La CGPME tient à exprimer son inquiétude quant aux augmentations successives liées au prix des hydrocarbures et aux conséquences de celles-ci sur les finances des petites et moyennes entreprises.

A l’heure où les entreprises baissent le rideau ou licencient pour survivre, les acteurs économiques sont en droit d'attendre des pouvoirs en place, qu'ils fassent preuve d'imagination au lieu d'augmenter sans cesse la pression fiscale au risque d’étrangler les derniers survivants.

La CGPME comprend et s’associe à l'agacement exprimé par le collectif « te tau no te hono » mais ne peut se résoudre à partager une solution qui consisterait à bloquer encore un peu plus l'économie de notre pays en paralysant l’activité. « Le remède ne doit pas tuer le malade »

C'est la raison pour laquelle, la CGPME appelle chacun à privilégier la discussion et attend des autorités compétentes, qu'elles garantissent la libre circulation des biens et des personnes.