa’a, i te mau arati’a no te mau fa’anahora’a rave’a, te mau fa’aterera’a e te mauha’a o ta te mau ‘orometua e nehenehe e fa’a’ohipa mai no te tauturu, te mau tapa’o fa’a’itera’a i te mara’ara’a no te fa’anaho i te ha’apii fa’aineinera’a o te mau piahi i roto i na matahiti ato’a e 3 no te tuha’a faito.

II Te fa’atanora’a i te mau tapura ‘ōhipa i Porinetia farani
Ua tu’uhia mai te mau fa’atanotanora’a i te mau tapura ‘ōhipa e te mau fa’atere hi’opo’a o te ha’apiira’a haunui (FHH=IEN) o tei ha’aputuputu na na roto i te mau pupu ‘aivana’a no te mau tuha’a tata’itahi. I te hope’a roa, e mea iti roa te mau fa’atauiuira’a o tei tu’uhia i roto i te mau tuha’a tata’itahi, ta’a-è noa’tu i te pae no te ha’apiira’a ‘a’amu e no te ha’apiira’a iho hiro’a fenua. Ua ‘o’omo ato’ahia’tu ho’e peneparau i roto no ni’a i te mau reo e te ta’ere porinetia. No te ha’apiira’a tamahou, ua toro te fa’atanotanora’a i ni’a i te pu’eparau no te pu’ohura’a i tei roa’a mai i te hopera’a te ha’apiira’a tamahou.
No te fa’a’ohie i te haere’a ha’apiira’a o te mau piahi i roto i te tauira’a piha i roto i te tuatahi, e horo’a te mau ‘orometua no te tamahou i te mau ‘orometua ra no te tuatahi i te parau pū’ohu no te faito ‘ite o te mau piahi tata’itahi no ni’a i te mau tuha’a faufa’a. E fa’a’ite papu taua parau pu’ohu ra no te tamarii tata’itahi i ta’na i ‘ite i te rave, to’na mau vahipuai e, i te tahi atu pae, te ti’a ia ravehia no te tauturu pautuutu atu ia’na i roto i te fa’ahaere noara’a’tu i ta’na tau ha’apiira’a. E ha’apapuhia mai te reira ia au i te hi’opo’ara’a i te faito o te mau ha’apiipiira’a o te fa’aterehia i roto i te pu’etau mau ra, i roto i te roara’a no te tuha’a faito. I roto i ta’na rurura’a i te 22 no tiunu 2016, ua horo’a te Tomite Teitei no te Ha’apiira’a i ta’na fa’ati’ara’a i taua fa’anahora’a ra.


Tihepura’a mai i te hō’ē taote no te tū’aro

Te vai nei i roto i te Fa’aterera’a no te Feia ‘Āpi e no te Tū’aro te hō’ē parahira’a vata no te taote no te tu’aro. E mea faufa’a rahi te fa’a’ohipara’a i te hō’ē tareni fa’a’eta’etara’a tino tamau no te tape’a ia vai maita’i noa te ‘ea, i roto ihoa i te taime e tupunoa mai ai te tino i te rahira’a.

No teie tuha’a, e no tera ihoa fā no te matutu aumaitera’a i te mau ha’amau’ara’a no te ‘ea, ua hina’aro te Fa’aterera’ahau no te Ha’apiira’a e no te mau Tū’aro e ha’amaita’i, ma te paturuhia mai e te Fa’aterera’ahau no te ‘Ea, no te mau ‘Ōhipa fa’a’eta’etara’a tino e tano no te huira’atira. Te taote hi’opo’a o te tihepuhia mai, e ha’apa’o atu ia ’oia i te parau no te hamanira’a mai i te hō’ē hoho’a arata’i no te mau APA ( mau Ha’a Fa’a’eta’etara’a tino Tano =HFT) no tera e 5 matahiti e fā maira. E niutumuhia te reira hoho’a arata’i ia hotu ’ahune maita’i te reni ’avi’a porotita o te tu’aro ma te ha’amau pautuutu maita’i i te ’auanatura ate hota.


Paturura’a moni no te mau nohora’a o te mau piahi

I te ‘āva’e me i mā’iri a’e nei, ua ha’amana te ‘Āpo’ora’arahi no Porinetia farani i te fa’aaura’a no te 20 no novema 2015 i rotopu i te Haunui e o Porinetia farani no ni’a i te amora’a i te faufa’a moni tauturu i te nohora’a o te piahi 2015-2016, no te tahi pu’etau poto, amohia e te ‘afata a te Haunui, i ni’a i te faito e 380 000 tara ‘euro, ‘ōia ho’i, e 45 346 062 toata farane. Ua hi’opo’a mai te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te ‘ōpuara’a ‘āfata fa’arava’i no te 18 no tiurai 2016 i te fa’aaura’a no te 20 no novema 2015, no te fa’ataui i te faito no te tuha’a e amohia e te ‘āfata a te Haunui, tau tamatara’a, o te mara’a i ni’a i te 622 000 tara ‘euro, ‘oia ho’i, e 74 224 344 toata farane.
Teie paturu faufa’ara’a moni hau e fa’atanohia mai ‘ōia e te mara’ara’a te faito rahira’a piahi e noho ra i roto i te mau ‘aua unuma o tei ani mai i te ho’e tauturu no te nohora’a piahi tuatoru 2014-2015. Ei fa’ahi’ora’a, no te matahiti tuatoru 2014-2015, e 52 mau piahi o te noho ra i roto i te ‘aua unuma o tei ani mai i te tauturu nohora’a, ‘āre’a no teie matahiti tuatoru 2015-2016, 120 ia rahira’a piahi o tei ani mai i te tauturu nohora’a.
Te faito rahira’a ta’ato’a o te mau piahi o tei ani mai i te tauturu nohora’a tai’ohia na ni’a i te huru faito nohora’a no te matahiti tuatoru 2015-2016, tei ni’a ia i te 391 o te ohatuhahia mai teie : pu puhapara’a no te mau piahi 197, Fare Ha’apiira’a Tuatoru no Porinetia farani e 74, ‘āua unuma 120.


Fa’ahotura’a i te Reo Tahiti : tauturu moni na te ta’atira’a Puna Reo Piha’e’ina

Na roto i te anira’a a te Fa’aterera’ahau no te Ha’apiira’a e no te Ha’apiira’a Teitei, ua fa’aoti te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau e horo’a i te hō’ē tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto a te ta’atira’a Puna Reo Piha’e’ina, ia au i tei anihia mai e taua ta’atira’a ra, e 462 000 toata farane.
Te tareni a te ta’atira’a Puna Reo Piha’e’ina o te ha’apiira’a ia i te mau tamarii i te reo ma’ohi, o te fa’aturu’ihia i ni’a i te ta’ere mā’ohi, na roto i te mau farereira’a e te mau haerera’a i rapae’au i rotopu i te feia ‘āpi, na roto anei i te mau pū fa’afa’aeara’a ha’apiira’a. Ha’amauhia i te 20 no me 2004, tei Moorea te pū rahi a te ta’atira’a Puna Reo Piha’e’ina e piri i te rahira’a e 60 mau ‘utuafare fetii o tei fa’ao mai i roto ia’na. No tā’na tapura ‘ōhipa rahi no te matahiti 2015, ua horo’a a’ehia’tu na te tahi tauturu moni e te Haufenua, no tā’na terera’a ‘ōhipa roto i ni’a i te faito e 732 500 toata farane.


Tauturu moni na te Punavai ‘Ai’a no te mau Rahu’a e no te mau Toro’a

Ua ha’amana te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē fa’aotira’a mana no te horo’a i te hō’ē tauturu moni terera’a ‘ōhipa roto i ni’a i te faito 10 mirioni toata farane na te Punavai ‘Ai’a no te mau Rahu’a e no te mau Toro’a (PART=CNAM) i Porinetia farani nei no te paturu faufa’a moni i tā’na tapura ‘ōhipa rahi no teie matahiti 2016.
Ua tamau noa mai na te Haufenua i te paturu i te vaimaotira’a mai e te hotura’a te mau tapura ‘ōhipa no te ha’apiipiira’a a te PART (CNAM). No te reira tumu, mai te matahiti 1979 e tae mai i te 2013, ia au i to’na mau mana, ua tauturu moni atu na te Haufenua, ti’a’apitihia ma e te Haunui, i te Ta’atira’a Porinetia no te Ha’apiira’a Teitei (TPHT=APES). Te fa’atere’au nei te Haufenua i te tareni faufa’a rahi no te fa’a’ōhipa i te fa’ahotura’a totiare teitei.

Te fā no te tareni a te pū PART (CNAM) i Porinetia farani nei, tā’amu manahauhia i ni’a i te Fare Ha’apiira’a Tuarua no Ta’aone mai te 28 maira no tenuare 2016, o te fa’ahotura’a ia, i Porinetia farani nei, i te fa’aineinera’a i te ha’apiipiira’a tu’utu’u ‘ore e no te fa’ahotura’a ihoa ra i te mau tapura ‘ōhipa ato’a a te PART (CNAM).


Tauturu no te tere ha’a’ati o te Pupu Tikahiri i Tapone

Fanauhia mai i te matahiti 2003 ra, na roto i te farereira’a rahu’a ‘upa’upa i rotopu e 4 mau rohi pehe himene o tei ‘itea maita’ihia to rātou ‘aravihi, o Aroma Salmon, Mano Salmon, Simon Pillard e o Stéphane Rossoni, ua tapura te Pupu Tikahiri i te ho’e tere ha’a’ati i Tapone no te matarara’a o ta rātou ripene numera 3.
A piti matahiti i teie nei, te titau nei taua pupu ra i te faito ti’ara’a no teie nei ao, o ‘Europa e te mau Fenua Marite. Na roto i to rātou mau ‘aravihi no Farani, e na roto i to ratou mau ‘aravihi no ta ratou mau fa’anahora’a ‘upa’upa na roto i te ti’atoru porinetia hau atu i te matarara’a mai ta ratouripene, ua fa’aoti te Pupu « Tikahiri » e tere ha’a’ati na Tapone. Teho’e tapura ‘ōhipa faufa’a rahi roa ‘inaha, i Tapone e rave rahi te mau ta’ata o tei here i te ta’ere porinetia. Te hina’aro o te Pupu o te fa’afa’a’itera’a ia i tet tahi hi’ora’a atu a no Porinetia, te hi’ora’a rock’pa’umotu auri ‘otahi ta’a-è roa.
No te tere ha’a’ati i Tapone, ua fa’anaho te pupu e horo’a e toru mau ha’utira’a ‘upa’upa i roto i te mau ‘ōire rarahi roa a’e : Tokyo, Kobe e Osaka. No te paturu i taua ‘opuara’a ra, ua ani mai te Tomite Horo’a i te mau Tauturu moni no te pae n te ta’ere e no te faufa’a tupuna no Porinetia farani e horo’a i te hō’ē tauturu moni i ni’a i te faito e 500 000 toata farane na te ta’atira’a « Tikahiri ».


‘Iritira’a i te tata’ura’a fa’aora’a ei tauturu tuati ma’i

Te fa’aineine nei te Fa’aterera’a no te ‘Ea, na roto i ta’na Pū ha’apiira’a no te mau toro’a no te ‘Ea Mathilde Frébault, e ‘iriti i te tata’ura’a fa’aora’a i roto i te ha’apiira’a ei tauturu tuati ma’i (tane e te vahine), no teie matahiti 2016. Ua fa’aoti te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’atere e ha’amau i ni’a i te rahira’a e 20 parahira’a matara no taua tata’ura’a ra, o te tuhahia mai teie nei :
- 16 parahira’a no te tata’ura’a no rapae’au;
- 4 parahira’a no te tata’ura’a no roto, ‘oia ho’i, e 20 %.
Ia au i te tarena o tei ha’amauhia, no te ha’amatara’a ha’apiira’a, no te mau tino tata’u e manuia mai, ua tapa’ohia ia no te monire 9 no tenuare 2017.

‘Āpapara’a i te pa’apa’a no te tumu ha’ari e aore ra Kaveu ei ‘āpapara’a faufa’a ta’a-è
Ua vauvau mai te Fa’aterehau no te Ta’ere i mua i te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē ‘ōpuara’a fa’aotira’a mana no ni’a i te ‘apapara’a i te pa’apa’a no te tumu ha’ari e aore ra Kaveu, ei ‘apapara’a faufa’a ta’a-è. Ua tape’a noa mai te Ture ‘Ai’a no te 14 no ‘eperera 2016 no ni’a i te fa’atauira’a i te ture no te ‘auanatura i te fa’anahora’a ta’a-è no te paruru i te tahi mau ‘animara o te ‘ore e nehenehe e mou tera ra, o te titauhia ia fa’atere’au maite ta’a-è-hia.
Te pa’apa’a no te tumu ha’ari e aore ra Kaveu (Birgus latro) o tei riro ei ‘ina’i herehia i Porinetia farani nei, ‘aita a ia i fa’arirohia’tura ei mau ‘animara o te nehenehe e mou, noa’tu a ia e te tapiho’o rahihia nei ‘ōia e tō’na nohora’a natura (‘aru ra’au varavara i te hiti tahatai) te hamani ‘ino-rahi-hia nei ia.
Ia au i te mau fa’aturera’a o tei ha’amauhia mai i roto i te tahi è atu mau ‘ai’a e mau motu no Patitifa e na roto i te mau numera matamua no te mau hi’opo’ara’a i ravehia i Porinetia farani, ua anihia e ia ti’a’au pu’etau maorohia te reira faufa’a no te hō’ē roara’a 10 matahiti. Ua ani ato’ahia mai e ia fa’aohia i roto i te ture no te ‘auanatura i te mau fa’aturera’a i muri nei :
- e ‘ōpani ‘eta’etahia ia haru mai i te mau kaveu e te roara’a o to ratou pa’iouma tei raro mai ia i te 4 tenitimetera, faitohia mai te tumu upo’o atu e tae atu i te ha’amatara’a no tō’na ‘ōpu, e te mau kaveu ‘ōvahine hapu (o te amo ra i te mau huero) ;
- ‘ōpani ‘eta’eta roahia i te haru mai i te mau kaveu ha’amaru ;
- ‘ōpani ‘eta’eta roahia te fa’aoraorara’a i te mau huru kaveu ato’a noa’tu e aha te huru no to ratou tupura’a ;
- ‘ōpani ‘eta’eta roahia ia vavahi, ia fa’a’apo’o, ia fa’ataui e ia fa’a’ino i to rātou mau nohora’a natura ;
Ua fariihia mai teie ‘ōpuara’a e te Tomite no te mau tahua e no te mau monuma natura i roto i tā’na rurura’a no te 26 no ‘eperera i mā’iri a’e nei.

Compte rendu du conseil des ministres du 27 juillet  27/07/2016



Voici l'intégralité du compte rendu du conseil des ministres de ce mercredi 27 juillet.



Délégation polynésienne pour le suivi des conséquences nucléaires : nomination de Bruno Barrillot

Le Conseil des ministres a nommé Bruno Barrillot en qualité de responsable de la Délégation polynésienne pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (DSCEN). Ce service administratif a été créé en décembre 2007 et est actuellement placé sous l’autorité du président de la Polynésie française en considération des missions transversales qui lui incombent.
Les missions de ce service sont notamment :
 d'assurer le secrétariat général, technique et scientifique du Conseil d'orientation pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (COSCEN) ;
 de coordonner l'action des services administratifs et établissements publics en ce qu'ils interviennent dans le suivi des conséquences nucléaires des essais ;
 de faire toutes propositions et recommandations en matière environnementale, sanitaire, sociale, économique, foncière, immobilière et culturelle, dans ce domaine de compétence ;
 et d'être l'interlocuteur du Délégué de l'Etat pour le suivi de ce dossier ainsi que du Comité de liaison pour la coordination du suivi sanitaire des essais nucléaires français (CSSEN).
En considération des tous prochains travaux attendus du CSSEN et du suivi des modifications réglementaires liées à la Loi Morin, et d'autre part des chantiers liés à la réhabilitation des sites, il s’est avéré pertinent de nommer un délégué au suivi des conséquences des essais nucléaires.
Monsieur Barrillot répond au profil du poste compte tenu de sa carrière professionnelle et de ces compétences en la matière. Expert indépendant, spécialiste des armements et notamment des armes nucléaires, il est co-fondateur, en 1984, du Centre de Documentation et de Recherche sur la Paix et les Conflits, devenu depuis l’Observatoire des armements. Il avait déjà occupé les fonctions de délégué au suivi des conséquences des essais nucléaires entre 2009 et 2013.


Refonte du catalogue des emballages et des prêts à poster de l’OPT

Le Conseil des ministres a validé la refonte du catalogue des emballages et des prêts à poster de l’Office des postes et télécommunications (OPT).

Dans un souci d’amélioration des services et produits proposés à ses clients, et en s’appuyant sur les conclusions d’une étude de marché, l’OPT va :

• simplifier sa gamme d’emballages via une diminution de celle-ci, tout en rafraichissant ses visuels et modernisant son design.

• simplifier sa gamme de prêts à poster en supprimant les lots de 10 et 100, et commercialiser les colis prêts à poster par l’ajout de vignettes autocollantes sur les emballages.

• commercialiser une enveloppe sécurisée pour valeur déclarée destinée aux clients qui souhaitent envoyer des objets et documents de valeur, en disposant d’une fermeture par adhésif de haute sécurité spécifique de La Poste française.

L’ensemble de ces mesures de modernisation permettra aux clients de l’OPT de réaliser un gain de temps sur les opérations d’affranchissement, des économies aux achats séparés affranchissement et emballages, en gagnant aussi au niveau de la sécurisation de leur courrier. Cette refonte du catalogue des emballages et des prêts à poster entrera en vigueur à compter du 1er août 2016.



Bilan de la conférence du service public

Le Conseil des ministres a pris connaissance du bilan de la conférence du service public 2016 qui s'est déroulée dans le grand amphithéâtre de l'université de Polynésie française au cours de la matinée du 7 juin.
Cette conférence, destinée à l'ensemble des cadres de l’administration du Pays, avait pour but d'informer et de mobiliser ces agents sur le virage numérique voulu par le gouvernement pour l'administration publique. Il s'agissait également d'insister sur la nécessité de développer des systèmes d'information opérationnels pour disposer des outils de rendu compte et d'analyse efficaces. Cet événement a aussi permis d'entretenir la dynamique de modernisation engagée.
La conférence a été l'occasion de valoriser l'action des agents publics et les entités qui ont abouti dans la mise en service de leur système d'information (direction des affaires foncières et direction des impôts et des contributions publiques). Elle a permis également de susciter des réflexions sur les déclinaisons de ces démarches dans les différents services ou établissements.
Il ressort du bilan que les interventions ont globalement satisfait les participants. Le besoin exprimé de pouvoir accéder à plus d'informations permet de confirmer l'intérêt de disposer de bulletins, de guides des bonnes pratiques ainsi que de recommandations sur les écueils à éviter. Des thèmes ont également été suggérés pour la prochaine conférence en 2017.
Le MEDEF et l'organisation des entreprises et professionnels de l'économie numérique -OPEN - par les voix de leurs présidents, ont exprimé leurs fortes attentes : « efficience, excellence, performance, qualité et simplification doivent être les enjeux clés de la construction de l'action publique » et, leur satisfaction des démarches entreprises par le Pays en matière de développement numérique. Le bilan de la conférence du service public 2016 sera mis en ligne sur le site de la Présidence.


Transfert des dépôts d’hydrocarbures : un chantier d’envergure de 4 milliards Fcfp

Le Vice-Président, ministre en charge des énergies, a présenté l’état d’avancement de la reconstruction des dépôts d’hydrocarbures de Fare-Ute. En effet, la sécurité d’approvisionnement en énergie fait l’objet de plusieurs actions identifiées dans le Plan de transition énergétique de la Polynésie française. Il s’agit plus particulièrement des mesures 4 (stocks stratégiques, approvisionnement des îles) et 38 (construction de nouvelles cuves à Motu-Uta).
Il a rappelé la nécessité de déplacer et de reconstruire les dépôts existants de STTE (Total/PPS) et STDP (Total/Pétropol) vers la digue Est de Motu Uta, dossier qui date de 2008.
Cette nécessité a été dictée par le constat de vétusté et des risques associés des installations actuelles, raison pour laquelle le Pays a souhaité, sur proposition des services de l’État, interdire tout dépôt d’hydrocarbures à Fare Ute pour des motifs fondés sur des impératifs de sécurité des biens et des personnes. La seule solution économiquement réalisable à court terme étant le déplacement des cuves de Fare Ute vers la digue Est de Motu Uta. Il s’agit d’une opération d’envergure dont le montant prévisionnel des investissements est estimé à 4 milliards Fcfp.
La mise en service est programmée entre 2019 et 2020, avec un début des travaux annoncé pour janvier 2018. Depuis le début de l’année 2016, une direction opérationnelle a été installée à la tête de la société SPMU, avec pour mission essentielle la mise en œuvre des projets de construction du dépôt SPMU et le réaménagement du dépôt STDP Motu Uta, voisin du site SPMU. La société s’est par ailleurs attaché les services permanents d’un prestataire spécialiste des dépôts, qui intervient en assistance à maîtrise d’ouvrage.



Offre de financement par l’Agence Française de Développement
Le Vice-Président en charge du budget et des finances a eté autorisé à conclure un emprunt de 2.983.293.556 Fcfp (c/v 25.000.000 €), auprès de l’Agence française de développement (AFD) pour le financement partiel des investissements programmés au budget général de l’exercice 2016. Le Comité de l’Outre-mer de l’AFD a, lors de sa séance du 6 juillet, répondu une nouvelle fois favorablement à la demande de la Polynésie française.
Cette année, le programme d’investissement retenu par le bailleur se présente comme suit :
- 50% de l’enveloppe pour financer la part du Pays, au sein du 3ème instrument financier, partenariat signé avec l’Etat et la collectivité, pour les opérations liées au secteur des réseaux et des infrastructures ;
- 25% de l’enveloppe pour le programme prioritaire de construction de logement social cofinancé par l’Etat dans le cadre du Contrat de projets, ainsi que celui des habitats dispersés, financé sur les fonds propres du Pays. Ces opérations seront mises en œuvre par l’Office polynésien de l’habitat.
- le solde de 25% sera affecté à la réalisation de la construction du collège de Teva I Uta.
Au 1er août 2016, l’encours de la dette totale s’établira à 89,696 milliards Fcfp, dont 22,156 milliards Fcfp contractés auprès de l’AFD, soit 24,7 % de la dette polynésienne. L’AFD apporte aux collectivités publiques (collectivité de Polynésie française et ses démembrements, communes) des ressources bonifiées ou non par l’État pour la réalisation de leur programme d’investissement, en privilégiant les investissements qui contribuent au développement durable et au renforcement de la cohésion sociale.



Création d’un dispositif d’aide à la connexion des entreprises

Dans le cadre du plan d’action du gouvernement, le Conseil des ministres a décidé de mettre en place un dispositif d’aide à la connexion des entreprises (ACE) en Polynésie française. Ce nouveau dispositif a pour objectif de favoriser et d’encourager le raccordement des entreprises polynésiennes à l’Internet.

En effet, si le taux de connexion des grandes entreprises polynésiennes est de 100%, celui des petites entreprises de moins de 10 salariés atteint avec beaucoup de peine les 72%. Par ailleurs, de fortes disparités géographiques existent et ces dernières sont également constatées dans certains secteurs d’activité. Autant d’éléments qui témoignent d’un potentiel d’amélioration dans l’accompagnement des entreprises polynésiennes dans leur transition numérique.

Cette aide intervient sur la base d’un cofinancement des frais relatifs aux dépenses liées aux équipements et installations nécessaires au raccordement Internet. Le plafond du montant de l’aide est fixé à 100 000 Fcfp, et celle-ci ne pourra excéder 70% des frais engagés par l’entreprise. La gestion de ce dispositif d’aide à la connexion des entreprises (ACE) en Polynésie française, sera assurée par la direction générale de l’économie numérique (DGEN). Elle assurera l’instruction et le suivi des dossiers de demande d’aide à la connexion des entreprises polynésiennes.



Subvention pour le CIDFF

La ministre du Travail, des solidarités et de la condition féminine a présenté au Conseil des ministres le projet d’arrêté approuvant l’attribution d’une subvention de fonctionnement en faveur du Centre d’information sur les droits des femmes et des familles de Polynésie française (CIDFF).
Association à but non lucratif régie par les dispositions de la loi du 1er juillet 1901, créée en octobre 1990, grâce à une initiative conjointe de la Polynésie française, de l’Etat et du Conseil des femmes, le CIDFF a pour missions principales de favoriser l’accès au droit du public en général et des femmes en particulier par l’accueil, l’écoute, l’information et l’orientation dans tous les domaines et de promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes.
Pour l’année 2016, le CIDFF s’est fixé comme priorité :
- de tenir des permanences juridiques et de « santé-vie-relationnel » au siège de Papeete ;
- de développer une cellule de résolution des conflits familiaux par l’écoute et la communication en assurant une permanence de médiation familiale ;
- de tenir des réunions d’information dans des foyers d’accueil et dans les maisons de l’enfance de Faaa, Punaauia et Taravao sur demandes des Directrices ;
- d’organiser une formation pour une dizaine de nouvelles déléguées communales de Polynésie française en fin octobre ;
- de mettre à jour le guide des droits des femmes et de la famille, pour fin 2016.
Au vu du taux de fréquentation du centre en constante augmentation (le nombre de personnes informées par le CIDFF en 2014 était de 5 632 contre 5 905 en 2015, soit une augmentation d’environ 5%), de la diversification des activités du CIDFF en matière de services rendus à la population, le Pays renouvelle ses engagements en lui octroyant une subvention de fonctionnement d’un montant de 15 millions Fcfp, soit 45% de son budget de fonctionnement global, pour l’année 2016.

Enseignement dans les cycles 1, 2 et 3

Le texte annexé à la loi du Pays du 29 août 2011 portant approbation de la Charte de l’éducation a été modifié. La Charte de l'éducation est aujourd'hui actualisée par délibération de l'Assemblée de la Polynésie française. Dans ce cadre, les programmes scolaires de l’école primaire et du collège doivent également être actualisés.

Il s'agit des programmes des Cycle 1 (SP - SM - SG), Cycle 2 (CP - CE1 - CE2), et Cycle 3 (CM1 - CM2 - 6ème). Ils sont désormais plus lisibles, et ont pour ambition d’être plus favorables à la réussite de tous les élèves et à l'amélioration de la qualité des enseignements.

Ils sont articulés autour d’un socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Ce socle, réactualisé, représente ce que les élèves doivent connaître et savoir à la fin de leur scolarité obligatoire. Un accompagnement des enseignants à d'ores et déjà été mis en oeuvre par les personnels d'encadrement, et l'école supérieure du professorat et de l'éducation (ESPé).


Recrutement d’un médecin du sport

La Direction de la Jeunesse et des Sports dispose d’un poste vacant de médecin du sport. La pratique d’une activité physique régulière est importante pour préserver au mieux son capital santé, a fortiori lorsque l’on s’avance dans l’âge.

Dans ce cadre, et toujours dans l’optique d’une maîtrise des dépenses de santé, le ministère de l’Education et des Sports souhaite développer, avec le concours du ministre de la Santé, des activités physiques adaptées pour la population. Le médecin-inspecteur recruté sera chargé de l’élaboration d’un schéma directeur des APA (activité physique adapté) pour les cinq années à venir. Ce schéma directeur sera fondamental dans le bon développement de la stratégie politique du sport en favorisant la mise en place de l’environnement ad hoc.


Financement pour les logements des étudiants

Au mois de mai dernier, l’Assemblée de Polynésie a approuvé la convention du 20 novembre 2015 entre l’Etat et la Polynésie française relative à la prise en charge financière de l’aide au logement étudiant 2015-2016, à titre temporaire, par le budget de l’Etat, à hauteur de 380 000 euros, soit 45 346 062 Fcfp. Le Conseil des ministres a examiné le projet d’avenant du 18 juillet 2016 à la convention du 20 novembre 2015, ayant pour objet de modifier le montant de la prise en charge par le budget de l’Etat, à titre transitoire, celui-ci passant à 622 000 euros, soit 74 224 344 Fcfp.
Ce financement supplémentaire est justifié par l’augmentation du nombre d’étudiants logés dans le parc privé qui ont sollicité une aide au logement étudiant pour l’année universitaire 2015-2016 par rapport à l’année universitaire 2014-2015. A titre indicatif, pour l’année universitaire 2014-2015, 52 étudiants logés dans le parc privé ont sollicité l’aide au logement, contre 120 étudiants pour l’année universitaire 2015-2016.
Le nombre total d’étudiants sollicitant l’aide au logement étudiant recensé par type de logement au titre de l’année universitaire 2015-2016 est de 391 et se décline de la manière suivante : centre d’hébergement pour étudiants 197, Université de la Polynésie française 74, parc privé 120.


Promotion du Reo Tahiti : subvention pour l’association Puna Reo Piha’e’ina

Sur proposition du ministère de l’Education et de l’enseignement supérieur, le Conseil des ministres s’est prononcé pour l’octroi d’une subvention de fonctionnement en faveur de l’association Puna Reo Piha’e’ina, correspondant à la demande (462 000 Fcfp) faite par cette association.
L’association Puna Reo Piha’e’ina a notamment pour objet de transmettre aux enfants une éducation en reo ma’ohi, portant aussi sur la culture ma’ohi, avec notamment des rencontres et des sorties entre jeunes dans le cadre de colonies de vacances par exemple. Créée le 20 mai 2004, l’association Puna Reo Piha’e’ina a son siège à Moorea et compte environ 60 familles adhérentes. Au titre de son activité générale pour l’année 2015, l’association Puna Reo Piha’e’ina a par ailleurs perçu une aide financière du Pays, en crédit de fonctionnement, de 732 500 Fcfp.


Subvention pour le Conservatoire national des arts et métiers

Le Conseil des ministres a approuvé un arrêté portant sur l’attribution d’une subvention de fonctionnement de 10 millions Fcfp en faveur du centre CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) en Polynésie française dans le cadre du financement de son activité générale pour l’année 2016.
Le Pays a toujours soutenu la présence et le développement des actions de formation du CNAM. C’est ainsi que de 1979 à 2013, dans le cadre de ses compétences, le Pays a subventionné, à parité avec l'Etat, l’Association Polynésienne d'Enseignement Supérieur (APES). Le Pays entretient ainsi un partenariat primordial pour la mise en œuvre de la promotion sociale supérieure.

Le Centre CNAM en Polynésie française, rattaché administrativement au lycée de Taaone depuis le 28 janvier 2016, a pour mission de favoriser, en Polynésie française, la préparation en formation continue des diplômes de l’enseignement supérieur et plus généralement de promouvoir toutes les actions du CNAM.


Soutien pour la tournée du Groupe Tikahiri au Japon

Le Groupe Tikahiri, né en 2003 de la rencontre artistique entre quatre musiciens au talent reconnu, Aroma Salmon, Mano Salmon, Simon Pillard et Stéphane Rossoni, a programmé une tournée au Japon pour la sortie de leur 3ème album.
Depuis deux ans, le groupe vise l’international, l’Europe et les Etats-Unis. Fort de leurs expériences métropolitaines, et des divers concerts donnés dans le triangle polynésien en plus de la sortie de leur nouvel album, le groupe « Tikahiri » a décidé de se tourner vers le Japon. Une opportunité pour tous ceux qui, au Japon, sont amoureux de la culture polynésienne. Le groupe souhaite faire découvrir une autre facette de la Polynésie, celle du rock pa’umotu au style absolument unique.
Pour la tournée au Japon, le groupe prévoit de donner trois concerts dans les plus grandes villes : Tokyo, Kobe et Osaka. Afin de soutenir ce projet, le comité d’attribution des subventions en matière de culture et de patrimoine de la Polynésie française a proposé l’octroi d’une subvention d’un montant de 500 000 Fcfp en faveur de l’association « Tikahiri ».



Ouverture du concours d’entrée d’aide-soignant

La Direction de la santé, par son Institut de formation des professions de santé Mathilde Frébault, prépare l’ouverture du concours d’entrée à la formation d’aide-soignant(e), pour la session 2016. Le Conseil des minstres a décidé d’arrêter à vingt le nombre de places ouvertes à ce concours, lesquelles seront réparties comme suit :
- 16 places au titre du concours externe ;
- 4 places au titre du concours interne, soit 20 %.
Eu égard au calendrier mis en place, la rentrée scolaire, pour les lauréats du concours, est prévue le lundi 9 janvier 2017.

Classement du crabe de cocotier ou kaveu en espèce d’intérêt particulier

Le ministre de la Culture a présenté au Conseil des ministres un projet arrêté concernant le classement du crabe de cocotier, ou Kaveu, en espèce d’intérêt particulier. La loi du Pays du 14 avril 2016 portant modification du code de l’environnement a conservé un régime particulier de protection de certaines espèces non menacées mais soumises à des dispositions particulières.
Le crabe de cocotier ou kaveu (Birgus latro) considéré comme un mets de choix en Polynésie française n’a pour l’instant pas été déclaré espèce menacée, alors même qu’il fait l’objet d’un commerce important et que son habitat naturel (végétation dense et bord de mer) subit une pression anthropique de plus en plus forte.
Sur la base des réglementations mises en place dans d’autres pays et îles du Pacifique et suite aux résultats des premières études réalisées en Polynésie française, il est proposé de gérer de manière durable cette ressource et ce, sur l’ensemble de la Polynésie française mais pour une durée limitée à 10 années, le temps d’approfondir les connaissances sur l’espèce. Il est ainsi proposé d’insérer dans le code de l’environnement les mesures suivantes :
- l’interdiction de capture des individus dont la longueur du thorax est inférieure à 4 cm, mesurée de la base de la tête au début de l’abdomen, des femelles ovigères (portant des œufs) ;
- l’interdiction de capture des individus en mue ;
- l’interdiction de la taxidermie de tout individu quelque soit son stade de développement ;
- l’interdiction de toute destruction, altération, modification ou dégradation de leurs habitats naturels.
Ce projet a reçu un avis favorable de la Commission des sites et des monuments naturels en sa séance du 26 avril dernier.

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Coupure d'eau demain dans le quartier Ernest Aubry à Faaa  26/07/2016

Coupure d'eau demain dans le quartier Ernest Aubry à Faaa
FAAA, le 26/07/2016 - La distribution en eau sera suspendue ce mercredi 27 juillet 2016 à 8 heures et sera rétablie dès la fin des travaux.

Les secteurs concernés sont :
• TAVARARO bas ;
• AUBRY ERNEST.

Veuillez nous excuser des désagréments occasionnés.

Pour tous renseignements, merci de contacter le service Eau et Assainissement au 40.83.35.33.

OPT: avis de travaux dans les archipels éloignés  21/07/2016

OPT: avis de travaux dans les archipels éloignés
Le Groupe OPT informe qu’il est amené à effectuer des travaux sur une partie de son réseau de transmission par satellite depuis le lundi 18 juillet 2016.

Ces interventions de maintenance sont dues à des dysfonctionnements constatés sur les équipements de télécommunications et réseaux de transmission par satellite.

Ces perturbations touchent les archipels éloignés : Marquises, Tuamotu, Australes, en impactant les services de téléphonie fixe, mobile et Internet.

La mobilisation des équipes techniques de l’OPT et de VINI dès la constatation des dysfonctionnements a d’ores et déjà permis de rétablir les télécommunications sur les îles de : Aratika, Makatea, Pukarua, Tureia, Hikueru, Fangatau, Apataki, Vairaatea, Raroia, Mataiva, Reao, Niau, Tatakoto, Marutea sud.

Les collaborateurs de l’OPT et de VINI poursuivent activement leurs travaux sur les autres îles touchées par des dysfonctionnements, afin de rétablir au plus tôt l’ensemble des services de télécommunication.

L’OPT et VINI remercient par avance leurs clients pour leur compréhension.


Le Groupe OPT

Moorea : les épreuves du Tū'aro Mā'ohi se tiendront ce samedi  21/07/2016

Moorea : les épreuves du Tū'aro Mā'ohi se tiendront ce samedi
MOOREA, le 21/07/2016 - Les sports traditionnels se feront sur le stade John Teariki de Afareaitu.

Au programme de cette journée :

- Pātia fā
- Amora'a 'ōfa'i
- Pā'arora'a ha'ari
- 'ōra'a ha'ari
- Tīmaurā'au

Une bonne condition physique, une tenue traditionnelle et une couronne de fleur sont les seules exigences de cette journée! Les inscriptions, gratuite, se feront sur place.

Te mau fa’aotira’a a te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau, mahana toru, 20 no Tiurai 2016  20/07/2016


Hoho’a tapura ‘ohipa no te fa’a’ohipara’a i te porotita a te hau no te ‘utuafare fetii

I te 21 no tenuare i ma’iri a’e nei, ia au i te mau ‘ohipa pe’ape’a o tei ‘iteahia na i Porinetia farani nei, ua fa’aoti te Peretiteni no Porinetia farani i tu’u i te ‘utuafare fetii i ropu i ta’na mau mana’ona’ora’a e ua fa’aara na ‘oia no te ha’amau i te ho’e Tomite Pairati no te Rurura’a merohope a te ‘Utuafare fetii, hamanihia e ho’e ‘ahuru rahira’a ta’ata o tei tu’i to ratou ro’o no to ratou fa’ao noara’a mai i roto i te ‘imira’a i te mau rave’a no te mau ‘utuafare fetii.

No reira, ua fa’aue ‘oia i taua Tomite ra e ‘ohipa i ni’a i te ha’amaura’a i te ho’e hoho’a tapura ‘ohipa e i muri mai i te tahi fa’anahora’a no te ha’afaufa’a i te mau ‘utuafare fetii. I roto e 3 ‘ava’e te roara’a, ua putuputu noa mai na taua Tomite a i te mau hepetoma ato’a no te feruri i te mau tareni faufa’a e ua ‘ohipa noa mai na no te fa’a’ohipara’a ia ratou. I te hope’ara’a, 130 rahira’a tapura ‘ohipa o tei ha’aputuhia i roto e 7 mau fa o tei fa’ahitihia mai. I muri mai, ua tu’uhia’tu ratou, i te 7 no ‘eperera 2016, i roto i te horo’ara’a mana’o a te mau ta’ata ‘aravihi, mau ta’ata ‘ihi rave’a rahi ta ratou e e mau ta’ata ta-moni ‘ore o tei iteahia to ratou ‘aravihi e to ratou tamaura’a i te ‘imi i te mau rave’a rau no te mau parau no ni’a i te mau ‘utuafare fetii ia nehenehe ia ratou ia ‘apapa maita’i e ia ha’amana i te mau tu’ura’a mana’o matamua a te Tomite no te Pairatira’a. Na roto i te reira, ua nehenehe mai i te Tomite e fa’arava’i i ta’na tapura ‘ohipa, o tei vauvauhia mai i mua i te ‘Apo’ora’ahau i te 27 no ‘eperera i ma’iri a’e nei.

Ua ‘ite rahihia mai e na te hi’ara’a o te ti’ara’a o te fa’arava’ira’a faufa’a i roto i te mau matahiti i mahemo, i arata’i i te pae rahi o te mau ‘utuafare fetii i roto i te orara’a faito ha’iha’i e te rava’i ‘ore, e te veve rahi, haere mai ai e fa’ateimaha fa’ahou atu a i te autahira’a ‘utuafare fetii e tae roa’tu i ni’a i te motura’a. Te maura’a mai te mau orara’a tane-vahine i roto i to raua ‘api noara’a a, te papu ‘ore te orara’a ‘utuafare, te rahira’a te mau ‘utuafare fetii metua ‘otahi e tae noa’tu i te mau ta’ara’a o te mau ‘utuafare fetii e o te feia metua, na te reira i fa’ahi’a roa i te mana metua. Na te reira mau ‘ohipa i fa’atupu mai i te mau fa’anahora’a ‘api no te orara’a, i te tahi huru ‘api no te fa’aterera’a metua, i te tahi ti’ara’a ‘api no te tamarii i roto i te ‘utuafare fetii, o tei ‘opa’opa rahi roa i roto i te orara’a totiare.

E mea titauhia o Porinetia farani ia fa’anaho i te porotita a te hau hi’o ‘amui, puai, fa’a’apihia, tarenahia i roto i te roara’a o te tau. E mea titauhia te reira ia horo’a i te ‘utuafare fetii tata’i tahi i te mauha’a no te fa’atere’au i ta’na mau tareni e no te fa’atupu i ta’na mau ‘opuara’a no te orara’a ma te horo’a atu ia’na ra i te ‘auanatura maita’i e te mau aura’a fetii maita’i. E tupu te reira tapura ‘ohipa rahi faufa’a mai te mea e ‘amui pa’ato’a te mau puai ora o te Fenua.

Te mau tapura ‘ohipa o tei tu’uhia mai, ‘eita ia e tupu te ta’ato’ara’a : e titauhia i te ‘Apo’ora’ahau ia fa’anaho i te tapura terera’a ‘ohipa e te fa’atupura’a i te reira i roto i te taime tano e te ha’amaura’a i te mau fa. I roto i te mau tapura ‘ohipa o tei tu’uhia mai, te vaira te mea ‘api, te tahi, ua fa’a’ohipa a’enahia ia te tahi tuha’a ; vetahi e titauhia ia fa’a’ohipahia te mau reforomatiora’a a te hau, te mau fa’aturera’a e te mau fa’anahora’a arata’ira’a no te fa’arahi fa’ahou atu a i te manuira’a no te vai nei. Na te ha’amanara’ahia te reira hoho’a tapura ‘ohipa e te ‘Apo’ora’arahi no Porinetia farani e horo’a mai i te pautuutu e te ‘avei’a i te mau ‘Apo’ora’ahau, no te mau matahiti i mua nei, no te fa’a’ohipa e no te fa’atano i te mau rave’a tapura ‘ohipa i tu’uhia mai, no te ha’aputu i te mau rave’a ‘afata faufa’a e aore ra no te ha’aparare ia ratou.


Hepetoma no te fa’a’āpira’a a te hau mai te 14 e tae atu i te 20 no novema

Te Hepetoma no te Fa’a’āpira’a a te hau, fa’anahora’a haunui fa’ata’ahia no te tu’ura’a i mua i te fa’a’āpira’a i te fa’aterera’a a te hau no te piha o te mau ta’ata ‘āi’a e o te mau taiete ‘ōhipa, e tupu te reira mai te 14 e tae atu i te 20 no novema nei 2016. Te fa’a’āpira’a terera’a ‘ōhipa a te hau, e ‘iteahia ia na roto i te hō’ē fa’aterera’a ‘ōhipa a te hau ha’uti noa, o te ‘āfa’i noa mai i te mau fa’aterera’a ‘āpi e i te mau aura’a ‘āpi hau atu i te ‘ōhie e i te faufa’a, i te pae ihoa ra no te ha’amaita’ira’a i te terera’a ‘ōhipa rorouira a te hau.
Teie fa’anahora’a numera piti e rave’a ia no te ha’afaufa’a i te mau tapura ‘ōhipa fa’a’āpihia o tei fa’a’ōhipahia mai i roto i te terera’a ‘ōhipa a te mau pu a te hau. E ha’amaramarama mai te reira i te nuna’a, tera ra, e ‘aitauira’a ato’a te reira no te fa’a’āpira’ahia te terera’a ‘ōhipa a te hau, e ei ‘ai’operera’a ato’a te reira i te mau ‘aravihi i rotopu i te mau rave ‘ōhipa a te hau. Ma te autaipe e te Haunui e te mau ‘Oire, ia amo mai te mau ti’a rave ‘ōhipa ato’a i te mau fa’anahora’a i te mau mahana tata’itahi o te hepetoma no te hamanira’a i te ho’e « Poromu no te fa’a’āpira’a a te hau (PFH=RIP».
Na roto i te reira « Poromu no te fa’a’āpira’a a te hau », e fa’atupu o Porinetia farani i roto i te mau pu no te Peretitenira’a, i te mahana piti 15 no novema 2016, i te hō’ē mahana fa’ata’ahia no te fa’a’āpira’a i te fa’aterera’a ‘ōhipa a te hau porinetia. E riro atu ihoa ra taua mahana ra ei rave’a no te ‘avari i te ‘uputa rorouira porinetia e no te Fa’aterehau ti’a’au i te rorouira ei rave’a no te fa’ahaere e pae piha-‘āfata teata ‘āpi.
E ‘iriti te reira fa’anahora’a ia te mau piha e te mau pu ha’apiira’a a te Haufenua i te ‘uputa no te fa’a’ite i te huira’atira e i te mau rima rave ‘ōhipa a te hau i te mau terera’a ‘ōhipa e te mau ‘ōpuara’a fa’a’āpihia i te pae no te fa’a’ōhiera’a e no te ha’amateria ‘ōrera’a i te mau terera’a ‘ōhipa a te hau.


Fariira’a i te fa’a’orera’a tute na te hotera faito no te ao

Ua fa’aoti te ‘Apo’ora’a a te mau Fa’aterehau e paturu i te ha’amahutara’a i te fa’arava’ira’a faufa’a no te fenua nei, i te pae ihoa ra no te hotera faito no te ao, na roto i te fariira’a e piti ‘opuara’a fa’ahotura’a o tei ani mai i te fa’anahora’a fa’a’orera’a tute a te fenua nei :

1/ Fariira’a i te fa’a’orera’a tute otei horo’ahia na te ‘opuara’a o tei tu’uhia mai e te SA Totaiete no te mau Hotera ‘Api – fa’anahora’a no te mau fa’ahotura’a namuri mai – tuha’a no te fariira’a ratere – fa’arahira’a e fa’a’apira’a i te hotera e pu nohora’a no te fariira’a ratere no te ao

No ni’a taua ‘opuara’a ra i te mau tapura ‘ohipa no te fa’a’apira’a e no te fa’arahira’a i te Hotera Le Méridien Bora Bora, no te hamanira’a mai ho’e SPA, te hamanira’a i te ho’e fare tama’ara’a i ni’a i te motu Apato’erau, te hamanira’a i te mau piha ‘api e te fa’arahira’a i te mau area no te mau putura’a fare e vai nei, te hamanira’a i te mau fa’anahora’a rarahi e te ho’ora’a mai e 4 pahi fa’ata’ahia no te utara’a i te mau hoani a te hotera.

Na roto i te fa’a’apira’a i taua pu hotera ra, e nehenehe atu ia e pahonohia te anira’a a te hoani no te ara o te ani rahi maira ia au i to ratou hina’aro e i te faito teiteira’a o taua faito hotera ra.

Piri i te 97 ti’ara’a ‘ohipa taime ‘i o te hina’arohia no te fa’atupu i te reira mau tapura ‘ohipa. E nehenehe ato’a e tupu mai 10 mau ti’ara’a ‘ohipa ti’a hau na roto i te ha’amaura’a i te tareni ‘ohipa ta-patana.


2/ Fa’atauira’a i te horo’ara’a fa’a’orera’a tute o tei horo’ahia’tu na no te ‘opuara’a o tei tu’uhia mai na e te SA Bora Bora Nui – fa’anahora’a no te mau fa’ahotura’a na muri mai – tuha’a no te fariira’a ratere – fa’a’apira’a i te hotera e nohora’a no te fa’ariira’a ratere no te ao.

Na roto i te fa’aotira’a mana n°62/CM no te 22 no tenuare 2015, ua fariihia te fa’a’orera’a tute o tei tu’uhia mai e te SA Bora Bora Nui no ta’na tapura ‘ohipa no te fa’a’apira’a i ta’na hotera, na roto i te fa’anahora’a no te mau fa’ahotura’a na muri mai mai tei fa’ata’ahia ra i roto i te upo’oparau 1 no te toru o te tuha’a no te ture o te mau tute.

Na roto i te tahi fa’atauira’a no ta’na ‘opuara’a fa’ahotura’a, ua ani mai tauatotaiete ra ia fa’atauihia te fa’a’orera’a tute o tei horo’ahia’tu na na’na. ‘Inaha, i teie nei, tei ni’a atura ta’na ‘opuara’a i te fa’a’api roara’a i te ta’ato’ara’a i ta’na mau fare nohora’a, no te fariira’a, i ta’na poro ‘apo’o hapura’a pape, i ta’na fare tama’ara’a, i te mau tuha’a piha ‘amui e no te mau poromu, te hamanira’a i te ho’e fare tama’ara’a tapone e tinito, i te ho’e pu no te mau tamarii, te fa’arirora’a i te fare no te « mau piha » ei mau piha « day use », te fa’anahora’a i te tahi SPA e te tahi piha « fitness » e te fa’anahora’a i te tahi piha fa’anahora’a rave’a hoho’a ia anihia. E fa’ataui ta’ato’ahia ia te hotera ia au i te mau titaura’a no te faito hotera teitei titauhia mai e te puta no te mau tareni ato’a.

Piri i te 150 ti’ara’a ‘ohipa taime ‘i o te hina’arohia no te ravera’a i te reira mau tapura ‘ohipa.

Na roto i teie fa’a’apira’a i taua hotera ra, e mara’a atu ia ‘oia i ni’a i te faito 5 Feti’a ia au i te mau fa’anahora’a ‘api faito fa’ahiahia o ta’na e nehenehe e horo’a atu, no te huti mai i te hoani faito moni, e te nehenehera’a e pahono i te mau titaura’a a te hoani no te ara, mai roto mai ihoa ra i te mau matete e mara’a rahi maira. E nehenehe ato’a ia na roto i te reira ia tape’a noahia tera rahira’a 177 ti’ara’a ‘ohipa e vaira i teie nei mahana e ia fa’atupu fa’ahouhia mai e 30 mau ti’ara’a ‘ohipa ‘api.


Faito no te mau moniho’o : topara’a 0,5 % i ni’a 12 ‘ava’e

I te tiunu 2016, ua mara’a te faito moniho’o o te ‘aimamaura’a i ni’a i te 0,2 % e ua vai i ni’a i te 107,42, na roto i te mara’ara’a pu’etau i ni’a i te 12,5 % no te mau tarifa no te mau utara’a na ni’a i te manureva. I ni’a 12 ‘ava’e, ua ‘otohe te faito moniho’o i roto i to’na ta’ato’ara’a i ni’a i te 0,5 %. Na te mara’ara’a te mau moniho’o o te mau hotu ma’a tama’a i tape’ape’a noa ia topa noa te mau moni i roto i te mau tuha’a no te mau utara’a e no te mau nohora’a, no te pape, no te mahu auahi uira e no te tahi è atu a mau tao’a ura.
Ua topa te faito rima rave ‘ohipa 0,2 % i te tiunu ra. Ua ‘otohe ‘oia 0,3 % i ni’a 12 ‘ava’e. Ta’a-è noa’tu te utara’a manureva na te ara, ua mara’a te faito hi’o ‘amui i ni’a i te 1,1 % i te tiunu ra. Ua topa ra ‘oia i ni’a i te 0,5 % i ni’a 12 ‘ava’e.


‘Ēita te moniho’o o te mori e mara’a i te 1 no ‘ātete

Ua mara’a te mau moni ho’o o te mori i te ara. No te reira tumu, ia tae ana’e mai te mau mori i ni’a i te uahu no Papeete, e mara’a ai i ni’a ia fa’aauhia’tu i ni’a i te faito moniho’o i te mau hurira’a na mua atu. Tei ni’a te mau mara’ara’a i te faito 1 e tae atu i te 4 %, e te mara’ara’a rahi roa a’e tei ni’a ia i te mori ‘arahu e 4,55 %.

Noa’tu ara te reira mau mara’ara’a, ua fa’aoti te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau ‘ēiaha e ha’amara’a i te mau moniho’o o te mau mori i te mahana matamua no ‘ātete. ’Āre’a i ni’a i te mau matete no te ao nei, e mau’e hanoa te mau moniho’o o te mau mori, ‘āre’a te ‘Āpo’ora’ahau ‘āita ia ‘ōia i ‘āueue iti noa a’e i mua i te reira.


Fa’aotira’a mana no te ha’amau i te tahi tauturu i te pae no te pere’o’o uira : fa’aotira’a mana no te ha’apapu i te mau fa’anahora’a no te fa’a’ōhipara’a

I te tai’o no te 8 no tiurai, ua mā’iti te ‘Āpo’ora’arahi no Porinetia farani i te hō’ē fa’anahora’a tauturu i te turura’a fa’arava’ira’a faufa’a i roto i te tuha’a no te pere’o’o uira i ni’a i teie mau reni rarahi i raro nei :

- Tauturu na te Haufenua e na te Taiete ho’o pere’o’o no te hō’ē ho’ora’a mai i te hō’ē pere’o’o ‘āpi i ni’a i te 4 mirioni toata farane e aore ra i raro mai, no te taui i te hō’ē pere’o’o tahito e 7 matahiti :
- Tauturu hi’o fa’aau ia au i te ha’amahura’a i te auauahi o te pere’o’o e hina’arohia ra e ho’o mai ;
- Tauturu rahi fa’ata’a-ta’ahia ia i ni’a i te mau pere’o’o uira e hiperite ;
- Ha’amaura’a i te tahi aroaro no te tauturu no te ha’apae i te mau pere’o’o ha’aviivii rahi roa a’e i roto i taua fa’anahora’a ra ;
- Tauturu a te Haufenua e a te Totaiete ho’o pere’o’o no te ho’ora’a mai hō’ē piti huira uira ‘api ;
- Tauturu na te Totaiete ho’o pere’o’o o te ‘ore e fariihia i raro a’e i ta te Haufenua no Porinetia farani.

Na te fa’aotira’a mana i ravehia mai e te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau e ha’apapu mai i te fa’anahora’a e te mau titaura’a no te fa’a’ōhipara’a i taua fa’anahora’a ra ma te fa’aau fa’anaho maita’i e te mau ta’ata ho’o pere’o’o e te mau piha ‘ōhipa a te hau e o atu i roto. E nehenehe ‘oia e fa’a’ōhipahia i te taime noara’a ra e piahia ai ‘ōia i roto i te Ve’a a te Hau no Porinetia farani i teie nei fa’aotira’a mana e e fa’a’ōhipahia te reira e tae noa’tu i te paura’a te ‘āfata faufa’a tauturu i fa’ata’ahia, e aore ia, e tae noa’tu i te hope’a no teie matahiti 2016..


Tauturu moni na te mau aupupu a te feia rave ‘ōhipa tā-moni

Ia au i te mau fa’aturera’a Lp. 2221.12 no te Ture ‘Ōhipa, te mau aupupu ato’a o tei ‘itemanahia e te Haufenua, e nehenehe ‘ōia e fana’o i te tahi tauturu moni no tā’na terera’a ‘ōhipa roto, ia au i te faito rahira’a faufa’a o te ‘Āfata faufa’a ‘ritihia i mpuri mai i te mana’o o te Tomite Hi’opo’a ‘Afata terera’a faufa’a e faufa’a moni a te ‘Āpo’ora’a rahi no Porinetia farani (THAF=CCBF).

No 2016, te faito faufa’a ta’ato’a e horo’ahia tei ni’a ia i te 19 mirioni toata farane o te ‘ōperehia ia au i te rahira’a parahira’a i roa’a mai i te aupupu tata’itahi, i roto i te mau mā’itira’a ti’ara’a toro’a no 2014 e 2015, mai teie muri nei :

I ni’a e 2 672 ti’a mā’itihia :

1. ‘Āmuitahira’a na te mau Aupupu a te mau Rave ‘Ōhipa no Porinetia / Puai ravera’a ‘ōhipa (CSTP/FO) : 1 061 parahira’a, ‘ōia ho’i 39,70% no te mau reo mā’iti no 2014/2015 ;

2. ‘Āmuitahira’a A Tia I Mua : 569 parahira’a, ‘oia ho’i 21, 29% no te mau reo ma’iti no 2014/2015 ;

3. ‘Āmuitahira’a no te mau Aupupu Ti’ama no Porinetia (CSIP) : 454 parahira’a, ‘ōia ho’i 16,99% no te mau reo mā’iti no 2014/2015 ;

4. ‘Āmuitahira’a ‘ŌTAHI : 284 parahira’a, ‘ōia ho’i 10,62% no te mau reo ma’iti no 2014/2015 ;

5. ‘Āmuitahira’a ‘O ‘Ōe To ‘Ōe Rima : 304 parahira’a, ‘ōia ho’i 11,37% no te mau reo mā’iti no 2014/2015.

No teie taime, e piti ‘āmuitahira’a aupupu o te ‘āfa’i mai i ta raua na anira’a tauturu e ua fariihia’tu ta raua anira’a tauturu e te THAF (CCBF). No reira, ua ha’amana te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te horo’ara’a tauturu na taua na ‘amuitahira’a aupupu ra, ‘oia ho’i, te ‘Āmuitahira’a ‘O ‘Ōe TO ‘Ōe Rima e te ‘Āmuitahira’a CSTP/FO.

E te hope’a roa, e mea ti’a ia ha’apapuhia e ta’a-è noa’tu te reira mau tauturu e na ni’a ato’ahia’tu te ho’o no te mau hopoi’a no te ti’ara’a aupupu e te mau fa’a’ōhipara’a vaimatara no te mau ‘āmuitahira’a o te mau aupupu o te mau rave ‘ōhipa a te hau no Porinetia farani, tei ni’a no 2016 nei, i te 112 mirioni toata farane.


Fa’atauira’a i te Ture ‘Āi’a no ni’a i te mau fa’anahora’a no te ora’a i roto i te RSPF

Ua tu’u atu te Fa’aterehau vahine no te ‘Ōhipa, no te mau Autahira’a e no te Ti’ara’a mana o te Vahine i mua i te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē ‘ōpuara’a Ture ‘Āi’a no te fa’atae atu i roto i te ‘Āpo’ora’arahi no Porinetia farani i te hō’ē ‘ōpuara’a Ture ‘Āi’a no ni’a i te fa’atauira’a i te Ture ‘Ai’a n° 2015-3 no te 25 no fepuare 2015 no ni’a i te mau titaura’a e o ai i roto i te ‘Āfata no te Autahira’a (RSPF).
Te Ture ‘Āi’a n° 2015-3 no te 25 no fepuare 2015, tā’na fā no te fa’aora’a i roto i te ‘Āfata no te Autahira’a i te mau ta’ata o tei ‘āpapahia i roto i te ti’ara’a fa’arava’ira’a faufa’a e totiare fifi. Teie ra, mai to’na fa’a’ōhipara’ahia mai te 1 mai no tenuare, e rave rahi o tei pato’i e fa’ao i roto :
 No te feia ani unuma no te mau huru punavai ‘imira’a ato’a i te taime no te tu’ura’a i ta rātou mau anira’a ;
 No te feia rave ‘ōhipa tā-moni i raro mai i te 80 rahira’a hora ‘ōhipara’a i te ‘āva’e ( tera ra o te roa’a ra ia rātou hō’ē moni ‘ōhipa i ni’a i te 87 346 toata farane), e, noa’tu a te ‘huihui ra ratou i roto i te ‘Āfata turuuta’a, ‘ēita ihoa rātou e fana’o i te parurura’a ma’i, ‘ēita ato’a ho’i i te moni tamarii ‘aufauhia e te ‘Āfata a te feia rave ‘ōhipa.
Teie ‘ōpuara’a Ture no te tapu vitiviti ia i te reira mau fa’anahora’a tano ‘ore e no te fa’aho’i fa’ahou mai i te titi’aifarora’a totiare a nehenehe ai i te mau ta’ata no roto i na ti’ara’a e piti e fana’o i te parurura’a ma’i e i te mau moni tamarii ‘aufauhia e te ‘afata no te Autahira’a.
Te tahi ato’a fa a teie ‘ōpuara’a Ture ‘Āi’a o te ha’amaramaramara’a ia i te mau fa’anahora’a e te ha’amaita’ira’a i te fa’atere’au i te ti’a’aura’a i te tahi mau ‘Āfata tauturu (huma e ruhiruhia). No te reira tumu, e fa’a’ōhipa fa’ahou mai ‘ōia i te fa’anahora’a e no te fa’aora’a i roto i te RSPF o te hō’ē ia fa’anahora’a faufa’a no te fa’afana’o i te mau ‘Āfata tauturu e i te mau moni tamarii e tauturu rau ‘aufauhia e te ‘Āfata no te autahira’a.


Tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto a te Tomite Porinetia no te mau Nohora’a ‘Utuafare Fetii fa’a’āpu

Ua vauvau mai te Fa’aterehau no te ‘Ōhipa, no te mau Autahira’a e no te Ti’ara’a mana o te mau Vahine, i mua i te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē ‘ōpuara’a fa’aotira’a mana no te farii e horo’a i te tahi tauturu moni terera’a ‘ōhipa roto na te Tomite Porinetia no te mau ‘Utuafare Fetii Fa’a’āpu (TPUFF=CPMFR).
Ha’amauhia na i te matahiti 1980 ra, te TPUFF (CPMFR) o te hō’ē ia ta’atira’a niuhia i ni’a i te ture no te 1 no tiurai 1901 e o tei ta’atihia i roto i te ‘Amuitahira’a no te mau ‘Utuafare Feti’i Fa’a’āpu no te Ha’apiira’a e no te Arata’ira’a.
Te mau fā a taua ta’atira’a ra o teie ia :
- Te titaura’a ia patuhia e ia ‘īritihia te mau ‘Utuafare Fetii Fa’a’āpu (MFR) i Porinetia farani e ia fa’atupuhia na roto ia’na te tareni no te fa’ahotura’a e no te rautira’a ;
- Te parurura’a ia vai tumu noa te mau UFF (MFR) ia au i te mau papature tumu e te mau titaura’a e te mau fa’anahora’a fa’aotihia e te ‘Āmuitahira’a no te mau ‘Utuafare Fetii Fa’a’āpu no te Ha’apiira’a e no te Arata’ira’a ;
- Te ti’ara’a i mua i te mau mana o te hau, i te mau ‘amuitahira’a ti’ara’a toro’a e mau fetii e i te mau mana ato’a ihoa ra, te mau ta’atira’a no te fenua nei o te ha’amauhia mai e te UFF (MFR) ;
- Te ravera’a e te fa’atupura’a i te mau huru tareni faufa’a ato’a no te UFF (MFR) no te fa’ahotu atu ia rātou e tae noa’tu i te fa’ahotura’a i te ha’apiira’a, e te ha’apiira’a huira’atira ihoa ra i te pae no e fa’a’āpura’a, no te ha’amaita’ira’a i te orara’a totiare e te ha’apiira’a i te mau taure’a tane e te mau taure’a vahine ;
- Te nehenehera’a e fa’atupu i te mau huru ti’ara’a tavini ato’a faufa’a no te mau UFF (MFR).
Te Tomite Porinetia no te mau UFF CPMFR) e fana’o ‘ōia, mai tō’na ha’amaura’ahia mai, i te turu a Porinetia farani na roto i te hō’ē tauturu moni terera’a ‘ōhipa roto e nehenehe ai ia’na e amo i ta’na mau ha’amau’ara’a e tae noa’tu i te mau ha’amau’ara’a no te pae no te utara’a e no te puhapara’a o te mau piahi fa’aauhia no te UFF (MFR). E nehenehe ato’a i taua tauturu moni ra, e ha’amau mai i te mau piha ha’apiira’a no te turu (‘āfa’i fa’ahoura’a i ni’a i te faito) i roto i te mau pū no te fa’aineinera’a.

Ha’amauhia mai te huru o te mau ta’atira’a, e 8 huru pū fa’aineinera’a to te UFF (MFR) tuha ‘ōpere aumaitehia na Porinetia farani pa’ato’a o te fa’aineine nei i te mau piahi no te Parau tū’ite Haunui Pereve (PHP=DNB) e no te Parau ha’apapura’a Ti’ara’a Toro’a Fa’a’apu (PTTF=CAPA). I te matahiti 2015 ra, te faito manuira’a i roto i te mau hi’opo’ara’a no te mau tino titau parau tū’ite a te UFF (MFR) i te Parau Tū’ite Haunui Pereve (PHP=DNB) e ‘ēre ato’a i te mea rahi roa, ‘āre’a ra no te PTTF (CAPA), ia ‘āmuihia te mau ‘aravihi ato’a, tei ni’a ia te faito manuira’a i te 74,5 %.


Tareni Totiare Fenua Eugénie i Papara : tuha’a tuatapapara’a no te taniuniura’a i te mau tapu fenua


Ua ho’o mai na te Haufenua, i te 26 no novema i ma’iri, e rave rahi mau tapu fenua, i roto i te ‘Ōire no Papara, no te hō’ē rahira’a ‘ā’anora’a fenua hau atu i te 71 000 metera tuea. Ua riro te reira mau tapu fenua ei mea faufa’a rahi i te pae ihoa no te nohora’a totiare, no reira, na roto i te hō’ē fa’aotira’a mana a te Fa’aterera’ahau no te Nohora’a, ua fana’o mai te OPH, Pū Porinetia no te Nohora’a, i te fenua Eugénie no te ravera’a i te mau tuatapapara’a matamua no te taniuniu maita’ira’a e no te fa’anahora’a.
No reira, te fa’anaho nei te OPH e rave i te mau tuatapapara’a titauhia no te hō’ē ‘ōpuara’a tamara’a i te fenua ta’ato’a i reira e putuputu noa ai hau atu i te 50 rahira’a tapu fenua tapupu tata’itahihia e i te mau fa’anahora’a no te fa’a’āpura’a, fa’arava’ira’a faufa’a e no te tū’aro. E nehenehe ato’a ni’a i te reira mau fenua e ha’aparahi ato’ahia’tu ai te mau ‘utuafare fetii o tei parahi noa na i Tahiti Mahana Beach e i Princesse Heiata. Te faufa’a moni no taua mau tuatapapara’a ra, tei ni’a ia i te faito 18,5 mirioni toata farane, o te amohia e te Haufenua 100%.


Tū’aro ha’apiira’a : tauturu i te USSP e i te USEP


Ua hi’opo’a te ‘Āpo’ora’a a e mau Fa’aterehau i te hō’ē anira’a tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto no te faito 15,5 mirioni toata farane a te ‘Āmuitahira’a no te Tū’aro Ha’apiira’a Porinetia (ATHP=USSP) no te paturu moni i ta’na tapura ‘ūhipa no teie matahiti 2016. Ha’amauhia i te matahiti 1962 ra, te fā a te ‘Āmuitahira’a no te Tū’aro Ha’apiira’a Porinetia o te ‘Āmuitahira’a ia i te mau ta’atira’a tū’aro a te hau e a te mau unuma no te mau pū fare ha’apiira’a no te tuarua no Porinetia farani, ei fa’aroa fa’ahoura’a atu i te mau fā rarahi no te ha’apiira’a fa’a’eta’etara’a tino e no te mau tū’aro fa’ata’ahia i roto i te hora ha’apiira’a fa’ahepohia. Te tahi ato’a tareni tā’na, o te poiherera’a ia e te ha’afaufa’ara’a i te fa’atupura’a i te mau farereira’a tū’aro na te ao e te mau harura’a ti’ara’a ‘aito mata’ina’a e aore ra ta’amotu, i roto i te roara’a no te matahiti ha’apiira’a.
Ua hi’opo’a ato’a te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē anira’a tauturu moni no te terera’a ‘ōhipa roto i ni’a i te faito 17,2 mirioni toata farane na te ‘Āmuitahira’a Tū’aro a te Ha’apiira’a no te Tuatahi (ATHT=USEP) no te paturu monira’a i tā’na tapura ‘ōhipa piihia « te mau piha no te moana e te mau piha no te mau mā’imi ‘itera’a a te mau fare ha’apiira’a no te tuatahi » no teie matahiti 2016.

Ha’amauhia i te matahiti 1962, te ‘Āmuitahira’a Tū’aro no te Ha’apiira’a no te Tuatahi ( ATHT=USEP), tā’na tareni o te fa’ahotura’a ia, te fa’atupura’a e te hi’opo’ara’a i te mau tareni ato’a no te fa’a’eta’etara’a tino e no te tū’aro ei rave’a no te ha’apiira’a e no te ta’ere, no te fa’aora’a e no te ha’ara’a i roto i te orara’a totiare, no te fa’aineine i te mau tamarii ia riro mai rātou ei feia pa’ari mā’ona e ei nuna’a, e aore a ia te ha’afaufa’ara’a i te mau aura’a o te fare ha’apiira’a a te hau e te mau pu fa’atere a te hau, te mau ‘Ōire e te ao no te tū’aro e te paturura’a’tu i tō’na ‘u’ara’a.

Te Tomite ATHT (USEP) no Porinetia farani e mero ia no te ‘Āmuitahira’a no te Tū’aro Ha’apiira’a e ha’apiira’a tuatoru (ATHT=CSSU) no Porinetia farani. E ti’ahia ‘ōia i roto i te Tomite no te mau ha’utira’a rarahi no Porinetia farani e te Piha no te mau Ha’apiira’a o te ‘āmui ra e 85 rahira’a ta’atira’a tū’aro ha’apiira’a, tuhahia na roto ia Porinetia ta’ato’a, 14 805 tō’na mau mero tumu e i roto i te reira e 491 mau ta’ata pa’ari.


Tauturu i te Taupe’e no te puta « Tai’o i Porinetia 2016 »

Ua farii te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē tauturu moni hau no te terera’a ‘ōhipa roto no te faito e 500 000 Toata farane a te AETI (Ta’atira’a no te Feia Nene’i puta no Tahiti e no to’na mau Motu) no te paturu faufa’a moni i tā’na taupe’e no te puta « Tai’o i Porinetia 2016 ». Ua horo’a a’ehia’tu na te tahi tauturu moni huru rahi atu i ma’iri a’e nei.

Ha’amauhia i te 2001 ra, te tareni a te AETI o te fa’atianira’a ia, te fa’ahotura’a e te parurura’a i te mau ti’ara’a mana e te mau ti’amara’a o te nene’ira’a puta o te feia nene’i puta no Porinetia farani. Te taupe’e no te puta « Tai’o i Porinetia », fa’atupuhia e te AETI, e ‘ere noa ia i te hō’ē fa’anahora’a ta’ere tuha’a fenua fa’ahiahia o te fa’ata’iruru mai i te feia nene’i puta no te ao o te puta, e rave’a ato’a ra te reira, no te fa’a’ana’anatae i te feia ‘api no te papa’i e no te tai’o.


Tape’ara’a i te mau pere’o’o uira i roto i te mau fare maeha’a no te uahu


Ua hi’opo’a te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te hō’ē pu’eparau no ni’a i te tape’ara’a no te mau pere’o’o uira i roto i te tape’ara’a pere’o’o no te mau fare maeha’a o te Uahu no Papeete. Na roto i te ho’o rahira’ahia te mau pere’o’o uira, ua anihia’tu te Uahu no Papeete ia ha’amau i te tahi mau ‘apa’apa hi’o haruharura’a uira ito mahana no te fa’a’ī i te mau ‘āfata uira o taua mau pere’o’o ra i Papeete e i Vai’are, ‘āita a hō’ē tarifa i ha’amauhia’tura no te reira huru ‘ōhipa e tae roa mai i teie nei.

No reira, ua fa’aoti te Tomite Fa’atere no te Uahu e ha’amau i te tarifa i ni’a i te 20 000 toata farane ‘āita e tute to roto i te ‘āva’e e na ni’a i te tape’ara’a pere’o’o, ‘inaha, ua ha’apapu maita’ihia e taua tarifa ra no te patiara’a uira ito mahana ia e no te tape’ara’a ia ‘āmuihia’tu.


Fa’aturera’a no te terera’a poti i roto i te Billabong Pro Tahiti

I mua i te fa’aineinera’a i te tata’ura’a matahiti a te Surf Billabong Pro 2016 tapurahia i Teahupo’o mai te 13 e tae atu i te 30 no ‘ātete i mua nei, ua ha’amana te ‘Āpo’ora’a a te mau Fa’aterehau i te fa’anahora’a no te paruru ‘ēiaha ei fifi e tupu mai. Na roto i te mau fa’aturera’a pu’etau poto i ni’a i te tahora e tupu ai te Surf Billabong Pro 2016. Te mau fa’aturera’a pu’etau poto no te ta’oti’ara’a i te faito tere i roto i te mau tuha’a fa’ata’ahia e ‘āuahia e te mau tapa’o e te feia fa’atupu, te reira fa’anahora’a no te paruru ‘ēiaha ia tupu te fifi no te arai ia i te mau ‘ati i roto i te tupura’a no taua fa’anahora’a ra e no te fa’a’ōhie, ia hina’aro noahia’tu, te mau tauturura’a.

Compte rendu du Conseil des ministres du 20 juillet 2016  20/07/2016

Plan d’action pour la mise en œuvre d’une politique publique de la famille

Le 21 janvier dernier, au regard de graves faits divers graves qu’a connu la Polynésie, le Président de la Polynésie française décidait de placer les familles au centre de ses préoccupations et annonçait la constitution d'un Comité de Pilotage de la Conférence de la Famille, composé de 10 personnalités reconnues pour leur implication en faveur des familles.
Il chargeait alors ce comité de travailler à l’élaboration d’un plan d’action puis d’un manifeste pour la promotion des familles. Pendant plus de 3 mois, ce comité s’est réuni de manière hebdomadaire pour proposer des mesures opérationnelles et travailler sur leur mise en œuvre. Au final, ce sont 130 actions regroupées au sein de 7 objectifs qui ont été émis. Elles ont ensuite été soumises, le 7 avril 2016, à l’avis de personnes ressource, techniciens mais aussi bénévoles reconnus pour leur expérience et leur implication dans les différents domaines touchant la vie des familles afin qu'elles amendent et valident les 1ères propositions d’actions du Comité de Pilotage. Cette consultation a permis au Comité de parfaire son plan d'action, présenté au gouvernement le 27 avril dernier.
Force est de constater que la dégradation de la situation économique au cours des dernières années a conduit de très nombreuses familles à vivre en situation de précarité, voire de pauvreté extrême, à alourdir la charge de la solidarité familiale jusqu’au point de rupture. L’installation précoce en couple, l’instabilité conjugale, le développement du nombre de familles monoparentales ainsi que les recompositions familiales génèrent des défaillances dans la fonction parentale. Tous ces éléments ont engendré de nouvelles façons de vivre, une nouvelle représentation de l’autorité parentale, une nouvelle place de l’enfant dans la famille, perturbatrices de l’ordre social.
La Polynésie française doit initier une politique publique globale, forte, innovante, inscrite dans la durée. Elle doit permettre à chaque famille d’assumer ses responsabilités et de réaliser son projet de vie en lui offrant les conditions d’un environnement et de relations familiales favorables. Cette action publique ne pourra être déterminée et menée qu’avec l’ensemble des forces vives du Pays.
Les actions proposées ne sont pas toutes réalisables de suite : il incombe au gouvernement d’en organiser la programmation et la réalisation dans le temps et de se fixer des objectifs. Parmi les actions proposées, certaines sont novatrices, d’autres sont déjà expérimentées à petite échelle ; d’autres encore supposent la mise en œuvre de réformes administratives, réglementaires ou de procédures pour accroître l’efficience de ce qui existe. L’adoption de ce plan d’actions par l’Assemblée des représentants élus de la Polynésie française donnera une légitimité et une direction aux gouvernements, pour les années à venir, pour mettre en œuvre et adapter les propositions, pour allouer des moyens budgétaires ou pour les redéployer.


Semaine de l'innovation publique du 14 au 20 novembre

La Semaine de l'innovation publique, évènement national destiné à mettre en avant la modernisation de l’administration au service des citoyens et des entreprises, se déroulera du 14 au 20 novembre 2016. L’innovation publique se traduit par une administration polynésienne en mouvement, qui promeut de nouvelles pratiques et de nouvelles relations plus simples et plus efficaces, notamment par le développement de l’administration numérique.
Cette seconde édition sera l’occasion de mettre en valeur les actions innovantes mises en œuvre au sein de l’administration. Elle permettra à la fois une information du public, un échange sur la transformation du service public et un partage d’expérience entre les acteurs de l’administration. En coopération avec l’Etat et les communes, les différents partenaires porteront des évènements chaque jour de la semaine afin de constituer une « Route de l’innovation publique ».
Dans le cadre de cette « Route de l’IP », la Polynésie française organisera dans les locaux de la Présidence, le mardi 15 novembre 2016, une journée consacrée à l’innovation dans l’administration polynésienne. Cette journée sera notamment l’occasion d’inaugurer le portail numérique polynésien et pour le ministre en charge du numérique de lancer cinq nouveaux télé-services.
Cet événement permettra aux services et établissements publics du Pays de faire connaître au public ainsi qu’aux agents de l’administration les réalisations et projets innovants en termes de simplification et de dématérialisation des démarches administratives.


Agrément fiscal en faveur de l’hôtellerie internationale

Le Conseil des ministres a décidé de soutenir la relance de l’économie locale, notamment dans le secteur de l’hôtellerie internationale, par l’agrément de deux projets d’investissement ayant sollicité le dispositif de défiscalisation locale :

1/ Agrément accordé au projet présenté par la SA Société des Nouveaux Hôtels – régime des investissements indirects - secteur du tourisme – agrandissement et rénovation d’hôtel et résidence de tourisme international

Le projet porte sur des travaux de rénovation et d’extension de l’hôtel Le Méridien Bora Bora, comprenant la réalisation d’un spa, la réalisation d’un restaurant sur le motu Nord, la construction de nouvelles unités d’hébergement et l’extension des surfaces des unités existantes, la réalisation d’aménagements généraux et l’acquisition de 4 navires destinés au transport des clients de l’hôtel.

La rénovation de l’établissement permettra de répondre à la demande de la clientèle étrangère de plus en plus exigeante et au standard haut de gamme de la chaîne hôtelière.

Près de 97 emplois équivalents temps plein seront nécessaires pour la réalisation de ces travaux. La création de prestations de service complémentaires permettra de créer 10 emplois directs.

2/ Modification de l’agrément accordé au projet présenté par la SA Bora Bora Nui – régime des investissements indirects - secteur du tourisme - rénovation d’hôtel et résidence de tourisme international.

Par arrêté n°62/CM du 22 janvier 2015, le programme de rénovation hôtelière présenté par la SA Bora Bora Nui a été agréé au titre du régime des investissements indirects prévu au titre Ier de la troisième partie du code des impôts.

Suite à une modification de son projet d’investissement, la société a sollicité une modification de l’agrément qui lui a été accordé. Son projet porte désormais sur la rénovation complète des unités d’hébergement, de la réception, de la zone piscine, de la zone de restauration, des parties communes et des voiries, la création de restaurants japonais et chinois, d’un club enfants, la transformation du bâtiment « chambres » avec la création de chambres « day use », l’aménagement d’un spa et d’une salle de fitness et l’installation d’un système de vidéo à la demande. L’établissement sera transformé en profondeur pour qu’il respecte les exigences très haut de gamme fixées par le cahier des charges d’une nouvelle enseigne commerciale à terme.

Près de 150 emplois équivalents temps plein seront nécessaires pour la réalisation de ces travaux.

La rénovation de l’établissement lui permettra de retrouver un positionnement 5 étoiles correspondant aux nouvelles prestations haut de gamme qui seront proposées, d’attirer une clientèle aisée, de répondre aux exigences de la clientèle étrangère, notamment sur les marchés émergents à très fort potentiel où la notoriété est un atout majeur. Elle permettra de maintenir les 177 emplois actuels et de créer 30 emplois.


Indice des prix : baisse de 0,5% sur douze mois

En juin 2016, l'indice des prix à la consommation croît de 0,2 % et s'établit à 107,42 essentiellement en raison de la hausse saisonnière de 12,5 % des tarifs des transports aériens. Sur douze mois, l'indice général est en repli de 0,5 %. La hausse des prix des produits alimentaires atténue la baisse des prix dans les divisions transports et logement, eau, gaz électricité et autres combustibles.
L'indice ouvrier est en repli de 0,2 % en juin. Il est en repli de 0,3 % sur douze mois. Hors transport aérien international, l'indice général progresse de 1,1 % en juin. Il baisse de 0,5 % sur douze mois.


Maintien du prix des hydrocarbures au 1er août


Les cours internationaux ont enregistré des hausses lors du chargement des différents hydrocarbures. C’est ainsi que les prix de tous les hydrocarbures arrivés quai Papeete augmentent par rapport aux chargements précédents. Les augmentations s’échelonnent entre 1 et 4 % avec la plus forte variation constatée pour le pétrole de 4,55 %.

Le Conseil des ministres a, néanmoins, décidé de maintenir les prix des hydrocarbures au 1er août. Les prix d’approvisionnement en hydrocarbures sur les marchés internationaux restant très volatiles, la vigilance du gouvernement reste de rigueur.


Délibération instaurant une aide au secteur automobile : arrêté définissant les conditions d’application

En date du 8 juillet, l’Assemblée de la Polynésie française a adopté un dispositif d’aide au soutien économique du secteur automobile comportant les grandes lignes suivantes :

- aide du Pays et du concessionnaire pour l’achat d’un véhicule automobile neuf de 4 millions Fcfp ou moins, en échange d’un véhicule ancien de plus de 7 ans :
- aide dégressive en fonction de l’émission de CO2 par le véhicule neuf envisagé ;
- aide ciblée en particulier sur les véhicules électriques et hybrides ;
- instauration d’un plafond d’aide pour évincer les véhicules les plus polluants du dispositif ;
- aide du Pays et du concessionnaire pour l’achat d’un motocycle électrique neuf ;
- aide du concessionnaire qui ne peut être inférieure à l’aide de la Polynésie française.

L’arrêté pris par le Conseil des ministres définit la procédure et les conditions d’application du dispositif en étroite articulation avec les concessionnaires et les services administratifs concernés. Il pourra se concrétiser dès publication au Journal officiel de la Polynésie française du présent arrêté et s’appliquera jusqu’à épuisement de la dotation budgétaire prévue à cet effet ou, au plus tard, jusqu’à la fin de l’année 2016.


Subventions aux syndicats de salariés

En conformité avec les dispositions Lp. 2221.12 du Code du travail, toute organisation syndicale reconnue représentative au niveau du Pays, peut bénéficier d’une subvention pour son fonctionnement interne, dans la limite des crédits budgétaires ouverts après avis de la commission de contrôle budgétaire et financier de l’Assemblée de la Polynésie française (CCBF).

Pour 2016, l’enveloppe globale attribuée s’élève à 19 millions Fcfp et est répartie en fonction du nombre de sièges obtenus par chacune des organisations syndicales, au cours des élections professionnelles de 2014 et 2015, comme suit :

Sur 2 672 élus :

1. Confédération des syndicats des travailleurs de Polynésie/Force ouvrière (CSTP/FO) : 1 061 sièges, soit 39,70% des suffrages 2014/2015 ;

2. Confédération A Tia I Mua : 569 sièges, soit 21, 29% des suffrages 2014/2015 ;

3. Confédération des syndicats indépendants de Polynésie (CSIP) : 454 sièges, soit 16,99% des suffrages 2014/2015 ;

4. Confédération OTAHI : 284 sièges, soit 10,62% des suffrages 2014/2015 ;

5. Confédération O Oe To Oe Rima : 304 sièges, soit 11,37% des suffrages 2014/2015.

Pour l’heure, deux organisations syndicales ont présenté leur demande de subvention et celles-ci ont recueilli un avis favorable de la CCBF. Le Conseil des ministres a donc acté l’attribution d’une subvention en faveur des organisations syndicales concernées, à savoir la confédération O Oe To Oe Rima et la confédération des syndicats des travailleurs de Polynésie/Force ouvrière.

Enfin, il convient de noter qu’en sus de ces subventions de fonctionnement, s’ajoute également le coût des décharges d’acticités syndicales et des mises à disposition des organisations syndicales des agents de la Polynésie française, qui s’élève, pour 2016, à 112 millions Fcfp.


Modification de la loi du Pays relative aux conditions d’admission au RSPF

La ministre du Travail, des solidarités et de la condition féminine a présenté en Conseil des ministres un projet d’arrêté transmettant à l’Assemblée de la Polynésie française un projet de loi du Pays portant modification de la loi du pays n° 2015-3 du 25 février 2015 relative aux conditions d’admission au régime de solidarité (RSPF).
La loi du Pays n° 2015-3 du 25 février 2015 a pour objectif d’admettre au régime de solidarité les personnes placées dans une situation économique et sociale précaire. Néanmoins, son application depuis le 1er janvier 2016 a généré des refus d’admission :
 Pour les demandeurs privés de toutes ressources au moment du dépôt de leurs demandes ;
 Pour les salariés effectuant moins de 80 heures par mois (mais percevant plus de 87 346 Fcfp), qui, alors même qu’ils cotisent, ne peuvent bénéficier ni de la couverture maladie, ni des prestations familiales servies par le régime des salariés.
Le projet permet donc de mettre rapidement fin à ces incohérences et de restaurer l’équité sociale en permettant aux personnes relevant de ces deux types de situation de bénéficier du régime d’assurance maladie et des prestations familiales versées par le régime de solidarité.
Le présent projet de loi du Pays a également pour objet de clarifier les procédures et de rendre plus efficiente la gestion de certaines allocations (handicap et vieillesse). A cette fin, il instaure le principe selon lequel l’affiliation au RSPF est un préalable nécessaire pour bénéficier des prestations et allocations servies et financées par ce régime.


Subvention de fonctionnement pour le comité polynésien des maisons familiales rurales

La ministre du Travail, des solidarités et de la condition féminine a présenté au Conseil des ministres un projet d’arrêté approuvant l’attribution d’une subvention de fonctionnement en faveur du comité polynésien des maisons familiales rurales (CPMFR).
Fondé en 1980, le CPMFR est une association régie par la loi du 1er juillet 1901 et affiliée à l’Union des Maisons Familiales Rurales d’Education et d’Orientation.
Cette association a pour buts :
- de provoquer la création et l’ouverture de Maisons Familiales Rurales (MFR) en Polynésie française et d’assurer auprès d’elles un rôle de développement et d’animation ;
- de garantir l’authenticité des MFR en conformité avec les statuts types et les principes et méthodes définis par l’Union des Maisons Familiales Rurales d’Education et d’Orientation ;
- de représenter auprès des pouvoirs publics, de tous organismes professionnels et familiaux et plus généralement de toutes instances, les associations locales constituées par chaque MFR ;
- de rendre ou d’organiser tous services nécessaires aux MFR et à leur développement ainsi qu’au développement de l’éducation, et plus spécialement de l’éducation populaire en milieu rural, de la promotion sociale et de l’apprentissage des jeunes gens et des jeunes filles ;
- de pouvoir créer tous services communs utiles aux MFR.
Le CPMFR bénéficie, depuis sa création, du soutien de la Polynésie française au travers d’une subvention de fonctionnement qui lui permet de couvrir ses charges ainsi que celles relatives aux frais de transport et d’hébergement des élèves orientés en MFR. Cette subvention lui permet, entre autres, de garantir la mise en place de classes de soutien (remise à niveau) dans les structures de formations.

Constituées en association, les MFR comptent huit structures de formations réparties sur l’ensemble de la Polynésie française et préparent les élèves au diplôme national du brevet (DNB) et au Certificat d’Aptitude Professionnel Agricole (CAPA). En 2015, le taux de réussite aux examens pour les candidats des MFR au Diplôme National du Brevet a été relativement peu élevé, mais au Certificat d’Aptitude professionnelle, toutes spécialités confondues, le taux de réussite a été de 74,5%.


Opération sociale Terre Eugénie à Papara : phase d’études pour des viabilisations de parcelles

Le Pays s’est porté acquéreur, le 26 novembre dernier, de plusieurs parcelles de terre, dans la commune de Papara, représentant une superficie totale de plus de 71 000 m2. Ces parcelles présentant un fort potentiel de développement notamment en matière d’habitat social, l’Office Polynésien de l’Habitat (OPH) s’est vu affecter par un arrêté du ministère du Logement l’emprise foncière de la terre Eugénie afin de réaliser les premières études de viabilisation et d’aménagement.
L’OPH prévoit ainsi de réaliser les études nécessaires à un projet d’aménagement d’ensemble où se cotoyeraient une cinquantaine de parcelles individualisées et des aménagements divers à vocation agricole, économique et sportive. Ces parcelles permettront en outre le relogement de familles qui occupaient le site de Tahiti Mahana Beach et de Princesse Heiata. Le financement des études, d’un montant de 18,5 millions Fcfp, sera assuré à 100% par le Pays.


Sport scolaire : soutien à l’USSP et à l’USEP

Le Conseil des ministres a examiné une demande de subvention de fonctionnement de 15,5 millions Fcfp de l’Union du sport polynésien (USSP) pour le financement de son activité générale pour l’année 2016. Créée en 1962, l’association Union du sport scolaire polynésien a pour objet de fédérer les associations sportives publiques ou privées des établissements d’enseignement du second degré de Polynésie française, en prolongement des objectifs généraux de l’éducation physique et sportive dispensée pendant les heures scolaires obligatoires. Elle a également pour mission d’assurer et de favoriser l’organisation des rencontres sportives internationales et des championnats de districts ou encore inter-archipels, tout au long de l’année scolaire.
Le Conseil des ministres a aussi examiné une demande de subvention de fonctionnement de 17,2 millions Fcfp de l’Union sportive de l’enseignement du premier degré (USEP) pour le financement d’une action intitulée « classes de mer et classes de découvertes des écoles publiques du 1er degré » pour l’année 2016.

Créée également en 1962, l’Union sportive de l’enseignement du premier degré (USEP) a notamment pour objet de promouvoir, organiser et contrôler toute activité physique et sportive comme moyen d’éducation et de culture, d’intégration et de participation à la vie sociale, dans le but de préparer les enfants à devenir des adultes sportifs et des citoyens, ou encore de favoriser les liaisons de l’école publique avec les administrations, les collectivités locales et le monde sportif et contribuer ainsi à son rayonnement.

Le comité USEP de Polynésie française est membre de la Confédération du sport scolaire et universitaire (CSSU) de Polynésie française. Il est représenté au sein du comité olympique de Polynésie française dans le collège des scolaires et regroupe 85 associations sportives scolaires, réparties dans toute la Polynésie, avec 14 805 licenciés dont 491 adultes.


Soutien au Salon du livre « Lire en Polynésie 2016 »

Le Conseil des ministres s’est prononcé en faveur d’une subvention complémentaire de fonctionnement d’un montant de 500 000 Fcfp à l’AETI (Association des Editeurs de Tahiti et des Iles) afin de financer le salon du livre « Lire en Polynésie 2016 ». Une première subvention, d’un montant plus élevé, avait déjà été attribuée précédemment.

Créée en 2001, l’Association des Editeurs de Tahiti et des Iles (AETI) a pour mission de promouvoir, développer et défendre les droits et libertés de l’édition et des éditeurs de Polynésie française. Le salon du livre « lire en Polynésie », organisé par l’AETI, est non seulement un évènement culturel régional important rassemblant tous les acteurs du monde du livre mais il est aussi une opportunité remarquable permettant de sensibiliser la jeunesse à l’écrit et à la lecture.


Stationnement de véhicules électriques dans les parkings des gares maritimes

Le Conseil des ministres a examiné un dossier relatif au stationnement des véhicules dans les parkings des gares maritimes du Port autonome de Papeete. Avec la mise sur le marché d’un nombre croissant de véhicules électriques, le Port Autonome a en effet été saisi d’une demande d’installation d’équipements photovoltaïques permettant de charger les batteries des dits véhicules dans les parkings des gares maritimes de Papeete et de Vaiare. Or, aucun tarif n’existait jusqu’à présent pour ce type d’occupation.

Par conséquent, le conseil d'administration du Port autonome a décidé de fixer ce tarif à 20 000 Fcfp hors taxes par mois et par place de parking, étant précisé que le tarif comprend l’emprise de l’installation photovoltaïque et la place de stationnement y associée.


Réglementation de la navigation durant la Billabong Pro Tahiti

En vue de la préparation de la compétition annuelle de surf Billabong Pro 2016 programmée à Teahupoo du 13 au 30 août prochains, le Conseil des ministres a validé le dispositif sécuritaire relatif au plan d’eau de la compétition. Avec notamment des règles temporaires de limitation d’activités et de vitesse dans des zones déterminées et balisées par l’organisateur, ce dispositif sécuritaire doit permettre d’éviter les risques d’incidents et d’accidents durant le déroulement de cet événement et de faciliter, le cas échéant, les opérations de secours.

L’emploi salarié marchand est en hausse en mai 2016  20/07/2016

L’emploi salarié marchand est en hausse en mai 2016
PAPEETE, le 20/07/2016 - En mai, l’emploi progresse dans la construction et le commerce.

Il est stable dans l'industrie et les autres services alors qu'il diminue dans l'hôtellerie - restauration.

Sur les douze derniers mois, l'indice de l'emploi progresse de 1,1 % alors que la variation moyenne annuelle observée de 2011 à 2015 est de - 1,1 %.

Vol Air Tahiti Nui TN07: le retard sera plus important  18/07/2016

Vol Air Tahiti Nui TN07: le retard sera plus important
Papeete, le lundi 18 juillet 2016 – Nouveau retard du vol TN07 Paris - Papeete du lundi 18 juillet.

Air Tahiti Nui informe ses clients d’un retard plus important du vol TN07 Paris - Los Angeles – Papeete de ce lundi 18 juillet.

Ce vol originellement reprogrammé pour une arrivée sur Tahiti cette nuit à 02h00 arrivera finalement avec au moins deux heures supplémentaires de retard.

L’horaire définitif ne pouvant pour l’instant pas être confirmé, nous invitions le public à contacter l'Aéroport de Tahiti au 40 86 60 61 à partir de 20h00 ce soir afin de connaitre l’horaire précis d’arrivée du vol.

Air Tahiti Nui adresse ses plus sincères excuses pour les désagréments causés par ce retard.

Communiqué de Air Tahiti Nui

Retard du vol TN07 Paris - Papeete de ce lundi 18 juillet  18/07/2016

Retard du vol TN07 Paris - Papeete de ce lundi 18 juillet
PAPEETE, le 18/07/2016 - (Communiqué ATN) Air Tahiti Nui informe ses clients du retard du vol TN07 Paris - Los Angeles - Papeete.

Originellement prévu au départ de Paris ce lundi 18 juillet à 11h30, le vol est finalement parti à 16 heures le même jour. Son arrivée sur Los Angeles se fera à 18h50 heure locale d’où il repartira à 20h40. Son arrivée à Papeete est prévue à 2 heures ce mardi 19 juillet.

Le retard de ce vol est dû à l’arrivée tardive sur Paris du vol précédent TN08 Papeete - Paris qui a effectué une escale imprévue sur l’aéroport de Winnipeg au Canada, un passager ayant nécessité une évacuation d’urgence pour raison médicale.

Air Tahiti Nui adresse ses plus sincères excuses pour les désagréments causés par ce retard et invite ses clients à consulter son site internet www.airtahitinui.pf ou à contacter l'Aéroport de Tahiti au 40 86 60 61 pour toute information sur ses horaires.

L'inhumation d'Alphonse Vanfau se tiendra ce mercredi  11/07/2016

L'inhumation d'Alphonse Vanfau se tiendra ce mercredi
PAPEETE, le 11/07/2016 – La maladie l'a emporté le mois dernier, à l'âge de 74 ans. Aujourd'hui, la famille du célèbre producteur polynésien Alphonse Vanfau informe que sa dépouille arrivera ce soir au fenua.

Le corps sera exposé à l’Église Jean Bosco à Pirae demain mardi 12 juillet à partir de 10 heures, et la veillée aura lieu à 18 heures.

Alphonse Vanfau, grand musicien et promoteur de la musique polynésienne est décédé le 28 juin dernier, en Nouvelle-Zélande, des suites d'une longue maladie.

L’inhumation se fera mercredi 13 juillet à 13 heures au cimetière chinois.


Mahina : les services municipaux seront fermés mercredi  11/07/2016

Mahina : les services municipaux seront fermés mercredi
MAHINA, le 11/07/2016 - Dans un communiqué, le maire de Mahina informe ses usagers que les services municipaux seront fermés ce mercredi, dans le cadre d'une journée de cohésion inter-services.

En revanche, les services de la police municipale et des sapeurs-pompiers seront toujours disponibles.

Pour toutes urgences, vous pourrez joindre les numéros suivants :

Sapeurs-pompiers : 40 45 18 18 ou le 18
Police municipale : 40 50 27 27
Gendarmerie : 17
État civil : 89 30 73 44
Régie eau : 89 71 81 12

Service de l'urbanisme : Philippe Couraud devra réintégrer son poste  06/07/2016

La cour administrative d'appel de Paris a décidé fin juin que Philippe Couraud devait réintégrer son poste de chef du service de l'urbanisme, ont annoncé mercredi nos confrères de La Dépêche. Il avait occupé ce poste de 2010 à 2013 mais avait perdu ses fonctions en juillet 2013. Le président du Pays, alors Gaston Flosse, l'avait démis de ce poste en arguant d'une "perte de confiance" après les élections territoriales. Mais selon la justice cet argument ne s'appuie sur "aucun élément objectif". L'arrêté a été annulé par la cour administrative d'appel et demande que Philippe Couraud soit réintégré à son poste dans un délai "d'un mois".

ATN annonce un retard sur le vol Papeete-Los Angeles de ce vendredi soir  01/07/2016

Papeete, le vendredi 1er juillet 2016 – Retard du vol TN502 Tahiti - Los Angeles du vendredi 1er juillet pour raison technique :

Air Tahiti Nui informe ses passagers que le vol TN502 Papeete - Los Angeles originellement prévu au départ de Papeete le vendredi 1er juillet à 23h00 est retardé.

Ce vol est reprogrammé pour le dimanche 3 juillet à 00h30 (dans la nuit de Samedi à Dimanche) sous le même numéro de vol pour une arrivée à Los Angeles le dimanche 03 juillet à 11h45, heure locale.

Le reste du programme est inchangé.

Air Tahiti Nui adresse ses plus sincères excuses pour les désagréments causés par ce retard et invite ses clients à consulter son site internet www.airtahitinui.pf ou à contacter l'Aéroport de Tahiti au 40 86 60 61 pour toute

Coupure d'eau à Faa'a  30/06/2016

FAAA, le 30 juin 2016 - Les agents du service Eau et assainissement de la ville de Faa'a effectuent en ce moment des réparations d'urgence sur le réseau du quartier Aubry.
Pour cette raison, la distribution en eau est suspendue à l'heure actuelle et sera rétablie dès que possible.
Pour tout renseignement, contacter le service Eau et assainissement au : 40 83 35 33.

Papeete : Fermeture du terrain de beach soccer jusqu'au 31 juillet 2016  30/06/2016

Papeete : Fermeture du terrain de beach soccer jusqu'au 31 juillet 2016
PAPEETE, le 30 juin 2016. (COMMUNIQUE) Le terrain de beach soccer est par ailleurs actuellement fermé, jusqu'au 31 juillet, pour sa remise en état. Réouverture le lundi 1er août 2016.


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