Le consultant indépendant en communication, médias et Internet, M. Raphaël Bodard a animé la première partie de cette conférence. Sa présentation consacrée à « l’impact du haut débit sur l’expérience audiovisuelle » a mis l’accent sur les évolutions concrètes liées au haut débit, auxquelles on peut s’attendre d’ici peu sur le marché polynésien.
Selon le conférencier, la consommation de contenus vidéos va rapidement évoluer et de façon considérable. Les téléspectateurs du fenua bénéficieront bientôt d’un panel de services jusqu’alors rendus inaccessibles pour des raisons technologiques. Il s’agit notamment de l’accès aux programmes en différé (ou programmes « délinéarisés »), la diversification des supports de diffusion télévisuelle (TV, PC, mobile, Portable Media Player, consoles de jeux…) et pourquoi pas la télévision 3D sous réserve d’un débit suffisant. Cette multiplication d’offres de contenus et d’usages sont autant de « nouvelles expériences pour la télévision » très attendues du grand public.
Les personnes présentes dans la salle de conférence n’ont pas manqué d’ouvrir les débats sur certains aspects techniques de l’audiovisuel de demain dont la réception de contenus MP4, les offres triple play, la gestion des droits d’auteurs sur les Web TV, la modification de la norme de diffusion satellitaire, le changement de décodeur TNS, ou encore la télévision interactive.
Certains de ces échanges ont trouvé un écho dans la seconde partie de la conférence animée par Marc Werstermann et Blaise Mistler. Ces deux représentants de la filiale outre-mer et internationale de Canal +, « Canal overseas », ont tenté de définir les contours de « l’avenir de la télévision payante en Polynésie ». Après avoir confirmé l’intérêt que leur société accorde aux différents territoires d’outre-mer, ils ont tour à tour déclaré vouloir « changer la vie des abonnés » en leur proposant des programmes de meilleure qualité, une offre de contenus plus large, et de nouveaux services.
La télévision numérique pour tous est un autre défi que Canal overseas semble prêt à relever. « On essaye de proposer une télévision gratuite et une télévision payante de meilleure qualité. Il y a là un équilibre à trouver. (…) On a fait le choix de la VoD* et de la push VoD pour proposer un service minimum aux habitants des îles éloignées. (…) C’est un vrai virage à prendre. »
(*Video on Demand ou vidéo à la demande).
Une conférence riche en pistes de réflexions… qui feront, à coup sûr, l’objet de débats lors des prochains ateliers des Etats généraux du numérique.
Selon le conférencier, la consommation de contenus vidéos va rapidement évoluer et de façon considérable. Les téléspectateurs du fenua bénéficieront bientôt d’un panel de services jusqu’alors rendus inaccessibles pour des raisons technologiques. Il s’agit notamment de l’accès aux programmes en différé (ou programmes « délinéarisés »), la diversification des supports de diffusion télévisuelle (TV, PC, mobile, Portable Media Player, consoles de jeux…) et pourquoi pas la télévision 3D sous réserve d’un débit suffisant. Cette multiplication d’offres de contenus et d’usages sont autant de « nouvelles expériences pour la télévision » très attendues du grand public.
Les personnes présentes dans la salle de conférence n’ont pas manqué d’ouvrir les débats sur certains aspects techniques de l’audiovisuel de demain dont la réception de contenus MP4, les offres triple play, la gestion des droits d’auteurs sur les Web TV, la modification de la norme de diffusion satellitaire, le changement de décodeur TNS, ou encore la télévision interactive.
Certains de ces échanges ont trouvé un écho dans la seconde partie de la conférence animée par Marc Werstermann et Blaise Mistler. Ces deux représentants de la filiale outre-mer et internationale de Canal +, « Canal overseas », ont tenté de définir les contours de « l’avenir de la télévision payante en Polynésie ». Après avoir confirmé l’intérêt que leur société accorde aux différents territoires d’outre-mer, ils ont tour à tour déclaré vouloir « changer la vie des abonnés » en leur proposant des programmes de meilleure qualité, une offre de contenus plus large, et de nouveaux services.
La télévision numérique pour tous est un autre défi que Canal overseas semble prêt à relever. « On essaye de proposer une télévision gratuite et une télévision payante de meilleure qualité. Il y a là un équilibre à trouver. (…) On a fait le choix de la VoD* et de la push VoD pour proposer un service minimum aux habitants des îles éloignées. (…) C’est un vrai virage à prendre. »
(*Video on Demand ou vidéo à la demande).
Une conférence riche en pistes de réflexions… qui feront, à coup sûr, l’objet de débats lors des prochains ateliers des Etats généraux du numérique.
