Défense des Lycées professionnels: Le Snetaa FO lance un appel 11/02/2012
Le syndicat Snetaa FO appelle les familles, les jeunes et les politiques à défendre les lycées professionnels
Lire l'appel du Snetaa FO ICI Moorea reçoit l'ambassadeur européen Abdoul Aziz M'baye 11/02/2012
Communiqué de la commune de Moorea Maiao:
Plan de développement communal de Moorea : l’ambassadeur européen impressionné La commune de Moorea-Maiao a reçu, mercredi 8 février 2012, la visite de l’ambassadeur européen Abdoul Aziz M’Baye venu constater sur place le bon déroulement de la mise en fonction de la station d’épuration des eaux à Nuuroa financée en partie par le Fed. Occasion également de faire découvrir l’importance de la politique d’investissement de Moorea. Le maire Raymond Van Bastolaer, les élus et le cadres techniques de la commune ont accueilli la délégation européenne emmenée par l’ambassadeur, qui comptait également dans ses rangs une personnalité bien connue désormais de Moorea, le représentant du Fed M. Ortiz de Zuñiga. Le ministre de l’environnement, Jacky Bryant, a également fait le déplacement. Après un dépôt de fleurs à stèle commémorative de l’accident d’avion qui avait coûté la vie à des fonctionnaires et techniciens européens travaillant sur la station de traitement des eaux de Nuuroa en août 2007, une séance de travail réunissait tout le monde à la mairie annexe de Teavaro. Le maire faisait un tour d’horizon général de la politique de développement communal depuis 2008, puis les cadres présentaient l’état des travaux et chantiers d’équipement avant d’aller jusqu’à Nuuroa examiner le bon fonctionnement de la station. Dans son allocution le maire traçait le portrait d’une commune en pleine croissance démographique (près de 20 000 résidents, 35 000 en week-end) face à des défis de l’avenir (50 000 habitants à l’horizon 2040) et devant des contraintes structurelles incontournables (taille et relief de la commune, distances, éloignement de Maiao…). Le maire précisait la démarche communale depuis 2008 : « Nous faisons face à la rénovation du réseau hydraulique et la potabilisation (3 milliards de francs Pacifique), à la rénovation et la reconstruction de nos cinq écoles communales (2 milliards de francs Pacifique), à la mise en fonction de la station de traitement des eaux usées à Haapiti (dont le Fonds européen de développement permet par son cours le raccordement de nombreux usagers), aux transports publics communaux sûrs et réguliers, au bétonnage du réseau routier des servitudes dans les vallées (2 milliards), aux cimetières communaux pour accueillir décemment tous nos défunts (600 millions), à la collecte et au traitement des déchets ménagers dans un centre d’enfouissement technique adapté implanté à Moorea, à l’édification d’un chenil et la mise en place d’un service de fourrière, au soutien au tourisme (première activité sociale et économique de Moorea) et aux activités sociales et agricoles. Tout cela doit s’inscrire dans une politique de qualité environnementale préservée, car si nous voulons agir dans le respect de la dignité de l’homme et pour le bien commun, nous ne pouvons pas nous exonérer de la dimension environnementale qui conditionne qualité de notre développement social et économique. » Il devait également relever la difficulté du financement son ambitieux programme : « Le gouvernement central de l’État affiche un partenariat technique bien venu mais peu financier, la fiscalité du Pays est au plus bas et la fiscalité communale en subit les conséquences au niveau des dotations du Fonds intercommunal de péréquation. Moorea-Maiao s’est tournée vers l’amélioration de ses recettes propres : les redevances et les taxes. Celles-ci ne peuvent cependant porter que sur 6 000 ménages, à peine 2 000 micro entreprises et une poignée d’hôtels de luxe. Pour relever tous ces défis et mener à bien la politique d’équipements structurels et de développement communal, le concours de l’Europe via le Pays se révèle bien utile encore que limité par le fait que la Polynésie est un PTOM, qu’elle n’est pas dans l’espace SEPA et que sa monnaie n’est pas l’euro mais le franc Pacifique émis par l’IEOM. Cette différence institutionnelle – qui respecte notre forte identité polynésienne – écarte certains accès à des fonds de concours européens dont les départements et quelques autres collectivités d’outre-mer bénéficient. Fonds dont la commune aurait bien l’usage pour finir les raccordements au réseau des eaux usées actuellement en cours de réalisation, et pour pouvoir raccorder dans l’avenir les usagers au futur réseau. » Et le maire concluait par cette invitation à l’ambassadeur : « Aussi, Monsieur l’ambassadeur, permettez-moi en toute simplicité de vous solliciter en retour vers Bruxelles et Strasbourg afin que les institutions européennes, puissent être instruites par votre soin des efforts de Moorea-Maiao pour construire durablement son avenir, et qu’elles soient attentives aux demandes futures de ce bout – petit bout – original d’Europe que nous sommes. » M. M’Baye se montra impressionné du plan de développement de la commune, de sa cohérence, de son importance. Il encouragea le maire et les élus à poursuivre dans cette voie en indiquant que, sur le plan des financements, l’Europe disposait de moyens qui pouvaient être sollicités, notamment la Banque européenne d’investissement (BEI) et qu’il ne fallait pas hésiter à présenter des dossiers. Ce message a été bien entendu et la commune prendra en compte ses informations pour approfondir le montage des dossiers des investissements à réaliser pour le bien être des habitants de Moorea et de Maiao. Décolonisation:Le Tavini réagit au jugement du tribual 09/02/2012
le tavini Huiraatira a transmis un communiqué à la presse suite à la décision du tribunal administratif de maintenir le vote de l'APF:
Communiqué: "Réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays à décoloniser Le tribunal administratif rejette les recours autonomistes Le président du tribunal administratif a rejeté les demandes des 3 groupes autonomistes. Ils demandaient l’annulation du vote de l’APf sur la réinscription de notre pays sur la liste des pays à décoloniser. Ils dénonçaient le fait que la majorité empiétait sur une compétence de l’État. Dans son rapport, le président M. Leplat considère que cette demande adressée au Président de la République et au Secrétaire Général des Nations Unies présente un caractère de vœux qui « ne constitue pas un acte faisant grief et n’est donc pas susceptible de faire l’objet d’un recours devant le juge de l’excès de pouvoir ». Il précise encore « même s’ils invoquent les vices propres, tenant aux atteintes qui auraient été portées à leurs prérogatives de représentants ». Fin de film. La plainte était déposée par MM. Gaston Tong Sang, René Temeharo et Jean Christophe Bouissou. La semaine passée, le Tavini Huiraatira rappelait un précédent qui confortait ses attentes. En 2005, le Tahoera Huiraatira d’une part et le haut commissaire de l’autre, contestaient la création de la commission d’enquête sur les conséquences des essais nucléaires. Ils invoquaient le fait que le pays empiétait sur une compétence de l’État. Le TA n’a pas suivi et avait estimé que les Polynésiens avaient le droit de connaître la vérité sur les conséquences de ces 30 années d’expériences dangereuses. En ce qui concerne le différent actuel, le Tavini Huiraatira avait rappelé dans sa communication du 1er février que la Constitution française comme l’ONU reconnaissent le droit des peuples sous tutelle à revendiquer leur indépendance. Il citait l’exemple du FLNKS qui a obtenu la réinscription de la Nouvelle Calédonie sur la liste des pays à décoloniser en 1897 contre le refus de la France et de la majorité des Calédoniens." Car : 1925 Compte-rendu du conseil des ministres du 8 février 09/02/2012
Le gouvernement de Polynésie française s’est réuni en conseil des ministres, sous la conduite du vice-président, Monsieur Antony GEROS, à Taraho’i, mercredi 08 février 2012, de 9h00 à 12h00.
Vous trouverez ICI le compte -rendu de ce conseil Les neuf enfants ont pu être intégrés, le Village d'enfants SOS remercie ses donateurs 09/02/2012
Les enfants du Village d’Enfants SOS de Polynésie, son personnel et les membres de son Conseil d’Administration remercient nos Marraines et Parrains, l’ensemble des généreux donateurs, les médias (presse écrite, télévisée, radio) et le Territoire pour leur soutien et leurs contributions au moment ou nous en avions le plus besoin.
Grâce à vous tous, nous pouvons envisager l’avenir sous de meilleurs hospices. Ainsi nous avons pu donner notre accord pour l’admission au sein de notre établissement, le Village de Papara, des neuf enfants qui étaient en attente d’une prise en charge adaptée à leur difficile situation. A nouveau, recevez nos plus chaleureux remerciements et nos vœux les plus chers pour cette nouvelle année. Bonne et heureuse année. Merci Ia orana i te matahiti api. Maruru Kung Hi Fat Choy. Le Président "Salon du coeur"- Du 09 au 14 février à la mairie de Pirae 09/02/2012
la mairie de Pirae accueillera du 09 au 14 février 2012 une exposition artisanale intitulée « salon du cœur ». A l’initiative d’un collectif d’artisans de Pirae, cette exposition est organisée dans le cadre de la Saint Valentin.
Venez découvrir nombreux les « talents » de Pirae et trouver le présent qu’il vous faut pour le plaisir d’offrir. En cette période économique difficile, sachons-nous montrer solidaires entre administrés de Pirae. Nicole Bouteau dans les Tuamotu 09/02/2012
Nicole BOUTEAU se rend dans l’archipel des Tuamotu accompagnée d’une délégation de No Oe E Te Nunaa dès la fin de cette semaine pour des réunions publiques ouvertes à tous :
- vendredi 27/01/12, déplacement sur Tikehau, rendez-vous à 18h30 à la mairie de Tikehau - samedi 28/01/12, déplacement sur Rangiroa, rendez-vous à 18h30 à la mairie d’Avatoru - dimanche 29/01/12, déplacement sur Rangiroa, rendez-vous à 18h30 à la mairie annexe de Tiputa La lettre des employeurs (Medef): Médecins/CPS : arrêtons l’hypocrisie, arrêtons de faire l’autruche. 08/02/2012
L’affaire qui oppose le syndicat des médecins et la Caisse de prévoyance sociale (CPS) ne doit pas occulter le vrai défit qui se pose à la population de la Polynésie française.
En effet, notre système de protection sociale périclite depuis de nombreuses années. La Protection sociale généralisée (PSG) est face à un défi que les plus lucides et les plus courageux se doivent de relever. Concernant la branche maladie, les difficultés sont bien connues et identifiées, les remèdes à appliquer aussi. La branche maladie affiche des chiffres inquiétants. La couverture maladie représente la moitié des dépenses globales de la PSG soit 52 milliards sur les 110 milliards du budget de la PSG dont 26 milliards, soit 50% des dépenses, sont consacrés à la prise en charge des soins de 32.000 personnes en longue maladie. De plus, il est maintenant connu que l’on rentre en longue maladie à partir de 50 ans en moyenne. L’incidence du vieillissement progressif de la population, l’aggravation attendue des affections de longue durée et le fait qu’il faille s’attendre à une augmentation de la population polynésienne qui comptait 260.000 personnes au recensement de 2007 et qui, selon les projections démographiques, serait estimée à 320.000 habitants en 2027, auront des conséquences sur le financement de la PSG. Maintenant que tout le monde sait, faut-il continuer à faire l’autruche ? Le MEDEF affiche sa ferme volonté de réformer le système car l’équilibre financier des régimes de protections sociales ne saurait être obtenu que par l’accroissement continu des cotisations sociales ou de la part laissée à la charge des malades. Celles-ci doivent rester en adéquation avec la réalité des richesses produites. Cela passe aussi nécessairement par la maîtrise des dépenses. Chacun doit assumer ses responsabilités pour assurer la pérennisation du nouveau système à mettre en œuvre : patients et contribuables, prescripteurs publics et privés et surtout Pays, qui doit mener la réforme en prenant en compte les errements du passé. Le syndicat des médecins libéraux de Polynésie française (SMLPF) ne peut s’affranchir de l’effort demandé à tous. Au moment où le financement de notre protection sociale devient problématique, que les entreprises et les salariés, qui rappelons le, financent déjà cette protection sociale à hauteur de 73%, sont dans une situation financière très difficile et inédite, le syndicat des médecins ne peut exiger le maintien du chiffres d’affaires de ses ressortissants. N’oublions pas que cette profession n’est pas soumise aux dures lois du marché et de la concurrence, que chaque facture émise par les médecins est remboursée automatiquement par la CPS qui intervient comme guichet payant. Il est impératif de mettre en adéquation les dépenses avec les recettes et que des discussions permettent de trouver un juste milieu. Quant à ceux qui stigmatisent systématiquement la CPS, ils pratiquent la politique de l’autruche en désignant un bouc émissaire. Rappelons seulement que la CPS n’est que l’organisme gestionnaire, certes perfectible dans son organisation et dans son fonctionnement, des différents régimes qui lui sont confiés (RGS, RNS, RSPF) et à ce titre, elle mérite plus de considération car les soins sont remboursés en temps et en heure, les retraites sont payées en temps et en heure et les cotisations recouvrées. Luc TAPETA-SERVONNAT Président du MEDEF PF Journée d'adoption de chiens et chats abandonnés 07/02/2012
« L’association Ia Maita’i Te Animara organise sa matinée d’adoption de chiens et de chats abandonnés le samedi 18 février de 8h à 12h dans les jardins de la mairie de Punaauia. Tous les animaux présentés sont sociables et en bonne santé, les femelles adultes (chiennes et chattes) sont stérilisées. Les chiots sont sevrés et vaccinés. Matinée réservée aux animaux de l'association. Pour tout renseignement : tél :79 58 58 (répondeur : laisser message pour être rappelé), courriel : [email protected] site Web : www.imta.pf
Le Tavini adresse un communiqué à Madame Marie-Luce Penchard 06/02/2012
La Tavini Huiraatira a fait parvenir un communiqué pour répondre à l'intervention de Madame Marie Luce Penchard: Lire le communiqué du Tavini
Tevai Uta: Compétition de Va'a interclasses 06/02/2012
Une journée de compétition de Va’a interclasses de Teva I Uta organisée par Rony EBB, élève stagiaire de l’IJSPF, sous le patronage de l’éducation et de la Commune de Teva I Uta, sera organisée le jeudi 09 février 2012 à Mataiea, pointe de Tehoro.
Vous trouverez ci-joint, le dossier relatif à cet évènement. Pour tout complément d’information, M. Alain CORDIOLI se tient à votre disposition au 78 97 57. Course-poursuite à Taravao: un jeune tente d'échapper à la gendarmerie 06/02/2012
Un conducteur de 27 ans a tenté d'échapper à un contrôle de gendarmerie, dans la nuit de vendredi à samedi. Alors qu'une patrouille de gendarmerie lui fait signe de s'arrêter, au PK 20 à Paea, le jeune homme prend la fuite. Il a trois passagers de 15, 19 et 20 ans à son bord.
La gendarmerie le course pendant 4 kilomètres. Finalement le chauffard s'arrêtera de lui-même sur un parking au PK 24. Le contrôle d'alcoolémie s'est revélé positif. En outre le véhicule n'était pas assuré. Nuit du court-métrage océanien ce soir pour le lancement du 9è FIFO 06/02/2012
La nuit du court MétrAge océAnien débutera ce Lundi 6 février à 19h.
Invitations à demander au bureau FIFO en appelant le 544 544 Compte-rendu du conseil municipal de la commune de Moorea-Maiao 03/02/2012
Les élus de Moorea-Maiao se sont réunis jeudi 2 février 2012 pour le premier conseil municipal de la nouvelle année. L’ordre du jour était chargé de 22 délibérations assez techniques. À l’issue de la réunion, les élus ont célébré la journée mondiale Ramsar.
Le maire Raymond Van Bastolaer ouvrait à 9 heures ce premier conseil, à la mairie annexe de Teavaro qui devait mobiliser les élus et le personnel communal toute la journée. La diversité des délibérations témoigne des initiatives nombreuses de la commune pour poursuivre ses actions d’organisation de son développement. Parmi les textes les plus significatifs soumis à l’examen des élus, on peut retenir en premier lieu la délibération approuvant le principe de la mise en place d’un service de transport public. Il s’agit pour la commune d’organiser le transport des personnes dans le cadre de ses compétences issues de la loi organique statutaire et du Code général des collectivités publiques. En attendant de mettre en fonction une délégation de service public, la commune a lancé un appel d’offres pour les prestataires de services pour assurer provisoirement ce transport. Une entreprise a répondu et proposé un plan que le conseil municipal a accepté. Cette compagnie assure déjà le transport scolaire et aligne suffisamment de véhicules pour répondre à la demande actuelle du public dans des conditions jugées globalement satisfaisantes. La commune va donc conclure une convention avec cette société pendant tout le temps nécessaire à la mise en place de la délégation de service public, soit environ un an. C’est la première fois qu’une commune polynésienne prend ainsi en main l’organisation du transport de personnes. Pour le reste des autres délibérations, il était essentiellement question de « nettoyer » les écritures comptables des marchés publics en annulant des lignes qui n’avaient plus de raison d’être. Délibérations de pure forme mais nécessaires pour le bon ordre des comptes. Ramsar : un label pour Moorea Tous les 2 février, c’est la journée mondiale des zones humides classées d’intérêt international sous le label Ramsar, du nom de cette cité iranienne où la convention a été élaborée. Moorea a reçu la distinction Ramsar fin 2008 pour la qualité environnementale et l’intérêt de ses récifs, lacs et marais (Temae). Ce label place l’île dans un réseau international ce qui ne peut qu’être bénéfique sur le plan touristique outre celui de la santé et de la préservation de la biodiversité. (voir aussi www.mooreamaiao.com) 3 classes de CM2 en visite au CESC 03/02/2012
Dans le cadre de la découverte des institutions du Pays, pas moins de 66 élèves de l'école primaire Tuterai Tane à Pirae ont visité hier le Conseil économique, social et culturel.
Sous la conduite des enseignants et de quelques parents accompagnateurs, les jeunes élèves de CM2 ont été accueillis à leur arrivée par le Président Jean TAMA qui leur a souhaité la bienvenue. Il n'a pas manqué de leur adresser un message d'encouragement à bien travailler à l'école et à poursuivre leurs études pour devenir les acteurs de la société civile de demain. Le Président TAMA leur a souhaité une bonne année scolaire Confortablement installés dans l'hémicycle, ils ont pu prendre connaissance, à travers deux diaporamas, de l'histoire du bâtiment qui abrite le siège de l'institution, ainsi que de son fonctionnement et du rôle qui lui incombe dans le cadre du processus législatif des "lois du pays". Leur perception des prérogatives de l'institution a pu être appréciée à travers un exercice plus ludique sous forme d'un quizz fort apprécié par les jeunes élèves. Cette visite pédagogique s'inscrit également dans le cadre de la prochaine tenue de l'Assemblée des représentants juniors de Polynésie française en avril prochain. Dès l'année 2010, le CESC avait adhéré à ce dispositif en leur faisant vivre une élection grandeur nature. Cet exercice visait à illustrer la pratique de la démocratie au sein d'une assemblée. Les enfants ont poursuivi leur périple éducatif par la visite de l'Assemblée de la Polynésie française, troisième institution du Pays. L'université accueille des membres de l'Assemblée de PF 03/02/2012
L'UPF a reçu vendredi 3 février la visite du président de l’assemblée de la Polynésie française et des membres de la Commission de l'éducation et de la recherche de l'assemblée.
Cette rencontre amicale a été l’occasion pour l’équipe de direction de l’Université de la Polynésie française de présenter ses objectifs stratégiques et sa politique dans le cadre du nouveau contrat quinquennal, en cours de finalisation avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, et d’exposer aux représentants de l’APF les changements qui attendent l’Université lors du passage aux Responsabilités et Compétences Elargies, le 1er janvier 2013. Ce fut également le lieu de la réaffirmation pour les deux institutions de leur volonté de travailler ensemble pour la réussite de la jeunesse du Fenua. Conférence – Débat sur le thème : « Introduction au marché australien » à la CCISM 03/02/2012
« Introduction au marché australien »
Connaissez – vous l’Australie et le potentiel d’exportations et d’importations que ce pays représente ? La Chambre de Commerce, d’Industrie, des Services et des Métiers, dans le cadre de ses actions à l’international, a le plaisir de vous convier à: le Mardi 7 Février à 15h30 dans l’Auditorium de la CCISM, situé au rez-de-chaussée de l’Ecole de Commerce de Tahiti (ECT) - Pôle Formation de la CCISM Cette conférence sera animée par M. Tepuanui SNOW Consultant, qui fera une présentation générale de l’Australie dans ses relations commerciales avec la Polynésie Française. Nous aurons également le plaisir d’accueillir à cette occasion Mme Tamara SOMERS, Consule Générale Adjointe d’Australie. Pour toute information complémentaire et pour confirmer votre présence, Mr John TEHURITAUA, responsable cellule internationale de la CCISM, se tient à votre disposition au 47 27 67 ou par Email à [email protected] Veuillez agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos salutations distinguées. La CRIIRAD réalisera une étude sur les coraux aux Gambier en juin 02/02/2012
La commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD) va réaliser en juin prochain une étude sur les coraux des Gambier. "A ma connaissance, c'est la première étude de ce type qui sera menée en Polynésie" a expliqué jeudi matin Bruno Barillot, de l'association Moruroa e tatou. Les échantillons seront prélevés en juin, puis étudiés en laboratoire. Les résultats devraient être connus au premier semestre 2013.
Soirée rencontre avec les proviseurs des Lycées : Quelle orientation après la classe de Troisième ? 02/02/2012
Une rencontre avec les équipes de direction des lycées est organisée pour les parents d’élèves et les élèves des classes de troisième des collèges TAAONE et TIARAMA le
MARDI 7 FEVRIER à 16 heures, au réfectoire A 16 heures, Madame CAPRON, conseillère d’Orientation Psychologue au CIO de Tahiti présentera les phases de l’orientation en Troisième et les conditions de l’affectation à l’issue de la phase d’orientation Vous pourrez assister ensuite aux présentations des sections des - Lycée Agricole de Moorea 16 H 30 - Lycée Professionnel de Mahina 16 H 45 - Lycée AORAI 17 H 00 - Lycée TAAONE 17 H 15 par les représentants des équipes de direction. Comptant sur votre présence. Le Principal, Guillaume FROESCHEL Réinscription: le Tavini réagit aux recommandations du rapporteur du tribunal Administratif 01/02/2012
Le Tavini Huiraatira a réagit dans un communiqué transmis à la presse à la décision portée par le rapporteur public lors de la séance du Tribunal administratif consacrée d'annuler la résolution demandant la réinscription de la PF sur la liste des pays à décoloniser
l « Décolonisation : le rapporteur du TA hors sujet Voir l’exemple de la Kanaky Le rapporteur public du tribunal administratif estime que l’assemblée s’est immiscée dans une compé-tence de l’État, les affaires étrangères, en demandant le 18 août 2011 la réinscription de la Polynésie française sur la liste des pays non autonomes de l’ONU. Un précédent existe qui mérite d’être rappelé pour la cohérence des avis de la juridiction administrative. En 2005, le Tahoeraa Huiraatira d’une part, et le haut commissaire de l’autre, avaient saisi le TA pour faire annuler le vote de l’assemblée concernant la création d’une commission d’enquête sur les conséquences des essais nucléaires. Le motif était le même : menés sous la responsabilité de la défense, compétence de l’état, le sujet devenait tabu pour les élus Polynésiens ! Le tribunal administratif n’a pas suivi, il a estimé que les Polynésiens avaient le droit de connaître la vérité sur les conséquences de ces expériences dangereuses et a débouté les plaignants. On peut comprendre la position du représentant de l’État, mais celle du Tahoeraaa Huiraatira laisse perplexe quant à sa conception du devoir de vérité et du service à son propre peuple. Concernant le vote du 18 août 2011, que l’opposition utilise les tribunaux pour son combat politique est compréhensible. Que le tribunal administratif estime qu’une résolution de l’APF soit sans effet juridique, pourquoi pas ? Mais que ce tribunal en vienne à nier un droit reconnu par la Constitution et à méconnaître les pratiques et le droit des Nations unies pose question. Le rapporteur se situerait ainsi dans le droit fil des déclarations du président de la République qui veut établir une « ligne rouge ». Les décisions du Conseil constitutionnel ont toujours été claires : depuis ce qu’on appelle la doctrine Capitant en 1967, l’article 53 de la Constitution permet à une collectivité d’outre-mer de demander l’indépendance et a fortiori la décolonisation. Bien sûr le consentement des populations concernées est obtenu lors d’un vote à l’issue du processus. Mais avant et bien avant l’indépendance, un peuple qui estime entrer dans la catégorie des territoires visés à l’article 73 de la Charte de l’ONU peut entreprendre des démarches auprès de l’ONU, même s’il est minoritaire dans la collectivité institutionnelle à laquelle il appartient. Ainsi, le FLNKS a obtenu la réinscription de la Nouvelle-Calédonie en décembre 1987, avec l’appui du Forum et contre l’avis de la majorité et contre l’avis de la France. Les Nations Unies qui devront juger de la validité de la demande du Pays n’auront même pas à prendre en compte la décision du Tribunal qui devrait, nous l’espérons, se monter plus sage que son rapporteur. Le rapporteur aurait donc fait davantage œuvre « politique » que juridique et nous ramènerait à la pire époque du colonialisme. Mais il est vrai que sous l’actuelle présidence de la République, la Justice a subi bien des assauts inquiétants. » |
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