Durant deux semaines, les feux tricolores à Mahina clignoteront aux heures de pointe
MAHINA, le 10/08/2016 - Pour cette rentrée scolaire, le ministre de l'Équipement a décidé de laisser les feux tricolores de Mahina clignoter à l'orange, pendant deux semaines. Une manière de voir quelle serait la solution adéquate à proposer aux habitants de la côte Est. Durant ce laps de temps, ce sera à la police municipale d'assurer le changement des feux aux heures de pointe. Une société métropolitaine devrait d'ailleurs arriver en Polynésie la semaine prochaine pour une mission complémentaire, dont l'objectif est d'améliorer la circulation sur cette partie de l'île.
Depuis l'installation des carrefours à Mahina, il y a quelques mois, beaucoup d'automobilistes se sont plaints des nombreux feux tricolores que l'on peut apercevoir sur plus de deux kilomètres. Les bouchons étaient importants, et les habitants qui venaient de Hitia'a o te ra n'en pouvaient plus. Pour cette rentrée scolaire, le ministre a décidé de bien faire les choses et de laisser les feux clignoter à l'orange durant les heures de pointe, "afin qu'il y ait une meilleure étude pour un meilleur paramétrage à proposer aux administrés et aux automobilistes", assure Jacques Teaotea, chef de la brigade de police de Mahina.
Une manipulation qui devra être réalisée tous les matins et tous les soirs par la police municipale. "Pendant deux semaines, il va falloir que l'on enclenche les feux au clignotant et qu'on remette au vert et au rouge à partir de 8 heures", explique Jacques Teaotea. "Normalement, c'était prévu avec l'Équipement que l'on enclenche à 6 heures du matin, mais je pense que ça va être un peu trop tard, parce que ceux de Hitia'a o te ra quittent à 4 heures du matin et il faut vraiment que ce flux-là puissent sortir de Mahina, au plus tard vers 6h20", poursuit-il.
Les points chauds à Mahina se trouvent au niveau du collège et de la vallée de la Tuauru. La police compte un peu plus de 5 000 véhicules qui circulent dans la commune, les matins et soirs.
Avec cinq feux tricolores déjà installés, un sixième a fait dernièrement son apparition, celui de la Tuauru. Pas encore en fonction, les mūto'i de Mahina craignent le pire lorsqu'il sera en marche. "Là aussi c'est un gros souci. Lorsqu'on était sur la route, les points stratégiques étaient vraiment au niveau du collège et de Tuauru", souligne Jacques Teaotea.
Des réunions se tiennent régulièrement entre l'Équipement et la commune de Mahina pour tenter de trouver une solution adéquate afin de réguler au mieux le flux de circulation sur la côte Est.
D'ailleurs, une société métropolitaine, "Transmobilité" viendra pour une mission complémentaire en Polynésie, à la demande du ministère. "Ils arriveront le 15 août, et ils feront des phases de réglages", annonce le ministre de l'Équipement.
Si ce mercredi, tout s'est bien passé à Mahina, le plus dur reste à venir avec la rentrée de l'ensemble des établissements scolaires, dès mardi.
Depuis l'installation des carrefours à Mahina, il y a quelques mois, beaucoup d'automobilistes se sont plaints des nombreux feux tricolores que l'on peut apercevoir sur plus de deux kilomètres. Les bouchons étaient importants, et les habitants qui venaient de Hitia'a o te ra n'en pouvaient plus. Pour cette rentrée scolaire, le ministre a décidé de bien faire les choses et de laisser les feux clignoter à l'orange durant les heures de pointe, "afin qu'il y ait une meilleure étude pour un meilleur paramétrage à proposer aux administrés et aux automobilistes", assure Jacques Teaotea, chef de la brigade de police de Mahina.
Une manipulation qui devra être réalisée tous les matins et tous les soirs par la police municipale. "Pendant deux semaines, il va falloir que l'on enclenche les feux au clignotant et qu'on remette au vert et au rouge à partir de 8 heures", explique Jacques Teaotea. "Normalement, c'était prévu avec l'Équipement que l'on enclenche à 6 heures du matin, mais je pense que ça va être un peu trop tard, parce que ceux de Hitia'a o te ra quittent à 4 heures du matin et il faut vraiment que ce flux-là puissent sortir de Mahina, au plus tard vers 6h20", poursuit-il.
Les points chauds à Mahina se trouvent au niveau du collège et de la vallée de la Tuauru. La police compte un peu plus de 5 000 véhicules qui circulent dans la commune, les matins et soirs.
Avec cinq feux tricolores déjà installés, un sixième a fait dernièrement son apparition, celui de la Tuauru. Pas encore en fonction, les mūto'i de Mahina craignent le pire lorsqu'il sera en marche. "Là aussi c'est un gros souci. Lorsqu'on était sur la route, les points stratégiques étaient vraiment au niveau du collège et de Tuauru", souligne Jacques Teaotea.
Des réunions se tiennent régulièrement entre l'Équipement et la commune de Mahina pour tenter de trouver une solution adéquate afin de réguler au mieux le flux de circulation sur la côte Est.
D'ailleurs, une société métropolitaine, "Transmobilité" viendra pour une mission complémentaire en Polynésie, à la demande du ministère. "Ils arriveront le 15 août, et ils feront des phases de réglages", annonce le ministre de l'Équipement.
Si ce mercredi, tout s'est bien passé à Mahina, le plus dur reste à venir avec la rentrée de l'ensemble des établissements scolaires, dès mardi.
Tous les matins et tous les soirs, les mūto'i de Mahina devront manipuler les commandes pour le changement des feux