Tahiti, le 24 octobre 2024 - Revivre l’expérience de Mark Knopfler et sa bande à travers The Dire Traits Expérience, c’est ce que propose SA Productions ce samedi à To’atā à l’occasion de la tournée “Shiver in the Dark – World tour 2024-2025”. Une grande soirée qui sera ouverte par le groupe local “Magic Castle”.
Il existe des groupes que le temps préserve et que la mémoire populaire tend même à sublimer. Dire Straits fait partie de ce cercle. Alors, pour faire briller ce bijou anglais ad vitam æternam, Chris White, ancien saxophoniste du groupe, a décidé de redonner vie aux plus belles chansons de la bande à Mark Knopfler.
Pour la toute première fois à Tahiti, The Dire Straits Experience s’apprête à faire souffler une tempête rock sur l’arène de To’atā. Ce samedi, Chris White et six musiciens de renommée internationale soulèveront le public polynésien pour faire ressusciter le groupe londonien mythique des années 1980.
Fleuron du rock, Dire Straits est un joyeux accident industriel comme il s’en produit parfois en terre britannique. Car personne, ô grand jamais, n’aurait cru un temps que ces jeunes adultes déchaînés de Deptford allaient faire vibrer les enceintes du monde libre, à contre-courant des tendances de l’époque. Avec Mark Knopfler en frontman, le groupe a ainsi réussi à placarder un rock à l’anglaise qui, comme une évidence, ne mourra jamais.
Aujourd’hui encore résonnent leurs mélodies audacieuses : “Once Upon A Time In The West”, “Romeo And Juliet”, “Money For Nothing”, “Where Do You Think You’re Going” ou bien sûr “Telegraph Road”. Leur efficacité prend aux tripes et leur état d’esprit vagabond donne envie de fuguer à fond la caisse.
Disparu depuis 1993, le groupe Dire Straits, entrée au panthéon du rock en 2018 en compagnie de Bon Jovi et Nina Simone, continue de vivre au travers de Chris White, ancien partenaire de jeu de Mark Knopfler. Avec lui, le temps semble s’être figé net, comme immobile, d’extase et d’admiration, devant les pépites musicales de ces héros de la banlieue de Londres.
Certes, sous les projecteurs, les bonhommes ne sont pas les mêmes, mais tout est respecté à la lettre, comme pour raviver une flamme prête à embraser notre seconde jeunesse. L’énergie folle d’hier se conjugue au présent, sous le poids de ces riffs magistraux qui ont fait la réputation de Dire Straits. On célèbre alors l’œuvre, transcendée par Sultans Of Swing ou Walk Of Life. Quel plaisir de respirer cet air british qui nous fait voler, bond après bond, des mètres au-dessus du sol. Plus qu’un tribute band, The Dire Straits Experience revisite donc les plus beaux chapitres de la folle aventure du quatuor.
Il existe des groupes que le temps préserve et que la mémoire populaire tend même à sublimer. Dire Straits fait partie de ce cercle. Alors, pour faire briller ce bijou anglais ad vitam æternam, Chris White, ancien saxophoniste du groupe, a décidé de redonner vie aux plus belles chansons de la bande à Mark Knopfler.
Pour la toute première fois à Tahiti, The Dire Straits Experience s’apprête à faire souffler une tempête rock sur l’arène de To’atā. Ce samedi, Chris White et six musiciens de renommée internationale soulèveront le public polynésien pour faire ressusciter le groupe londonien mythique des années 1980.
Fleuron du rock, Dire Straits est un joyeux accident industriel comme il s’en produit parfois en terre britannique. Car personne, ô grand jamais, n’aurait cru un temps que ces jeunes adultes déchaînés de Deptford allaient faire vibrer les enceintes du monde libre, à contre-courant des tendances de l’époque. Avec Mark Knopfler en frontman, le groupe a ainsi réussi à placarder un rock à l’anglaise qui, comme une évidence, ne mourra jamais.
Aujourd’hui encore résonnent leurs mélodies audacieuses : “Once Upon A Time In The West”, “Romeo And Juliet”, “Money For Nothing”, “Where Do You Think You’re Going” ou bien sûr “Telegraph Road”. Leur efficacité prend aux tripes et leur état d’esprit vagabond donne envie de fuguer à fond la caisse.
Disparu depuis 1993, le groupe Dire Straits, entrée au panthéon du rock en 2018 en compagnie de Bon Jovi et Nina Simone, continue de vivre au travers de Chris White, ancien partenaire de jeu de Mark Knopfler. Avec lui, le temps semble s’être figé net, comme immobile, d’extase et d’admiration, devant les pépites musicales de ces héros de la banlieue de Londres.
Certes, sous les projecteurs, les bonhommes ne sont pas les mêmes, mais tout est respecté à la lettre, comme pour raviver une flamme prête à embraser notre seconde jeunesse. L’énergie folle d’hier se conjugue au présent, sous le poids de ces riffs magistraux qui ont fait la réputation de Dire Straits. On célèbre alors l’œuvre, transcendée par Sultans Of Swing ou Walk Of Life. Quel plaisir de respirer cet air british qui nous fait voler, bond après bond, des mètres au-dessus du sol. Plus qu’un tribute band, The Dire Straits Experience revisite donc les plus beaux chapitres de la folle aventure du quatuor.
Magic Castle en première partie
Ce sont huit chanteurs et musiciens polynésiens de talents, réunis dans une toute récente formation musicale “Magic Castle” : Reia Poroi et Ricardo Cortez au chant, Bruno Demougeot au clavier, Tuhiva Morgan à la guitare, Fariki Mai à la basse, Adrien Uveakovi Ballay à la batterie, Fabrice Cima et Christopher Ienfa aux saxophones.
Le groupe s’est constitué, et s’est produit, pour la toute première fois sous cette formation fin septembre dernier à l’occasion d’un événement privé. Mais cela faisait près d’un an que les huit artistes discutaient autour d’un projet commun : “On est persuadé que c’est un concept qui peut marcher. On a envie de le faire durer dans le temps et d’établir un répertoire hyper varié”, s’enthousiasme Reia Poroi, la chanteuse de Magic Castle. Côté répertoire justement, on retrouvera le jazz-rock et les musiques du “Tahiti d’antan” chères à Reia, le répertoire également très jazz-rock de Ricardo. Côté musique, le jazzman du conservatoire Bruno Demougeot, les deux saxophonistes Fabrice Cima et Christopher Ienfa accompagneront les jeunes talents Adrien Ballay et Tuhiva Morgan et l’expérimenté Fariki Mai pour un mélange détonant.
De quoi réveiller To’atā, puisque Magic Castle se produit pour la première fois sur la plus grande scène de Papeete en première partie du grand concert SA Productions de The Dire Straits Experience ce samedi.
Le groupe s’est constitué, et s’est produit, pour la toute première fois sous cette formation fin septembre dernier à l’occasion d’un événement privé. Mais cela faisait près d’un an que les huit artistes discutaient autour d’un projet commun : “On est persuadé que c’est un concept qui peut marcher. On a envie de le faire durer dans le temps et d’établir un répertoire hyper varié”, s’enthousiasme Reia Poroi, la chanteuse de Magic Castle. Côté répertoire justement, on retrouvera le jazz-rock et les musiques du “Tahiti d’antan” chères à Reia, le répertoire également très jazz-rock de Ricardo. Côté musique, le jazzman du conservatoire Bruno Demougeot, les deux saxophonistes Fabrice Cima et Christopher Ienfa accompagneront les jeunes talents Adrien Ballay et Tuhiva Morgan et l’expérimenté Fariki Mai pour un mélange détonant.
De quoi réveiller To’atā, puisque Magic Castle se produit pour la première fois sur la plus grande scène de Papeete en première partie du grand concert SA Productions de The Dire Straits Experience ce samedi.
Billetterie
Fosse assise
Chaise Or : 7 000 francs
Chaise CAT 1 : 6 000 francs
Chaise CAT 2 : 5 500 francs
Tribunes assises
CAT 1 : 6 000 francs
CAT 2 : 5 000 francs
CAT 3 : 4.000 francs
Fosse assise
Chaise Or : 7 000 francs
Chaise CAT 1 : 6 000 francs
Chaise CAT 2 : 5 500 francs
Tribunes assises
CAT 1 : 6 000 francs
CAT 2 : 5 000 francs
CAT 3 : 4.000 francs