Montpellier, France | AFP | dimanche 15/09/2019 - Trois matches, trois victoires, pas un set de perdu et une qualification pour les 8es en poche: les volleyeurs français ont parfaitement abordé leur début de Championnat d'Europe à domicile à Montpellier, et vont désormais se jauger contre la Bulgarie et l'Italie.
Dimanche, dans une Arena Sud de France tout aussi garnie (5.083) que pour les deux premiers matches, Laurent Tillie a une nouvelle fois aligné le même six de base, celui qui lui a permis de survoler les rencontres face à la Roumanie et la Grèce, toujours privé d'Earvin Ngapeth et Trévor Clevenot.
Face au Portugal, les Bleus ont une nouvelle fois dominé un adversaire moins fort, avec un bloc impressionnant dans le premier set (7 contres) qui a totalement étouffé les attaques portugaises, pour empocher le gain de la manche 25-11.
"On a eu une telle réussite et une telle insolence dans le jeu, qu'automatiquement le seuil d'alerte a diminué", a expliqué Laurent Tillie après la rencontre.
Les deux manches suivantes ont été plus accrochées mais remportées 25-20 et 25-23, sous les yeux du recordman du monde du décathlon Kévin Mayer, venu soutenir les Français avant de prendre la direction des Mondiaux d'athlétisme à Doha (27 septembre-6 octobre).
Les coéquipiers de Benjamin Toniutti passeront un premier gros test contre la Bulgarie de Silvano Prandi, entraîneur de Chaumont depuis 2015, invaincue à Montpellier depuis le début de la compétition. Puis un autre contre l'Italie d'Osmany Juantorena, Ivan Zaytsev et Simone Giannelli mercredi soir.
"La Bulgarie, c'est une équipe très puissante, ça sert bien, le jour où ça passe c'est compliqué. Il va falloir faire le dos rond. Ça va être un match très difficile, il faudra bien servir pour les faire déjouer en réception", a souligné le libéro des Bleus Jénia Grebennikov.
Le principal défi des Français sera de museler la puissance du pointu Tsvetan Sokolov, auteur de 33 points contre le Portugal samedi soir, et héritier dans les coeurs bulgares de la star Matey Kaziyski.
L'enjeu de ces deux rencontres sera d'éviter la troisième place du groupe, qui pourrait leur réserver la Russie championne d'Europe en titre et lauréate des deux dernière Ligue des nations, dès les 8es de finale.
Au petit jeu des comparaisons, l'Italie a laissé deux sets en cours de route, un contre la Grèce et un contre la Roumanie, quand la Bulgarie en a perdu un contre le Portugal et les Français aucun.
"Mettre trois fois 3-0, ça fait du bien au moral, les autres équipes ne l'ont pas fait. Ça montre que l'on est concentré et impliqué dans cette compétition. Ce n'est même pas un test, c'est pour gagner la première place de la poule pour éviter la Russie", conclut Grebennikov.
Dimanche, dans une Arena Sud de France tout aussi garnie (5.083) que pour les deux premiers matches, Laurent Tillie a une nouvelle fois aligné le même six de base, celui qui lui a permis de survoler les rencontres face à la Roumanie et la Grèce, toujours privé d'Earvin Ngapeth et Trévor Clevenot.
Face au Portugal, les Bleus ont une nouvelle fois dominé un adversaire moins fort, avec un bloc impressionnant dans le premier set (7 contres) qui a totalement étouffé les attaques portugaises, pour empocher le gain de la manche 25-11.
"On a eu une telle réussite et une telle insolence dans le jeu, qu'automatiquement le seuil d'alerte a diminué", a expliqué Laurent Tillie après la rencontre.
Les deux manches suivantes ont été plus accrochées mais remportées 25-20 et 25-23, sous les yeux du recordman du monde du décathlon Kévin Mayer, venu soutenir les Français avant de prendre la direction des Mondiaux d'athlétisme à Doha (27 septembre-6 octobre).
Les coéquipiers de Benjamin Toniutti passeront un premier gros test contre la Bulgarie de Silvano Prandi, entraîneur de Chaumont depuis 2015, invaincue à Montpellier depuis le début de la compétition. Puis un autre contre l'Italie d'Osmany Juantorena, Ivan Zaytsev et Simone Giannelli mercredi soir.
- Finir premiers du groupe -
"La Bulgarie, c'est une équipe très puissante, ça sert bien, le jour où ça passe c'est compliqué. Il va falloir faire le dos rond. Ça va être un match très difficile, il faudra bien servir pour les faire déjouer en réception", a souligné le libéro des Bleus Jénia Grebennikov.
Le principal défi des Français sera de museler la puissance du pointu Tsvetan Sokolov, auteur de 33 points contre le Portugal samedi soir, et héritier dans les coeurs bulgares de la star Matey Kaziyski.
L'enjeu de ces deux rencontres sera d'éviter la troisième place du groupe, qui pourrait leur réserver la Russie championne d'Europe en titre et lauréate des deux dernière Ligue des nations, dès les 8es de finale.
Au petit jeu des comparaisons, l'Italie a laissé deux sets en cours de route, un contre la Grèce et un contre la Roumanie, quand la Bulgarie en a perdu un contre le Portugal et les Français aucun.
"Mettre trois fois 3-0, ça fait du bien au moral, les autres équipes ne l'ont pas fait. Ça montre que l'on est concentré et impliqué dans cette compétition. Ce n'est même pas un test, c'est pour gagner la première place de la poule pour éviter la Russie", conclut Grebennikov.