Paris, France | AFP | jeudi 17/07/2024 - Les premières délégations sont arrivées jeudi matin au Village olympique qui a officiellement ouvert ses portes à huit jours du début des JO, top départ d'une vague d'arrivées culminant à plus de 14.000 personnes au plus fort des Jeux.
Parmi les premiers arrivants, les délégations de la Thaïlande, de l'Australie et de la Colombie, a constaté l'AFP.
"C'est un moment spécial, c'est là que le Village va vraiment prendre vie", avec l'arrivée des premiers athlètes, a confié à l'AFP le chef-adjoint de la délégation française, André-Pierre Goubert.
"On est super enthousiastes de voir à quoi cela ressemble. Ca a l'air super, nous avons hâte d'être à l'intérieur, et hâte que ça commence", a expliqué à l'AFP Stephanie Kershaw, joueuse de l'équipe australienne de hockey-sur-gazon, au moment de son arrivée.
Depuis une semaine, le Village olympique a été investi par une partie des chefs de délégations et de leur encadrement chargés de préparer l'accueil de leurs équipes respectives.
"Il y a un peu de monde depuis une semaine, oui, mais c'est effectivement à partir de jeudi que le village va réellement se remplir", assure André-Pierre Goubert.
- "Les grosses nations vont arriver" -
Lors de la journée de jeudi, "plusieurs centaines de personnes, sans doute entre un et deux mille", athlètes et staff compris, devraient franchir les portes du village au nord de Paris, à cheval entre Saint-Denis, Saint-Ouen et l'île Saint-Denis, a indiqué à l'AFP une source au sein du comité d'organisation,
"Les grosses nations vont arriver le premier jour de l'ouverture (...) l'Angleterre, les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, le Brésil, la Suisse", a assuré André-Pierre Goubert.
"Nous sommes prêts", a assuré jeudi matin sur France Info le directeur adjoint du Village Augustin Tran Van Chau.
Au pic, le Village, qui s'étend sur 52 hectares, va accueillir près de 14.500 personnes, dont 9.000 athlètes.
"Cela devrait être une vraie fourmilière", anticipe un cadre du mouvement olympique français. Car la population ne sera pas composée que de sportifs ou de leur staff.
"Nous aurons 4.000 employés dans le village: ceux de Paris 2024, ceux des entreprises avec lesquelles nous avons des contrats - et il y en a beaucoup bien sûr pour faire fonctionner le Village, principalement pour le ménage et la restauration - et nous avons aussi 1.500 volontaires qui travailleront ici dans le village, principalement pour accompagner les délégations au quotidien", détaille Laurent Michaud, le directeur du village.
Côté français, seule l'équipe de water-polo féminine va ouvrir le bal jeudi, soit au total "une trentaine de personnes avec leur staff", les premiers à découvrir le bâtiment réservé aux Bleus, assure André-Pierre Goubert.
Avantage du pays-hôte, la France a pu choisir son bâtiment, non loin du restaurant installé dans la Cité du cinéma, et proche de la polyclinique du village. Et depuis le début du mois de juin, les équipes du Comité olympique français (CNOSF) s'affairent à équiper au mieux les lieux.
"J'ai vraiment hâte"
Les 573 athlètes de la délégation française et les 51 remplaçants (624 au total) ne logeront pas tous dans le nord de la capitale: 25% d'entre eux seront sur les sites décentralisés ou à l'INSEP.
Ceux qui seront au Village bénéficieront d'une salle de fitness privative de 170 m2 - le village en offre une collective - une salle de convivialité avec un écran TV de 5x3m, du snacking en plus du restaurant, de jeux de société et d'un baby-foot.
"Il y a aussi un roof-top... En terme d'aménagement, c'est le meilleur bâtiment France qu'on ait eu", assure André-Pierre Goubert. "On est à domicile, il n'y a pas de décalage horaire ni d'acclimatation nécessaire, donc les gens vont venir le plus près (possible) du jour de leur compétition", prévient-il.
"Franchement, j'ai vraiment hâte, a reconnu la judoka Amandine Buchard, je n'ai vu aucune photo, je ne sais même pas où le situer. Ça va être une vraie découverte."
L'équipe de France dispose de 485 lits et plus de 900 m2 d'espaces communs.
"On y dort très bien", assure André-Pierre Goubert. Et pour l'instant pas besoin de climatiseurs, "on a la géothermie inversée (garantissant 6 degrés de moins que l'extérieur, ndlr), et ça fonctionne très bien, j'ai même rajouté une couverture", assure-t-il.
Parmi les premiers arrivants, les délégations de la Thaïlande, de l'Australie et de la Colombie, a constaté l'AFP.
"C'est un moment spécial, c'est là que le Village va vraiment prendre vie", avec l'arrivée des premiers athlètes, a confié à l'AFP le chef-adjoint de la délégation française, André-Pierre Goubert.
"On est super enthousiastes de voir à quoi cela ressemble. Ca a l'air super, nous avons hâte d'être à l'intérieur, et hâte que ça commence", a expliqué à l'AFP Stephanie Kershaw, joueuse de l'équipe australienne de hockey-sur-gazon, au moment de son arrivée.
Depuis une semaine, le Village olympique a été investi par une partie des chefs de délégations et de leur encadrement chargés de préparer l'accueil de leurs équipes respectives.
"Il y a un peu de monde depuis une semaine, oui, mais c'est effectivement à partir de jeudi que le village va réellement se remplir", assure André-Pierre Goubert.
- "Les grosses nations vont arriver" -
Lors de la journée de jeudi, "plusieurs centaines de personnes, sans doute entre un et deux mille", athlètes et staff compris, devraient franchir les portes du village au nord de Paris, à cheval entre Saint-Denis, Saint-Ouen et l'île Saint-Denis, a indiqué à l'AFP une source au sein du comité d'organisation,
"Les grosses nations vont arriver le premier jour de l'ouverture (...) l'Angleterre, les Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande, le Brésil, la Suisse", a assuré André-Pierre Goubert.
"Nous sommes prêts", a assuré jeudi matin sur France Info le directeur adjoint du Village Augustin Tran Van Chau.
Au pic, le Village, qui s'étend sur 52 hectares, va accueillir près de 14.500 personnes, dont 9.000 athlètes.
"Cela devrait être une vraie fourmilière", anticipe un cadre du mouvement olympique français. Car la population ne sera pas composée que de sportifs ou de leur staff.
"Nous aurons 4.000 employés dans le village: ceux de Paris 2024, ceux des entreprises avec lesquelles nous avons des contrats - et il y en a beaucoup bien sûr pour faire fonctionner le Village, principalement pour le ménage et la restauration - et nous avons aussi 1.500 volontaires qui travailleront ici dans le village, principalement pour accompagner les délégations au quotidien", détaille Laurent Michaud, le directeur du village.
Côté français, seule l'équipe de water-polo féminine va ouvrir le bal jeudi, soit au total "une trentaine de personnes avec leur staff", les premiers à découvrir le bâtiment réservé aux Bleus, assure André-Pierre Goubert.
Avantage du pays-hôte, la France a pu choisir son bâtiment, non loin du restaurant installé dans la Cité du cinéma, et proche de la polyclinique du village. Et depuis le début du mois de juin, les équipes du Comité olympique français (CNOSF) s'affairent à équiper au mieux les lieux.
"J'ai vraiment hâte"
Les 573 athlètes de la délégation française et les 51 remplaçants (624 au total) ne logeront pas tous dans le nord de la capitale: 25% d'entre eux seront sur les sites décentralisés ou à l'INSEP.
Ceux qui seront au Village bénéficieront d'une salle de fitness privative de 170 m2 - le village en offre une collective - une salle de convivialité avec un écran TV de 5x3m, du snacking en plus du restaurant, de jeux de société et d'un baby-foot.
"Il y a aussi un roof-top... En terme d'aménagement, c'est le meilleur bâtiment France qu'on ait eu", assure André-Pierre Goubert. "On est à domicile, il n'y a pas de décalage horaire ni d'acclimatation nécessaire, donc les gens vont venir le plus près (possible) du jour de leur compétition", prévient-il.
"Franchement, j'ai vraiment hâte, a reconnu la judoka Amandine Buchard, je n'ai vu aucune photo, je ne sais même pas où le situer. Ça va être une vraie découverte."
L'équipe de France dispose de 485 lits et plus de 900 m2 d'espaces communs.
"On y dort très bien", assure André-Pierre Goubert. Et pour l'instant pas besoin de climatiseurs, "on a la géothermie inversée (garantissant 6 degrés de moins que l'extérieur, ndlr), et ça fonctionne très bien, j'ai même rajouté une couverture", assure-t-il.