Myriam Stroken, artiste peintre, expose pour la première fois à la galerie Au Chevalet. Elle s’intéresse exclusivement, ou presque, à la danse et aux danseuses.
Tahiti, le 17 novembre 2024 - Myriam Stroken propose une série de peintures à l’huile intitulée Magic ‘ori tahiti. Au total, quarante toiles inédites illustrent le thème de prédilection de l’artiste. Le vernissage a eu lieu samedi matin à la galerie Au Chevalet.
“Voilà des années que je travaille sur la danse”, indique l’artiste-peintre Myriam Stroken. “Ce qui m’intéresse, c’est l’esthétique, le mouvement, il faut que je sente la vie à travers le tableau.” De fait, toutes les toiles, ou presque, mettent cet art à l’honneur. “J’ai un choix infini d’attitudes et d’expressions”, et donc d’émotions. Car ce qui importe, à l’instar de la musique ou de la poésie, c’est de “susciter une grande émotion chez celui qui le regarde”. Pour cela, elle imagine une véritable mise en scène.
Myriam Stroken expose pour la première fois à la galerie Au Chevalet. Artiste de la Galerie des tropiques depuis 2017, elle a aussi exposé au Vanuatu (de 1984 à 1986), en Arabie Saoudite (de 1990 à 1993), en France (en 1994) ou encore à La Réunion (en 2004).
Elle est originaire du nord de la France où elle a grandi, marquée par Johannes Vermeer et sa “Jeune fille à la perle”. “Ce peintre m’a parlé, je suis moi-même d’origine hollandaise. J’ai été frappée par son fameux tableau. Je crois que c’est lui qui m’a donné l’envie et le goût de peindre.”
Une artiste autodidacte
Son apprentissage s’est fait par le dessin, la peinture à la gouache et l’huile aquarelle. Elle a tout appris seule. “Je suis autodidacte”, avoue-t-elle. Lors d’un séjour au Vanuatu, la peinture a alors pris de plus en plus de place dans sa vie. C’est finalement une galerie à Port-Vila qui lui donna sa chance en 1984 pour exposer ses œuvres. “On est venu me chercher et, depuis, tout s’est enchaîné.”
En Polynésie, où elle est arrivée en 1996, elle a non seulement fait des expositions collectives et individuelles, mais également illustré une enveloppe premier jour pour l’OPT ainsi que des timbres, des ouvrages et des catalogues. Elle a notamment illustré “Temata”, un livret sur une petite danseuse tahitienne, produit par le Centre de recherche et de documentation pédagogiques de Polynésie en 2011. La version papier de ce livret n’existe plus, mais la version numérique reste disponible.
Au début, elle a peint ce qui l’entourait, les paysages, l’artisanat… Mais elle s’est petit à petit concentrée sur la danse et sur les danseuses qu’elle met en valeur pour que “chacun ensuite se fasse sa petite histoire”.
“Voilà des années que je travaille sur la danse”, indique l’artiste-peintre Myriam Stroken. “Ce qui m’intéresse, c’est l’esthétique, le mouvement, il faut que je sente la vie à travers le tableau.” De fait, toutes les toiles, ou presque, mettent cet art à l’honneur. “J’ai un choix infini d’attitudes et d’expressions”, et donc d’émotions. Car ce qui importe, à l’instar de la musique ou de la poésie, c’est de “susciter une grande émotion chez celui qui le regarde”. Pour cela, elle imagine une véritable mise en scène.
Myriam Stroken expose pour la première fois à la galerie Au Chevalet. Artiste de la Galerie des tropiques depuis 2017, elle a aussi exposé au Vanuatu (de 1984 à 1986), en Arabie Saoudite (de 1990 à 1993), en France (en 1994) ou encore à La Réunion (en 2004).
Elle est originaire du nord de la France où elle a grandi, marquée par Johannes Vermeer et sa “Jeune fille à la perle”. “Ce peintre m’a parlé, je suis moi-même d’origine hollandaise. J’ai été frappée par son fameux tableau. Je crois que c’est lui qui m’a donné l’envie et le goût de peindre.”
Une artiste autodidacte
Son apprentissage s’est fait par le dessin, la peinture à la gouache et l’huile aquarelle. Elle a tout appris seule. “Je suis autodidacte”, avoue-t-elle. Lors d’un séjour au Vanuatu, la peinture a alors pris de plus en plus de place dans sa vie. C’est finalement une galerie à Port-Vila qui lui donna sa chance en 1984 pour exposer ses œuvres. “On est venu me chercher et, depuis, tout s’est enchaîné.”
En Polynésie, où elle est arrivée en 1996, elle a non seulement fait des expositions collectives et individuelles, mais également illustré une enveloppe premier jour pour l’OPT ainsi que des timbres, des ouvrages et des catalogues. Elle a notamment illustré “Temata”, un livret sur une petite danseuse tahitienne, produit par le Centre de recherche et de documentation pédagogiques de Polynésie en 2011. La version papier de ce livret n’existe plus, mais la version numérique reste disponible.
Au début, elle a peint ce qui l’entourait, les paysages, l’artisanat… Mais elle s’est petit à petit concentrée sur la danse et sur les danseuses qu’elle met en valeur pour que “chacun ensuite se fasse sa petite histoire”.