HONG KONG, 10 déc 2012 (AFP) - Les futurs mariés de Hong Kong croyant au feng shui ne se sont pas précipités pour s'unir le 12/12/12, considéré par les oracles chinois comme un jour de chance presque comme un autre.
Seules 696 demandes ont été déposées cette année pour le 12 décembre, symbole d'"amour", contre 1.002 le 11 novembre l'an dernier, symbole d'"amour éternel", et 859 le 10 octobre 2010, symbole de "perfection", a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'administration du territoire chinois.
Selon Sammy Au, un maître de feng shui, art ancestral notamment divinatoire qui influence de nombreux Hongkongais, la date du triple 12 est un jour tout juste "de bonne chance".
Les 18 et 31 décembre sont placés sous des auspices bien plus favorables, a-t-il confié au journal gratuit The Standard.
Certains couples se sont néanmoins mis sur les rangs pour le 12/12 afin de d'échanger leurs serments avant le 21 qui correspondrait à la fin d'une grande ère dans le calendrier maya (que des chercheurs situent plutôt au 23 décembre), un événement que certains associent à la fin du monde.
"Je veux m'unir à elle avant la fin du monde", a ainsi expliqué un promis au journal de langue chinoise Ming Pao.
ly/sm/gab/tj
Seules 696 demandes ont été déposées cette année pour le 12 décembre, symbole d'"amour", contre 1.002 le 11 novembre l'an dernier, symbole d'"amour éternel", et 859 le 10 octobre 2010, symbole de "perfection", a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'administration du territoire chinois.
Selon Sammy Au, un maître de feng shui, art ancestral notamment divinatoire qui influence de nombreux Hongkongais, la date du triple 12 est un jour tout juste "de bonne chance".
Les 18 et 31 décembre sont placés sous des auspices bien plus favorables, a-t-il confié au journal gratuit The Standard.
Certains couples se sont néanmoins mis sur les rangs pour le 12/12 afin de d'échanger leurs serments avant le 21 qui correspondrait à la fin d'une grande ère dans le calendrier maya (que des chercheurs situent plutôt au 23 décembre), un événement que certains associent à la fin du monde.
"Je veux m'unir à elle avant la fin du monde", a ainsi expliqué un promis au journal de langue chinoise Ming Pao.
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