Tahiti, le 8 octobre 2024 - La troupe Te Pou o Mangatāwhiri de Nouvelle-Zélande a séjourné moins d’une semaine en Polynésie. Elle a terminé son voyage au conservatoire artistique de la Polynésie française (CAPF) pour rencontrer élèves et professeurs.
Elle visite une destination du Pacifique un an sur deux. La troupe Te Pou o Mangatāwhiri de Waikato (nord de la Nouvelle-Zélande) a choisi cette année de s’arrêter en Polynésie française. “Nous sommes venus sur la trace de nos ancêtres”, a expliqué Ngaria Walker.
Une expérience “enrichissante”
Ils ont passé moins d’une semaine au Fenua, sont allés à la rencontre d’élèves dans différents établissements scolaires. Ils ont visité Taha’a et Raiatea, se sont recueillis sur le marae Taputapuātea. “Sept waka ont quitté ce site pour aller vers la Nouvelle-Zélande. Nous avons fait le chemin inverse pour voir le marae, c’était très beau, mais aussi très émouvant. C’est une expérience enrichissante et très intéressante”, a raconté Ngaria Walker, visiblement émue.
La troupe a conclu son séjour au conservatoire artistiques de la Polynésie française (CAPF). Des élèves des classes Cham/Chad de Tipaerui et Pomare ainsi que des élèves de la section danse S2TMD du lycée Gauguin/CAPF – ils étaient une soixantaine – ont interprété un 'ōrero de salutations et la danse d'accueil du Conservatoire en guise de bienvenu. “Une chance”, a assuré Vanina Ehu, professeure de danse au CAPF. Les élèves de la classe de ‘ukulele ont joué, quant à eux, sur le pae pae du conservatoire. “C’est la nouvelle génération de chanteurs et danseurs traditionnels qui se s’est exprimée”, a commenté Frédéric Cibard.
Un hakka apprécié
En retour Te Pou o Mangatāwhiri a réalisé plusieurs danses historiques dont un hakka très apprécié par l’ensemble du public. Le séjour, trop court, n’a pas laissé les membres de la troupe indifférent. Ils promettent de revenir dans deux ans.
Elle visite une destination du Pacifique un an sur deux. La troupe Te Pou o Mangatāwhiri de Waikato (nord de la Nouvelle-Zélande) a choisi cette année de s’arrêter en Polynésie française. “Nous sommes venus sur la trace de nos ancêtres”, a expliqué Ngaria Walker.
Une expérience “enrichissante”
Ils ont passé moins d’une semaine au Fenua, sont allés à la rencontre d’élèves dans différents établissements scolaires. Ils ont visité Taha’a et Raiatea, se sont recueillis sur le marae Taputapuātea. “Sept waka ont quitté ce site pour aller vers la Nouvelle-Zélande. Nous avons fait le chemin inverse pour voir le marae, c’était très beau, mais aussi très émouvant. C’est une expérience enrichissante et très intéressante”, a raconté Ngaria Walker, visiblement émue.
La troupe a conclu son séjour au conservatoire artistiques de la Polynésie française (CAPF). Des élèves des classes Cham/Chad de Tipaerui et Pomare ainsi que des élèves de la section danse S2TMD du lycée Gauguin/CAPF – ils étaient une soixantaine – ont interprété un 'ōrero de salutations et la danse d'accueil du Conservatoire en guise de bienvenu. “Une chance”, a assuré Vanina Ehu, professeure de danse au CAPF. Les élèves de la classe de ‘ukulele ont joué, quant à eux, sur le pae pae du conservatoire. “C’est la nouvelle génération de chanteurs et danseurs traditionnels qui se s’est exprimée”, a commenté Frédéric Cibard.
Un hakka apprécié
En retour Te Pou o Mangatāwhiri a réalisé plusieurs danses historiques dont un hakka très apprécié par l’ensemble du public. Le séjour, trop court, n’a pas laissé les membres de la troupe indifférent. Ils promettent de revenir dans deux ans.