Jules Reichart en compagnie de l'une de ses filles, le 14 octobre 2010 à Tahiti-Faa'a
PAPEETE, lundi 8 avril 2013 – L’auteur présumé de l’agression ayant entrainé la mort de Jules Reichart, dans la nuit de samedi à dimanche, est maintenu en garde à vue dans le cadre de l’enquête de flagrance ouverte par le parquet de Papeete.
L’individu a été interpellé dimanche à Punaauia. Il a été identifié par les services de gendarmerie au moyen d’un téléphone potable, oublié sur le lieu de l’incident. Ce jeune homme de 27 ans, déjà connu des forces de l’ordre pour des faits de vols, doit être déféré mardi matin. Le parquet a requis sa mise en examen pour violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Le corps de Jules Reichart a été autopsié lundi dans la matinée. Des informations complémentaires ont été demandées. Le résultat de ces analyses anatomopathologiques sera connu dans plusieurs semaines.
Pour l’instant, le parquet retient l’hypothèse d’une altercation suivie d’une chute ayant provoqué le décès de ce père de famille de 62 ans.
Dimanche matin vers 1 heure en compagnie de sa compagne et de leur nourrisson de deux mois, alors qu’il regagne son domicile à Punaauia, Te Maru Ata, de retour d’un dîner, Jules Reichart aurait surpris un inconnu dans la cage d’escalier menant à son appartement.
Un combat entre les deux hommes, suivi d’une chute dans l’escalier aurait entrainé des blessures mortelles qui provoqueront le décès de la victime, lors de son évacuation vers le centre hospitalier territorial de Taaone.
Plusieurs messages ont dès dimanche été communiqués pour rendre hommage à cet homme très impliqué dans les mouvements caritatifs, notamment par le Tahoera’a huiraatira, dont il était militant, et par les députés Edouard Fritch et Jean-Paul Tuaiva.
Sylvie André, l’ancienne présidente de l’Université de Polynésie française, qui a œuvré au sein du Club 89 à ses côtés, évoque un homme "discret mais attentif aux autres. Accueillant et généreux il attirait les gens. Affable, ouvert aux autres, il avait cependant des convictions très fermes qu'il n'a jamais reniées, mais qu'il défendait avec gentillesse et efficacité. Je voudrais dire à sa famille, face à sa disparition si injuste et si inattendue, que je partage leur tristesse et leur peine."
L'équipe de Tahiti infos adresse également ses plus sincères condoléances à la famille.
L’individu a été interpellé dimanche à Punaauia. Il a été identifié par les services de gendarmerie au moyen d’un téléphone potable, oublié sur le lieu de l’incident. Ce jeune homme de 27 ans, déjà connu des forces de l’ordre pour des faits de vols, doit être déféré mardi matin. Le parquet a requis sa mise en examen pour violence volontaire ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Le corps de Jules Reichart a été autopsié lundi dans la matinée. Des informations complémentaires ont été demandées. Le résultat de ces analyses anatomopathologiques sera connu dans plusieurs semaines.
Pour l’instant, le parquet retient l’hypothèse d’une altercation suivie d’une chute ayant provoqué le décès de ce père de famille de 62 ans.
Dimanche matin vers 1 heure en compagnie de sa compagne et de leur nourrisson de deux mois, alors qu’il regagne son domicile à Punaauia, Te Maru Ata, de retour d’un dîner, Jules Reichart aurait surpris un inconnu dans la cage d’escalier menant à son appartement.
Un combat entre les deux hommes, suivi d’une chute dans l’escalier aurait entrainé des blessures mortelles qui provoqueront le décès de la victime, lors de son évacuation vers le centre hospitalier territorial de Taaone.
Plusieurs messages ont dès dimanche été communiqués pour rendre hommage à cet homme très impliqué dans les mouvements caritatifs, notamment par le Tahoera’a huiraatira, dont il était militant, et par les députés Edouard Fritch et Jean-Paul Tuaiva.
Sylvie André, l’ancienne présidente de l’Université de Polynésie française, qui a œuvré au sein du Club 89 à ses côtés, évoque un homme "discret mais attentif aux autres. Accueillant et généreux il attirait les gens. Affable, ouvert aux autres, il avait cependant des convictions très fermes qu'il n'a jamais reniées, mais qu'il défendait avec gentillesse et efficacité. Je voudrais dire à sa famille, face à sa disparition si injuste et si inattendue, que je partage leur tristesse et leur peine."
L'équipe de Tahiti infos adresse également ses plus sincères condoléances à la famille.