
Tahiti le 1er avril 2025. Le tribunal correctionnel de Papeete a rendu son jugement dans le cadre du procès pour favoritisme de l'ancien président de la Chambre de commerce, d'industrie, des services et des métiers, Stéphane Chin Loy. Il a été condamné ce mardi à une amende d’un million de francs dont 500 000 francs avec sursis, ainsi que 200 000 francs à la CCISM.
Jugé récemment par le tribunal correctionnel pour favoritisme, l'ancien président de la Chambre de commerce, d'industrie, des services et des métiers (CCISM), Stéphane Chin Loy, a été condamné ce mardi à une amende d’un million de francs dont 500 000 francs avec sursis, ainsi que 200 000 francs à la CCISM.
Rappelons que dans ce dossier, Stéphane Chin Loy était soupçonné d'avoir signé ou fait signer des contrats avec plusieurs prestataires sans avoir eu recours à une mise en concurrence. De plus, il n'aurait pas soumis ces contrats – supérieurs à trois millions de francs – à la commission des marchés, ce qui est pourtant prévu par la loi. Lors de l'enquête préliminaire menée par les agents de la Direction territoriale de la police nationale, il avait notamment été établi que Stéphane Chin Loy avait passé un contrat de logistique avec une entreprise d'événementiel en vue de l'organisation du salon Made in Fenua pour un montant de 6,7 millions de francs.
Jugé récemment par le tribunal correctionnel pour favoritisme, l'ancien président de la Chambre de commerce, d'industrie, des services et des métiers (CCISM), Stéphane Chin Loy, a été condamné ce mardi à une amende d’un million de francs dont 500 000 francs avec sursis, ainsi que 200 000 francs à la CCISM.
Rappelons que dans ce dossier, Stéphane Chin Loy était soupçonné d'avoir signé ou fait signer des contrats avec plusieurs prestataires sans avoir eu recours à une mise en concurrence. De plus, il n'aurait pas soumis ces contrats – supérieurs à trois millions de francs – à la commission des marchés, ce qui est pourtant prévu par la loi. Lors de l'enquête préliminaire menée par les agents de la Direction territoriale de la police nationale, il avait notamment été établi que Stéphane Chin Loy avait passé un contrat de logistique avec une entreprise d'événementiel en vue de l'organisation du salon Made in Fenua pour un montant de 6,7 millions de francs.