PIRAE le 19 avril 2014. C’est dans la rade du Taaone que la fédération a convié les rameurs et rameuses de Tahiti pour une étape qualificative comptant pour les championnats de Polynésie qui se dérouleront le 24 mai 2014. Ces championnats de Polynésie détermineront la sélection de Tahiti qui participera aux championnats du monde de va’a au Brésil du 12 au 17 août 2014.
Les différentes catégories ont pu prendre part à des séries de 500 m départ arrêté. En sénior homme c’est Tuatini Makiroto qui fait le meilleur temps. En vétéran 40 on retrouve le champion Karyl Maoni, en vétéran 50 André Atapo, chez les sénior dame on a Poerava Rooarii, Frida Faura en vétéran 40, Jean Yves Regnard en vétéran 60, Brigitte Langomazino en vétéran 50, Hititua Taerea en junior homme, Rose Veselsky en junior fille, Raihau Thon Sing en cadet et Ahipua Lee en cadette.
En 2013 les rameurs tahitiens favoris avaient été privés de championnat du monde en raison d’une grève d’une partie du personnel d’Air Tahiti Nui.
Les différentes catégories ont pu prendre part à des séries de 500 m départ arrêté. En sénior homme c’est Tuatini Makiroto qui fait le meilleur temps. En vétéran 40 on retrouve le champion Karyl Maoni, en vétéran 50 André Atapo, chez les sénior dame on a Poerava Rooarii, Frida Faura en vétéran 40, Jean Yves Regnard en vétéran 60, Brigitte Langomazino en vétéran 50, Hititua Taerea en junior homme, Rose Veselsky en junior fille, Raihau Thon Sing en cadet et Ahipua Lee en cadette.
En 2013 les rameurs tahitiens favoris avaient été privés de championnat du monde en raison d’une grève d’une partie du personnel d’Air Tahiti Nui.
Alexandre Wohler de la fédération Tahitienne de va’a :
« Pour la fédération, c’est un peu une façon de jauger les rameurs pour constituer la sélection qui ira au championnats du monde en août 2014 au Brésil. Cela a déjà commencé samedi dernier à Moorea. La fédération s’est déplacée et aujourd’hui c’est Tahiti, Tairapu et Tahiti Nui. Nous organisons cette journée pour rôder tout le patrimoine sportif sur les différentes catégories. Les championnats de Polynésie auront lieu ici à Aorai Tinihau vers mai-juin. »
« Steve Teihotaata est très fort sur longue distance, il est venu mais n’est pas parvenu en finale. Les courses de vitesse se font tous les deux ans, ce n’est pas donné à tout le monde d’être doué sur les courses de vitesse. En longue distance, il y en a pas mal dans la saison, presque tous les samedis on voit des courses en V6 ou en V1. Si certains ont décidé de ne pas participer aux sélectives de vitesse, c’est qu’ils sont intéressés par d’autres courses. Chacun choisit sa compétition le samedi mais pour ceux qui sont conscients de leurs possibilités dans une course de vitesse en va’a hoe, c’est une occasion à ne pas manquer. »
«Le grand vœu que je voudrais adresser au Pays, c’est que l’intérêt du va’a c’est de marquer le coup aux prochains championnats du monde, auparavant on avait pas pu aller au Canada donc les autres Pays étaient très contents de ne pas voir les Tahitiens parce qu’il pouvaient enfin gagner des titres de champion du monde. Cela a dû réjouir les néozélandais, les Maoris, les Australiens, les Hawaiiens, les Américains, les Canadiens peut être aussi. C’est sûr qu’une course sans la présence des Tahitiens, c’est une compétition dévaluée. Même en petite quantité ils sont les plus forts, capables de monter sur les podiums. C’est bien pour cette pratique, partout dans le monde. »
« Au niveau organisation, ce n’est pas la même approche que les courses longue distance mais on est solidaires les uns des autres pour produire une organisation de qualité au niveau de qualité du va’a polynésien. Le départ est toujours du côté de Arue, pas loin de la propriété Martin. Avec le vent soufflant de la pointe vénus vers Papeete, nous avons des performances intéressantes qui n’enlèvent rien à la qualité du rameur polynésien. »
« Pour la fédération, c’est un peu une façon de jauger les rameurs pour constituer la sélection qui ira au championnats du monde en août 2014 au Brésil. Cela a déjà commencé samedi dernier à Moorea. La fédération s’est déplacée et aujourd’hui c’est Tahiti, Tairapu et Tahiti Nui. Nous organisons cette journée pour rôder tout le patrimoine sportif sur les différentes catégories. Les championnats de Polynésie auront lieu ici à Aorai Tinihau vers mai-juin. »
« Steve Teihotaata est très fort sur longue distance, il est venu mais n’est pas parvenu en finale. Les courses de vitesse se font tous les deux ans, ce n’est pas donné à tout le monde d’être doué sur les courses de vitesse. En longue distance, il y en a pas mal dans la saison, presque tous les samedis on voit des courses en V6 ou en V1. Si certains ont décidé de ne pas participer aux sélectives de vitesse, c’est qu’ils sont intéressés par d’autres courses. Chacun choisit sa compétition le samedi mais pour ceux qui sont conscients de leurs possibilités dans une course de vitesse en va’a hoe, c’est une occasion à ne pas manquer. »
«Le grand vœu que je voudrais adresser au Pays, c’est que l’intérêt du va’a c’est de marquer le coup aux prochains championnats du monde, auparavant on avait pas pu aller au Canada donc les autres Pays étaient très contents de ne pas voir les Tahitiens parce qu’il pouvaient enfin gagner des titres de champion du monde. Cela a dû réjouir les néozélandais, les Maoris, les Australiens, les Hawaiiens, les Américains, les Canadiens peut être aussi. C’est sûr qu’une course sans la présence des Tahitiens, c’est une compétition dévaluée. Même en petite quantité ils sont les plus forts, capables de monter sur les podiums. C’est bien pour cette pratique, partout dans le monde. »
« Au niveau organisation, ce n’est pas la même approche que les courses longue distance mais on est solidaires les uns des autres pour produire une organisation de qualité au niveau de qualité du va’a polynésien. Le départ est toujours du côté de Arue, pas loin de la propriété Martin. Avec le vent soufflant de la pointe vénus vers Papeete, nous avons des performances intéressantes qui n’enlèvent rien à la qualité du rameur polynésien. »
Tainuiatea Vairaaroa rameur vedette de Team Opt :
« Il faut un peu de préparation, c’est vraiment technique ce genre de courses là. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. Le vent est très fort aujourd’hui, cela peut aussi faire baisser les chronos. A chacun de tenir sa pirogue. Certains rameurs ont des préférences au niveau des courses, ils sont plus aptes pour les longues distances que pour la vitesse. Après c’est aussi une histoire de club, soit les clubs les inscrivent soit ils ne les inscrivent pas. C’est à la fédé et les grands clubs de se mettre d’accord. Pour moi c’est bon. (sourire) Depuis tout jeune, je n’ai quasiment pas manqué de championnat du monde jusqu’à aujourd’hui, à part le Canada. Je me suis présenté à chaque qualification. Nos objectifs avec Opt restent le Fa’ati Moorea. L’équipe est toujours là, ‘on n’est pas finis pour autant’, tout se passe bien. » SB
« Il faut un peu de préparation, c’est vraiment technique ce genre de courses là. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. Le vent est très fort aujourd’hui, cela peut aussi faire baisser les chronos. A chacun de tenir sa pirogue. Certains rameurs ont des préférences au niveau des courses, ils sont plus aptes pour les longues distances que pour la vitesse. Après c’est aussi une histoire de club, soit les clubs les inscrivent soit ils ne les inscrivent pas. C’est à la fédé et les grands clubs de se mettre d’accord. Pour moi c’est bon. (sourire) Depuis tout jeune, je n’ai quasiment pas manqué de championnat du monde jusqu’à aujourd’hui, à part le Canada. Je me suis présenté à chaque qualification. Nos objectifs avec Opt restent le Fa’ati Moorea. L’équipe est toujours là, ‘on n’est pas finis pour autant’, tout se passe bien. » SB