Tahiti le 28 octobre 2024. Le Centre d’enfouissement Technique de Bora Bora est actuellement le théâtre d’un incendie qui s’est déclaré dans la nuit de dimanche à lundi.
Depuis une heure du matin, les pompiers, les équipes d’Enviropol et celles de la Polynésienne des eaux sont à pied d’œuvre pour venir à bout des flammes.
Lundi en fin d'après-midi, une vingtaine de personnes est encore mobilisée et présente sur site, afin de protéger les installations et la végétation alentours, afin que le feu ne se propage pas sur la montagne.
L’incendie se serait déclaré après que des fumées ont été constatées au niveau d’un ancien casierd’enfouissement des déchets encombrants. Le feu est actuellement maîtrisé et la majorité du casier a pu être recouvert de terre.
L’objectif premier des équipes est d’éviter que l’incendie ne se propage au casier destiné aux ordures ménagères qui se situe juste à coté du casier incendié : s’il venait à disparaitre, les conséquences en terme de salubrité seraient très importantes.
La construction d’un second casier pourles déchets ménagers nécessiterait douze mois de travaux et aurait un impact financier important pour la commune et les usagers, d’où l’urgence à le préserver.
D’importantes fumées se dégageant aux alentours du C.E.T., il est conseillé aux riverains de se prémunir de les inhaler, même si aucun dispositif particulier n’a été mis en place. Si la raison du sinistre reste encore inconnue à cette heure, un probable défaut dans le tri des déchets est suspecté, comme ce fut le cas en 2020, alors que le feu avait pris en raison de la présence de batteries, de piles et de fusées de détresse dissimulées dans les déchets ménagers.
Un récent incendie à Anau, lié àune batterie de vélo électrique défectueuse, l’a malheureusement rappelé. L’occasion de souligner une fois encore l’importance du respect des consignes de tri sélectif et de la rigueur nécessaire dans cette opération citoyenne quotidienne.
Avec une tonne de déchets à traiter par jour, les agents du C.E.T. doivent pouvoir compter sur le civisme de chacun pour éviter que ce genre de sinistre, dommageable pour tous, y compris pour l’environnement, en raison de la pollution engendrée par les fumées et la quantité d’eau utilisée pour éteindre l’incendie. Un point critique en période sèche. Une nouvelle campagne de sensibilisation va d’ailleurs être lancée en ce sens, assure la commune.
Depuis une heure du matin, les pompiers, les équipes d’Enviropol et celles de la Polynésienne des eaux sont à pied d’œuvre pour venir à bout des flammes.
Lundi en fin d'après-midi, une vingtaine de personnes est encore mobilisée et présente sur site, afin de protéger les installations et la végétation alentours, afin que le feu ne se propage pas sur la montagne.
L’incendie se serait déclaré après que des fumées ont été constatées au niveau d’un ancien casierd’enfouissement des déchets encombrants. Le feu est actuellement maîtrisé et la majorité du casier a pu être recouvert de terre.
L’objectif premier des équipes est d’éviter que l’incendie ne se propage au casier destiné aux ordures ménagères qui se situe juste à coté du casier incendié : s’il venait à disparaitre, les conséquences en terme de salubrité seraient très importantes.
La construction d’un second casier pourles déchets ménagers nécessiterait douze mois de travaux et aurait un impact financier important pour la commune et les usagers, d’où l’urgence à le préserver.
D’importantes fumées se dégageant aux alentours du C.E.T., il est conseillé aux riverains de se prémunir de les inhaler, même si aucun dispositif particulier n’a été mis en place. Si la raison du sinistre reste encore inconnue à cette heure, un probable défaut dans le tri des déchets est suspecté, comme ce fut le cas en 2020, alors que le feu avait pris en raison de la présence de batteries, de piles et de fusées de détresse dissimulées dans les déchets ménagers.
Un récent incendie à Anau, lié àune batterie de vélo électrique défectueuse, l’a malheureusement rappelé. L’occasion de souligner une fois encore l’importance du respect des consignes de tri sélectif et de la rigueur nécessaire dans cette opération citoyenne quotidienne.
Avec une tonne de déchets à traiter par jour, les agents du C.E.T. doivent pouvoir compter sur le civisme de chacun pour éviter que ce genre de sinistre, dommageable pour tous, y compris pour l’environnement, en raison de la pollution engendrée par les fumées et la quantité d’eau utilisée pour éteindre l’incendie. Un point critique en période sèche. Une nouvelle campagne de sensibilisation va d’ailleurs être lancée en ce sens, assure la commune.