Le 03 février dernier le Président de la République annonçait la création de 3 500 CDL en Polynésie française. Cette mesure d’urgence se voulait ponctuelle et apporter aux personnes concernées une bouffée d’oxygène en cette période de crise. Et pourtant personne n’en a encore bénéficié. En cause la convention non signée par le Pays. Ce sont donc 3500 chantiers de développement qui sont dans l’attente, soit 3500 chômeurs qui comptent sur ce travail et attendent de signer leur contrat. Et ce bien que les fonds soient déjà disponibles pour payer les salaires.
Depuis que la convention a été transmise au Pays, le dossier est en attente. Interrogé par Tahiti-Infos, le directeur de cabinet du ministère de l'Emploi, a précisé que selon lui ce retard serait dû à certaines modalités qui ne conviennent pas et font l’objet d’un examen plus poussé de la part du Pays. En effet, le ministère du travail, en charge du dossier, estime qu’il existe des distorsions entre cette convention et la convention cadre de 1992. Sont remis en cause notamment les crédits de formations qui sont à la charge du Pays et qui seraient supérieurs à ce qui devraient être.
Mais en attendant ce sont des chômeurs qui sont dans l’attente et certains, qui ont déjà signé leur contrat ce sont fait signifié qu’ils ne pouvaient toujours pas travailler tant que cette convention ne sera pas signée. Ce sont des cotisations pour la CPS en moins et des personnes qui restent inscrites au RSPF pour la majorité. Cette aide d’urgence attend toujours de répondre à ce besoin de trouver du travail. Certaines communes auraient même anticipé les choses et fait signer des contrats qui se retrouvent donc non valides.
Rappelons que les chantiers de développement local (CDL), financés par l’Etat, visent à favoriser l’insertion professionnelle et à procurer une aide financière à des personnes à la recherche d’un emploi en contrepartie d’un travail d’intérêt général. L’objectif de ce dispositif est de donner aux titulaires de CDL une formation, une connaissance du monde du travail ainsi que des possibilités d’accès futures à un emploi.
Depuis que la convention a été transmise au Pays, le dossier est en attente. Interrogé par Tahiti-Infos, le directeur de cabinet du ministère de l'Emploi, a précisé que selon lui ce retard serait dû à certaines modalités qui ne conviennent pas et font l’objet d’un examen plus poussé de la part du Pays. En effet, le ministère du travail, en charge du dossier, estime qu’il existe des distorsions entre cette convention et la convention cadre de 1992. Sont remis en cause notamment les crédits de formations qui sont à la charge du Pays et qui seraient supérieurs à ce qui devraient être.
Mais en attendant ce sont des chômeurs qui sont dans l’attente et certains, qui ont déjà signé leur contrat ce sont fait signifié qu’ils ne pouvaient toujours pas travailler tant que cette convention ne sera pas signée. Ce sont des cotisations pour la CPS en moins et des personnes qui restent inscrites au RSPF pour la majorité. Cette aide d’urgence attend toujours de répondre à ce besoin de trouver du travail. Certaines communes auraient même anticipé les choses et fait signer des contrats qui se retrouvent donc non valides.
Rappelons que les chantiers de développement local (CDL), financés par l’Etat, visent à favoriser l’insertion professionnelle et à procurer une aide financière à des personnes à la recherche d’un emploi en contrepartie d’un travail d’intérêt général. L’objectif de ce dispositif est de donner aux titulaires de CDL une formation, une connaissance du monde du travail ainsi que des possibilités d’accès futures à un emploi.
