L'équipe de Fenuacom entoure Miss France 2019 lors de sa visite le 24 décembre
PAPEETE, le mercredi 26 décembre 2018 - C’est avec un immense plaisir que l’équipe de Fenuacommunication a accueilli Miss France 2019 ce lundi 24 décembre, à l’occasion d’une tournée des partenaires de Miss Tahiti.
Ce fut un beau cadeau de Noël, pour l’équipe de Fenuacommunication, ce lundi 24 décembre, que la visite de Vaimalama Chaves. Avec beaucoup de professionnalisme et accompagnée de Leiana Faugerat, directrice du comité Miss Tahiti, elle s’est très gentiment prêtée au jeu des selfies et des autographes. Splendide et très à l’aise, celle qui porte si bien son prénom, « source de lumière », arborait un magnifique collier offert juste auparavant par Robert Wan. Avant de se tendre chez Air Tahiti Nui, elle a accepté de passer plus d’une heure en notre compagnie, dans nos tout nouveaux locaux de la RDO, pour répondre à nos questions.
Ce fut un beau cadeau de Noël, pour l’équipe de Fenuacommunication, ce lundi 24 décembre, que la visite de Vaimalama Chaves. Avec beaucoup de professionnalisme et accompagnée de Leiana Faugerat, directrice du comité Miss Tahiti, elle s’est très gentiment prêtée au jeu des selfies et des autographes. Splendide et très à l’aise, celle qui porte si bien son prénom, « source de lumière », arborait un magnifique collier offert juste auparavant par Robert Wan. Avant de se tendre chez Air Tahiti Nui, elle a accepté de passer plus d’une heure en notre compagnie, dans nos tout nouveaux locaux de la RDO, pour répondre à nos questions.
Il s’est passé une dizaine de jours depuis ton sacre de Miss France, que penses-tu que cet événement a changé en toi ?
"Je pense que les expériences que j’ai vécues m’ont permis d’acquérir plus de maturité, mais les changements réels ne sont pas de moi, ce sont les personnes qui sont autour de moi qui changent. Il y a une nouvelle lumière, les regards qui se posent sur moi ont changé."
Donc tu n’as pas l’impression qu’il y a une Vaimalama d’avant et une Vaimalama d’après ?
"Non, je fais toujours des blagues nulles (rires), je suis toujours la même qui aime dormir, qui aime aller à la mer, mes passions n’ont pas changé, je suis toujours la même personne, fidèle à moi-même."
Est-ce que tu peux nous parler un peu de toi, quelles sont tes qualités, quels sont tes défauts ?
"Je suis parfaite, des défauts, je n’en ai pas (rire)… Mes qualités, en fait, je suis très sociable, ce qui est plutôt pratique pour être Miss France, et sinon, j’ai une qualité - qui avant était un défaut, je suis très bavarde. Et ça, ça plaît aux médias (rires), et je m’adapte facilement, aussi."
"Elle ne se plaint jamais ( Leiana Faugerat) , c’est une vraie warrior, elle est endurante, elle a une force intérieure incroyable !"
"Mes défauts, on l’a déjà dit, je suis gourmande... Mais autre défaut, je suis naïve, ça m’arrive souvent d’être très naïve, mais heureusement je suis bien accompagnée, bien encadrée. La naïveté c’est vraiment quelque chose qui me qualifie, que je dois travailler…
Autre défaut, je chante faux…"
Mais non tu chantes bien, tu as une merveilleuse voix !
"Heureusement, ça fait tout passer (rire)"
On l’a vu tout au long de tes interventions, tu as un tempérament bien trempé…
"Ça va, c’est tahitien d’avoir du caractère ( rire)"
…Mais à présent ton nouveau statut va t’obliger à de nombreuses concessions, mais surtout à te plier à de nombreuses contraintes, est-ce que c’est quelque chose que tu vas appréhender de façon aisée, ou est-ce que tu vas devoir prendre sur toi ?
"Pour l’instant je n’ai pas encore eu à affronter des contraintes, mais je pense que des compromis sont possibles, qu’il faut faire des concessions de la part des deux parties concernées. Mais je pense qu’avec ma bonne capacité d’adaptation, ça devrait bien se passer. "
Tu trouves que le comité Miss France est prévenant avec toi ?
"Ils sont toujours très professionnels, très compétents dans leurs démarches, très conciliants aussi et humainement parlant, je les ai trouvé vraiment très bien. C’est agréable de travailler avec eux, comme avec le comité de Miss Tahiti, d’ailleurs. "
Dans une interview qu’elles nous ont accordé, Sylvie Tellier et Mareva Georges voient en toi une future Miss Monde, ou en tous les cas, elles ont envie que tu participes à l’aventure. Tu es partante ?
"C’est un peu prématuré d’envisager tout de suite une nouvelle élection sachant qu’il n’y a pas très longtemps que j’ai été élue, mais oui, je serais partante."
Tu es prête à relever le défi, tu es une femme de défi ?
"Oui, j’adore ça !"
Notre ancienne Miss France, Mareva Georges, se propose pour t’accompagner dans ce projet, te coacher. C’est une bonne nouvelle pour toi ?
"Ah oui, c’est une femme de référence. En Polynésie française, comme dans le milieu des Miss France, parce qu'elle a toujours été présente sur la scène internationale, au travers de son travail, déjà et puis de son investissement auprès de chacune de nous en réalité. Du coup, c’est un modèle pour moi en terme d’élégance et de dévotion. C’est une femme engagée que je respecte énormément, que j’apprécie beaucoup. "
Tu reçois de la part de tes amis, des anciennes Miss, plutôt de la bienveillance, plutôt de la rivalité, quels sont les comportements de tes consoeurs à ton égard ?
"Au cours de l’aventure nous avons toujours eu des relations très saines, on s’entendait très bien. Tout s’est très bien passé entre nous, il n’y a jamais eu d’animosité, de tension. Bien sûr, il y en a avec qui on a plus d’affinités que d’autres, mais globalement elle ont toutes été formidables. "
Aujourd’hui, ton aura dépasse les frontières, tu vas devenir une personne très influente, de plus en plus. Quel est le message que tu as envie de faire passer ?
"J’ai déjà commencé, car au cours de l’élection j’ai eu l’occasion de faire part de deux messages qui me sont chers : mon passé, qui faisait référence à mes rondeurs, et à mon surpoids, en fait, je voudrais parler de l’obésité, car c’est un des problèmes prédominant de santé en Polynésie française… et de l’éducation, qui est le pilier d’une société en réalité. Et en tant que personne de référence, je souhaite pouvoir encourager les gens dans la société en général à poursuivre leurs rêves. Dans les écoles, j’invite les enfants qui sont harcelés à se faire entendre, et à dire stop. Et pour les enfants qui harcèlent, parce qu’ils ne s’en rendent pas compte, leur faire prendre conscience des enjeux de ce qu’ils sont en train de faire. Je voudrais encourager les enfants à aller jusqu’au bout de leurs rêves, même si parfois ça va à l’encontre des projets de leurs parents. C’est parfois difficile, il faut savoir faire des choix, dans la vie, parce que 's’abstenir de choisir, c’est s’abstenir de vivre la vie qu’on voudrait', comme disait Laurent Gounel, l’homme qui voulait être heureux."
Quand repars-tu pour la Métropole ?
"Je repars le 1er janvier, le temps de passer les fêtes en famille, et ensuite je ne reviendrai pas avant l’élection de Miss Tahiti en juin prochain. "
Mareva Georges nous disais que parfois être Miss France c’est passer par des moments de solitude. Elle te conseille de bien t’entourer d’amis.
"Elle m'a raconté une anecdote, 'tu vois le cocotier qui est à Tahiti, eh bien, quand tu rentreras, il sera toujours là, alors profite de ce que la vie te donne !'"
"Je pense que les expériences que j’ai vécues m’ont permis d’acquérir plus de maturité, mais les changements réels ne sont pas de moi, ce sont les personnes qui sont autour de moi qui changent. Il y a une nouvelle lumière, les regards qui se posent sur moi ont changé."
Donc tu n’as pas l’impression qu’il y a une Vaimalama d’avant et une Vaimalama d’après ?
"Non, je fais toujours des blagues nulles (rires), je suis toujours la même qui aime dormir, qui aime aller à la mer, mes passions n’ont pas changé, je suis toujours la même personne, fidèle à moi-même."
Est-ce que tu peux nous parler un peu de toi, quelles sont tes qualités, quels sont tes défauts ?
"Je suis parfaite, des défauts, je n’en ai pas (rire)… Mes qualités, en fait, je suis très sociable, ce qui est plutôt pratique pour être Miss France, et sinon, j’ai une qualité - qui avant était un défaut, je suis très bavarde. Et ça, ça plaît aux médias (rires), et je m’adapte facilement, aussi."
"Elle ne se plaint jamais ( Leiana Faugerat) , c’est une vraie warrior, elle est endurante, elle a une force intérieure incroyable !"
"Mes défauts, on l’a déjà dit, je suis gourmande... Mais autre défaut, je suis naïve, ça m’arrive souvent d’être très naïve, mais heureusement je suis bien accompagnée, bien encadrée. La naïveté c’est vraiment quelque chose qui me qualifie, que je dois travailler…
Autre défaut, je chante faux…"
Mais non tu chantes bien, tu as une merveilleuse voix !
"Heureusement, ça fait tout passer (rire)"
On l’a vu tout au long de tes interventions, tu as un tempérament bien trempé…
"Ça va, c’est tahitien d’avoir du caractère ( rire)"
…Mais à présent ton nouveau statut va t’obliger à de nombreuses concessions, mais surtout à te plier à de nombreuses contraintes, est-ce que c’est quelque chose que tu vas appréhender de façon aisée, ou est-ce que tu vas devoir prendre sur toi ?
"Pour l’instant je n’ai pas encore eu à affronter des contraintes, mais je pense que des compromis sont possibles, qu’il faut faire des concessions de la part des deux parties concernées. Mais je pense qu’avec ma bonne capacité d’adaptation, ça devrait bien se passer. "
Tu trouves que le comité Miss France est prévenant avec toi ?
"Ils sont toujours très professionnels, très compétents dans leurs démarches, très conciliants aussi et humainement parlant, je les ai trouvé vraiment très bien. C’est agréable de travailler avec eux, comme avec le comité de Miss Tahiti, d’ailleurs. "
Dans une interview qu’elles nous ont accordé, Sylvie Tellier et Mareva Georges voient en toi une future Miss Monde, ou en tous les cas, elles ont envie que tu participes à l’aventure. Tu es partante ?
"C’est un peu prématuré d’envisager tout de suite une nouvelle élection sachant qu’il n’y a pas très longtemps que j’ai été élue, mais oui, je serais partante."
Tu es prête à relever le défi, tu es une femme de défi ?
"Oui, j’adore ça !"
Notre ancienne Miss France, Mareva Georges, se propose pour t’accompagner dans ce projet, te coacher. C’est une bonne nouvelle pour toi ?
"Ah oui, c’est une femme de référence. En Polynésie française, comme dans le milieu des Miss France, parce qu'elle a toujours été présente sur la scène internationale, au travers de son travail, déjà et puis de son investissement auprès de chacune de nous en réalité. Du coup, c’est un modèle pour moi en terme d’élégance et de dévotion. C’est une femme engagée que je respecte énormément, que j’apprécie beaucoup. "
Tu reçois de la part de tes amis, des anciennes Miss, plutôt de la bienveillance, plutôt de la rivalité, quels sont les comportements de tes consoeurs à ton égard ?
"Au cours de l’aventure nous avons toujours eu des relations très saines, on s’entendait très bien. Tout s’est très bien passé entre nous, il n’y a jamais eu d’animosité, de tension. Bien sûr, il y en a avec qui on a plus d’affinités que d’autres, mais globalement elle ont toutes été formidables. "
Aujourd’hui, ton aura dépasse les frontières, tu vas devenir une personne très influente, de plus en plus. Quel est le message que tu as envie de faire passer ?
"J’ai déjà commencé, car au cours de l’élection j’ai eu l’occasion de faire part de deux messages qui me sont chers : mon passé, qui faisait référence à mes rondeurs, et à mon surpoids, en fait, je voudrais parler de l’obésité, car c’est un des problèmes prédominant de santé en Polynésie française… et de l’éducation, qui est le pilier d’une société en réalité. Et en tant que personne de référence, je souhaite pouvoir encourager les gens dans la société en général à poursuivre leurs rêves. Dans les écoles, j’invite les enfants qui sont harcelés à se faire entendre, et à dire stop. Et pour les enfants qui harcèlent, parce qu’ils ne s’en rendent pas compte, leur faire prendre conscience des enjeux de ce qu’ils sont en train de faire. Je voudrais encourager les enfants à aller jusqu’au bout de leurs rêves, même si parfois ça va à l’encontre des projets de leurs parents. C’est parfois difficile, il faut savoir faire des choix, dans la vie, parce que 's’abstenir de choisir, c’est s’abstenir de vivre la vie qu’on voudrait', comme disait Laurent Gounel, l’homme qui voulait être heureux."
Quand repars-tu pour la Métropole ?
"Je repars le 1er janvier, le temps de passer les fêtes en famille, et ensuite je ne reviendrai pas avant l’élection de Miss Tahiti en juin prochain. "
Mareva Georges nous disais que parfois être Miss France c’est passer par des moments de solitude. Elle te conseille de bien t’entourer d’amis.
"Elle m'a raconté une anecdote, 'tu vois le cocotier qui est à Tahiti, eh bien, quand tu rentreras, il sera toujours là, alors profite de ce que la vie te donne !'"
Vaimalama s'est prêtée avec beaucoup de gentillesse et d'humour au jeu des selfies et des dédicaces
On se bousculait à l'agence pour obtenir son selfie