Tahiti, le 26 mars 2021 - La Polynésie veut tirer profit de la présidence de l’Union européenne par la France en 2022 pour faire inscrire ses projets phares de développement du secteur primaire dans les grandes orientations stratégiques de développement durable de l’Europe.
Lors de la présidence de l’Union Européenne par la France en 2022, une réelle opportunité est ouverte pour faire inscrire les projets phares de développement du secteur primaire de la Polynésie française dans les grandes orientations stratégiques de développement durable de l’Europe comme la création de valeur, la transformation écologique et la souveraineté alimentaire. A la clé : un appui en ingénierie rurale et des instruments financiers pour les ambitions de recherche, d’innovation, de pêche durable et de transition agro-écologique.
Pour ouvrir le chemin d’un tel partenariat avec l’Union européenne et porter les ambitions de développement durable de la Polynésie, une visio-conférence a été organisée vendredi matin entre le député européen Dacian Ciolos, le président Edouard Fritch, le haut-commissaire, Dominique Sorain, et le vice-président en charge du portefeuille de l’Economie verte, Tearii Alpha. Dacian Ciolos est l’ancien premier ministre de la Roumanie et ancien commissaire à l’agriculture et au développement rural de la commission européenne.
Lors de cette visio-conférence, le haut-commissaire a souligné l'importance des échanges entre l'Union européenne, le gouvernement de Polynésie et l'Etat, pour œuvrer conjointement au développement de ces filières indispensables au territoire. Ils permettent de préparer la relance économique, en mutualisant les innovations en matière de transition agro-écologique. Pour le vice-président Tearii Alpha, il s’agit de "faire de la Polynésie française un exemple mondial de transition écologique de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de la forêt" avec l’appui de l’Union européenne. Edouard Fritch a insisté sur la pression de la mondialisation dans la région Pacifique, et la nécessaire représentation de l’Union européenne dans la région par les programmes de développement de la Polynésie française.
Lors de la présidence de l’Union Européenne par la France en 2022, une réelle opportunité est ouverte pour faire inscrire les projets phares de développement du secteur primaire de la Polynésie française dans les grandes orientations stratégiques de développement durable de l’Europe comme la création de valeur, la transformation écologique et la souveraineté alimentaire. A la clé : un appui en ingénierie rurale et des instruments financiers pour les ambitions de recherche, d’innovation, de pêche durable et de transition agro-écologique.
Pour ouvrir le chemin d’un tel partenariat avec l’Union européenne et porter les ambitions de développement durable de la Polynésie, une visio-conférence a été organisée vendredi matin entre le député européen Dacian Ciolos, le président Edouard Fritch, le haut-commissaire, Dominique Sorain, et le vice-président en charge du portefeuille de l’Economie verte, Tearii Alpha. Dacian Ciolos est l’ancien premier ministre de la Roumanie et ancien commissaire à l’agriculture et au développement rural de la commission européenne.
Lors de cette visio-conférence, le haut-commissaire a souligné l'importance des échanges entre l'Union européenne, le gouvernement de Polynésie et l'Etat, pour œuvrer conjointement au développement de ces filières indispensables au territoire. Ils permettent de préparer la relance économique, en mutualisant les innovations en matière de transition agro-écologique. Pour le vice-président Tearii Alpha, il s’agit de "faire de la Polynésie française un exemple mondial de transition écologique de l’agriculture, de la pêche, de l’aquaculture et de la forêt" avec l’appui de l’Union européenne. Edouard Fritch a insisté sur la pression de la mondialisation dans la région Pacifique, et la nécessaire représentation de l’Union européenne dans la région par les programmes de développement de la Polynésie française.