NEW YORK, le 4 mai 2017 - Depuis le 26 avril et jusqu'au 7 mai, des œuvres de Tahe Drollet sont exposées à Manhattan, dans l'État de New York. Une belle promotion pour le fenua grâce au Polynésien qui continue ainsi à exporter son art, influencé notamment par la pop culture.
Tahe est un jeune homme talentueux, qui plus est déterminé. Il est l'un des rares Polynésiens à exporter son art au-delà de nos frontières. Les 14 et 15 mai 2016, il présentait déjà certaines de ses créations à l'exposition "Tokyo International Art Fair" (TIAF 2016), et notamment le splendide "Marquesian Vador" vendu à l'entreprise américaine Ripley's. Le mois suivant, il participait au "Street Art Fair Los Angeles". Figure de proue de la nouvelle vague, l'artiste local affectionne le "street art" et la pop culture, tout en revendiquant son appartenance à la culture polynésienne. Il a présenté ses réalisations à de nombreuses reprises au fenua, surtout à la galerie Winkler, que ce soit individuellement ou collectivement.
Tahe est un jeune homme talentueux, qui plus est déterminé. Il est l'un des rares Polynésiens à exporter son art au-delà de nos frontières. Les 14 et 15 mai 2016, il présentait déjà certaines de ses créations à l'exposition "Tokyo International Art Fair" (TIAF 2016), et notamment le splendide "Marquesian Vador" vendu à l'entreprise américaine Ripley's. Le mois suivant, il participait au "Street Art Fair Los Angeles". Figure de proue de la nouvelle vague, l'artiste local affectionne le "street art" et la pop culture, tout en revendiquant son appartenance à la culture polynésienne. Il a présenté ses réalisations à de nombreuses reprises au fenua, surtout à la galerie Winkler, que ce soit individuellement ou collectivement.
Cette fois, Tahe a été contacté par la galerie Artifact située à Manhattan, dans le quartier de Lower East Side, dans l'État de New York. Invité à exposer ses œuvres pendant deux semaines, du 26 avril au 7 mai, on peut y découvrir, entre autres, un cœur transpercé par des flèches, deux visages moulés avec des feuilles de 'uru qui s'embrassent, des paires de pieds nus traversant un mur, un masque impressionnant aux motifs marquisiens, une bouée de sauvetage entrouverte par un aileron de requin…
Le Polynésien confie : "Dans mon travail, je m'inspire beaucoup de là où je viens, de ma culture et de ce qui m'entoure depuis ma jeunesse. Ma démarche artistique est d'associer des éléments qui n'ont rien à voir ensemble et de créer ainsi des combinaisons inattendues qui suscitent un questionnement…" Et d'ajouter : "Aussi, je trouve intéressant d'utiliser des médiums variés afin de créer des textures différentes dans mes œuvres. Je tiens à remercier Air Tahiti Nui pour son soutien."