SAO PAULO, 25 janvier 2012 (AFP) - La police brésilienne a ouvert une enquête sur une femme soupçonnée d'avoir tué trente-trois chats et quatre chiens chez elle, à Sao Paulo, et si cela était avéré, la tueuse en série sera jugée pour maltraitance d'animaux, a rapporté mercredi la presse locale.
Dalva Lina da Silva, 42 ans, a été arrêtée le 13 janvier en flagrant délit lorsqu'elle déposait des sacs en plastique contenant des cadavres de félins dans les rues de son quartier.
Elle a été remise en liberté le temps de l'enquête.
Interrogée par la police, elle a raconté "quelle faisait une piqûre d'analgésique dans le coeur des animaux, ce qui provoquait un arrêt cardiaque", a expliqué le commissaire José Celso Damasceno Junior, cité par le site G1.
La femme était connue dans le quartier pour recueillir chiens et chats mais un groupe de protection des animaux a commencé à la soupçonner de mauvais traitements et a embauché un détective privé.
Le détective a suivi la femme pendant vingt-deux jours et a trouvé "des animaux enroulés dans des journaux par groupe de deux ou trois" dans des sacs qu'elle laissait sur le trottoir, près des poubelles.
L'avocat de l'accusée affirme qu'elle n'a fait des piqûres mortelles qu'a six animaux qui étaient mourants.
Dalva Lina da Silva, 42 ans, a été arrêtée le 13 janvier en flagrant délit lorsqu'elle déposait des sacs en plastique contenant des cadavres de félins dans les rues de son quartier.
Elle a été remise en liberté le temps de l'enquête.
Interrogée par la police, elle a raconté "quelle faisait une piqûre d'analgésique dans le coeur des animaux, ce qui provoquait un arrêt cardiaque", a expliqué le commissaire José Celso Damasceno Junior, cité par le site G1.
La femme était connue dans le quartier pour recueillir chiens et chats mais un groupe de protection des animaux a commencé à la soupçonner de mauvais traitements et a embauché un détective privé.
Le détective a suivi la femme pendant vingt-deux jours et a trouvé "des animaux enroulés dans des journaux par groupe de deux ou trois" dans des sacs qu'elle laissait sur le trottoir, près des poubelles.
L'avocat de l'accusée affirme qu'elle n'a fait des piqûres mortelles qu'a six animaux qui étaient mourants.