Pendant plusieurs années, Bruno Barrillot, expert indépendant et de renommée internationale, a assuré la fonction de de délégué polynésien pour le suivi des conséquences des essais nucléaires.
PAPEETE, le 27 juillet 2016. Bruno Barrillot reprend officiellement ses fonctions le 15 août prochain en tant que délégué au suivi des conséquences des essais nucléaires.
Le conseil des ministres a officialisé ce mercredi le retour de Bruno Barrillot à la délégation au suivi des conséquences des essais nucléaires. Il avait déjà exercé cette fonction auprès du gouvernement polynésien de 2009 à 2013, date où il a été débarqué de ce poste par Gaston Flosse.
La Délégation polynésienne pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (DSCEN) avait été créée en décembre 2007. Sous la direction de Bruno Barrillot, la DSCEN sera chargée "d'assurer le secrétariat général, technique et scientifique du Conseil d'orientation pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (COSCEN) ; de coordonner l'action des services administratifs et établissements publics en ce qu'ils interviennent dans le suivi des conséquences nucléaires des essais ; de faire toutes propositions et recommandations en matière environnementale, sanitaire, sociale, économique, foncière, immobilière et culturelle, dans ce domaine de compétence ; et d'être l'interlocuteur du Délégué de l'Etat pour le suivi de ce dossier ainsi que du Comité de liaison pour la coordination du suivi sanitaire des essais nucléaires français (CSSEN)", explique le communiqué du conseil des ministres.
Pour Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement, cette nomination est "pertinente" alors que le décret de la loi Morin va être modifié et qu'il y a des "chantiers liés à la réhabilitation des sites de Moruroa et de Hao".
"Monsieur Barrillot répond au profil du poste compte tenu de sa carrière professionnelle et de ces compétences en la matière", souligne le communiqué du conseil des ministres. "Expert indépendant, spécialiste des armements et notamment des armes nucléaires, il est co-fondateur, en 1984, du Centre de Documentation et de Recherche sur la Paix et les Conflits, devenu depuis l’Observatoire des armements. Il avait déjà occupé les fonctions de délégué au suivi des conséquences des essais nucléaires entre 2009 et 2013".
Le conseil des ministres a officialisé ce mercredi le retour de Bruno Barrillot à la délégation au suivi des conséquences des essais nucléaires. Il avait déjà exercé cette fonction auprès du gouvernement polynésien de 2009 à 2013, date où il a été débarqué de ce poste par Gaston Flosse.
La Délégation polynésienne pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (DSCEN) avait été créée en décembre 2007. Sous la direction de Bruno Barrillot, la DSCEN sera chargée "d'assurer le secrétariat général, technique et scientifique du Conseil d'orientation pour le suivi des conséquences des essais nucléaires (COSCEN) ; de coordonner l'action des services administratifs et établissements publics en ce qu'ils interviennent dans le suivi des conséquences nucléaires des essais ; de faire toutes propositions et recommandations en matière environnementale, sanitaire, sociale, économique, foncière, immobilière et culturelle, dans ce domaine de compétence ; et d'être l'interlocuteur du Délégué de l'Etat pour le suivi de ce dossier ainsi que du Comité de liaison pour la coordination du suivi sanitaire des essais nucléaires français (CSSEN)", explique le communiqué du conseil des ministres.
Pour Jean-Christophe Bouissou, porte-parole du gouvernement, cette nomination est "pertinente" alors que le décret de la loi Morin va être modifié et qu'il y a des "chantiers liés à la réhabilitation des sites de Moruroa et de Hao".
"Monsieur Barrillot répond au profil du poste compte tenu de sa carrière professionnelle et de ces compétences en la matière", souligne le communiqué du conseil des ministres. "Expert indépendant, spécialiste des armements et notamment des armes nucléaires, il est co-fondateur, en 1984, du Centre de Documentation et de Recherche sur la Paix et les Conflits, devenu depuis l’Observatoire des armements. Il avait déjà occupé les fonctions de délégué au suivi des conséquences des essais nucléaires entre 2009 et 2013".