Paris, France | AFP | mercredi 01/08/2018 - Le gouvernement a assuré mercredi que les forces de l'ordre seront mobilisées pour assurer la sécurité des Wallisiens et Futuniens, comme des différentes communautés présentes en Nouvelle-Calédonie, à l'approche du référendum du 4 novembre sur l'indépendance du territoire.
Compte tenu de l'ancienneté de leur présence en Nouvelle-Calédonie, "nombre d'entre eux participeront au référendum", a souligné le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, Christophe Castaner, au cours de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
"Au-delà de cela, il est essentiel que nous puissions accompagner, canaliser la jeunesse calédonienne qui, quelquefois désœuvrée, peut commettre des actes qui peuvent inquiéter", a-t-il poursuivi en réponse au nouveau député de Wallis-et-Futuna, Sylvain Brial (non-inscrit).
"Les services de l'État vont mobiliser les 1.400 policiers et gendarmes présents sur ce territoire pour qu'à aucun moment la communauté que vous représentez ne se sente menacée (...) où que ce soit dans le territoire et en particulier en Nouvelle-Calédonie", a-t-il conclu.
Les Wallisiens et Futuniens constituent environ 8% (recensement de 2014) de la population du territoire et la troisième communauté après les mélanésiens et la population d'origine européenne. La Nouvelle-Calédonie compte également plusieurs autres communautés (Tahitiens, Vietnamiens...) originaires d'Asie et du Pacifique.
Pour sa première intervention dans l'hémicycle, le député - élu en avril à l'occasion d'une législative partielle - avait interrogé le gouvernement sur les mesures "de prévention et de protection prises pour prévenir tout trouble en Nouvelle-Calédonie", spécialement à l'encontre de sa communauté.
Compte tenu de l'ancienneté de leur présence en Nouvelle-Calédonie, "nombre d'entre eux participeront au référendum", a souligné le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, Christophe Castaner, au cours de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
"Au-delà de cela, il est essentiel que nous puissions accompagner, canaliser la jeunesse calédonienne qui, quelquefois désœuvrée, peut commettre des actes qui peuvent inquiéter", a-t-il poursuivi en réponse au nouveau député de Wallis-et-Futuna, Sylvain Brial (non-inscrit).
"Les services de l'État vont mobiliser les 1.400 policiers et gendarmes présents sur ce territoire pour qu'à aucun moment la communauté que vous représentez ne se sente menacée (...) où que ce soit dans le territoire et en particulier en Nouvelle-Calédonie", a-t-il conclu.
Les Wallisiens et Futuniens constituent environ 8% (recensement de 2014) de la population du territoire et la troisième communauté après les mélanésiens et la population d'origine européenne. La Nouvelle-Calédonie compte également plusieurs autres communautés (Tahitiens, Vietnamiens...) originaires d'Asie et du Pacifique.
Pour sa première intervention dans l'hémicycle, le député - élu en avril à l'occasion d'une législative partielle - avait interrogé le gouvernement sur les mesures "de prévention et de protection prises pour prévenir tout trouble en Nouvelle-Calédonie", spécialement à l'encontre de sa communauté.