TAHITI, le 8 juin 2021 - Les élèves du comédien Nicolas Arnould s’apprêtent à présenter leur travail d’une année au petit théâtre de la Maison de la culture. L’occasion pour eux de grandir dans leur apprentissage et au public de découvrir leur parcours effectué ces derniers mois.
Il y a un avant et un après. "Monter sur scène, c’est comme transformer un essai au rugby", compare Nicolas Arnould. Il est comédien et il anime des ateliers de théâtre à l’année à la Maison de la culture. Il a des classes d’enfants, d’adolescents et d’adultes. "Ils ont entre 6 et 77 ans, comme dit l’expression." Ou Presque. Tout ce que les élèves ont appris sur l’année fait sens devant le public, "c’est une éclosion, une étape à franchir. C’est le moment de valider tout ce qui a été dit les mois précédent."
Les plus jeunes présenteront un sketch semi improvisé mis au point avec les enfants eux-mêmes ainsi qu’un petit texte. Tout au long de l’année, ils travaillent assidument la technique. C’est-à-dire la voix, la posture, l’articulation, l’intelligibilité, mais aussi le regard, les micro-expressions, la gestion de l’espace. "Quelqu’un qui maîtrise tout cela fait la différence sur scène", assure Nicolas Arnould. Il veut donner des outils à ses apprentis comédiens pour qu’ils puissent, au final, être capables d’interpréter un personnage quel qu’il soit. "Car on ne choisit pas toujours ce que l’on joue", rappelle-t-il.
"Pour beaucoup, ce sera une première"
Les adolescents et les adultes ont répété eux une pièce à sketches intitulée Le Théâtre qui rend fou. Une mise en abîme qui s’adapte à ces deux niveaux, car elle n’a pas de thème ou de vocabulaire particulier. Ce texte de Jacques Maurin traite des problématiques physiques du théâtre en mode absurde. Chaque saynète aborde un élément moteur de la mise en théâtre.
Différents personnages (metteur en scène, auteur, amant, infirmier, policier…) apparaissent tour à tour. La mise en scène et les effets de lumière et autres sont réduits au minimum pour mettre l’accent sur le travail des élèves. "Pour beaucoup, ce sera une première !"
Nicolas Arnould a par ailleurs des projets de scènes. Avec la troupe Didascalie, il aimerait mettre en place un rendez-vous théâtral hebdomadaire. "On a quatre pièces prêtes à être jouées", compte-t-il. Il cherche un lieu pour concrétiser ce projet. Il collabore aussi avec la société de production Lucid Dream qui démarre cette semaine le tournage d’une série.
Il y a un avant et un après. "Monter sur scène, c’est comme transformer un essai au rugby", compare Nicolas Arnould. Il est comédien et il anime des ateliers de théâtre à l’année à la Maison de la culture. Il a des classes d’enfants, d’adolescents et d’adultes. "Ils ont entre 6 et 77 ans, comme dit l’expression." Ou Presque. Tout ce que les élèves ont appris sur l’année fait sens devant le public, "c’est une éclosion, une étape à franchir. C’est le moment de valider tout ce qui a été dit les mois précédent."
Les plus jeunes présenteront un sketch semi improvisé mis au point avec les enfants eux-mêmes ainsi qu’un petit texte. Tout au long de l’année, ils travaillent assidument la technique. C’est-à-dire la voix, la posture, l’articulation, l’intelligibilité, mais aussi le regard, les micro-expressions, la gestion de l’espace. "Quelqu’un qui maîtrise tout cela fait la différence sur scène", assure Nicolas Arnould. Il veut donner des outils à ses apprentis comédiens pour qu’ils puissent, au final, être capables d’interpréter un personnage quel qu’il soit. "Car on ne choisit pas toujours ce que l’on joue", rappelle-t-il.
"Pour beaucoup, ce sera une première"
Les adolescents et les adultes ont répété eux une pièce à sketches intitulée Le Théâtre qui rend fou. Une mise en abîme qui s’adapte à ces deux niveaux, car elle n’a pas de thème ou de vocabulaire particulier. Ce texte de Jacques Maurin traite des problématiques physiques du théâtre en mode absurde. Chaque saynète aborde un élément moteur de la mise en théâtre.
Différents personnages (metteur en scène, auteur, amant, infirmier, policier…) apparaissent tour à tour. La mise en scène et les effets de lumière et autres sont réduits au minimum pour mettre l’accent sur le travail des élèves. "Pour beaucoup, ce sera une première !"
Nicolas Arnould a par ailleurs des projets de scènes. Avec la troupe Didascalie, il aimerait mettre en place un rendez-vous théâtral hebdomadaire. "On a quatre pièces prêtes à être jouées", compte-t-il. Il cherche un lieu pour concrétiser ce projet. Il collabore aussi avec la société de production Lucid Dream qui démarre cette semaine le tournage d’une série.
Pratique
Le mercredi 9 juin à 18 heures au Petit théâtre de la Maison de la culture.
Le mercredi 9 juin à 18 heures au Petit théâtre de la Maison de la culture.
Contacts
Tél. : 40 544 544
Site internet de la Maison de la culture
FB : Maison de la Culture de Tahiti
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