Tahiti le 5 décembre 2024. Après le grand recensement de la population en 2022, l’Institut de la statistique en Polynésie française a établi un point d’étape pour l’année 2023, publié hier avec des chiffres consolidés. L’information principale reste le taux de naissance à son plus bas historique au Fenua.
Au 31 décembre 2023, la Polynésie française compte 279 400 habitants, en hausse de 0,1 % sur un an. Au cours des dernières années, la croissance démographique a fortement ralenti sous l’effet de la baisse de la natalité et du vieillissement de la population, note l’ISPF. Si l’espérance de vie retrouve un niveau légèrement supérieur à son niveau d’avant-pandémie, la natalité baisse à nouveau.
En 2023, 3 515 enfants sont nés vivants de mères résidentes en Polynésie française et 1 776 personnes sont décédées. Le solde naturel, autrement dit la différence entre les naissances en vie et les décès sur l’année, est positif de 1 739 personnes. Une légère hausse de la population à mettre en perspective avec le solde migratoire estimé entre les recensements de la population de 2017 et 2022 déficitaire d’environ 1 350 individus par an.
En 2023, 3 552 enfants sont nés de mères résidentes en Polynésie française, dont 3 515 bébés nés en vie, soit un taux de natalité de 12,6 naissances pour 1 000 habitants. Les naissances sont de moins en moins nombreuses depuis plusieurs décennies et se replie en 2023 à 1 point, historiquement bas. Les naissances sont en 2023 inférieures de 16 % à leur niveau de 2013 et de 22 % par rapport à 2003.
En 2023, l’indice conjoncturel de fécondité (ICF) s’établit à 1,8 enfant par femme.Dans l’hypothèse d’un solde migratoire nul et d’un taux de mortalité stable, un ICF de 2,1 enfants par femme assurerait le renouvellement des générations et permettrait ainsi de maintenir la population à un niveau stable, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
Depuis 20 ans, la part de naissances de mères de moins de 18 ans a diminué passant de 4,1 % en 2002 à 1,7 % en 2021. Cependant, les naissances de mères mineures ont augmenté en 2023 par rapport à 2021 et 2022 : 98 enfants sont nés de mères de moins de 18 ans, soit 2,8 % des naissances vivantes, alors qu’il y en avait 90 en 2022 (soit 2,5 %) et 64 en 2021 (soit 1,7 %).
Au 31 décembre 2023, la Polynésie française compte 279 400 habitants, en hausse de 0,1 % sur un an. Au cours des dernières années, la croissance démographique a fortement ralenti sous l’effet de la baisse de la natalité et du vieillissement de la population, note l’ISPF. Si l’espérance de vie retrouve un niveau légèrement supérieur à son niveau d’avant-pandémie, la natalité baisse à nouveau.
En 2023, 3 515 enfants sont nés vivants de mères résidentes en Polynésie française et 1 776 personnes sont décédées. Le solde naturel, autrement dit la différence entre les naissances en vie et les décès sur l’année, est positif de 1 739 personnes. Une légère hausse de la population à mettre en perspective avec le solde migratoire estimé entre les recensements de la population de 2017 et 2022 déficitaire d’environ 1 350 individus par an.
En 2023, 3 552 enfants sont nés de mères résidentes en Polynésie française, dont 3 515 bébés nés en vie, soit un taux de natalité de 12,6 naissances pour 1 000 habitants. Les naissances sont de moins en moins nombreuses depuis plusieurs décennies et se replie en 2023 à 1 point, historiquement bas. Les naissances sont en 2023 inférieures de 16 % à leur niveau de 2013 et de 22 % par rapport à 2003.
En 2023, l’indice conjoncturel de fécondité (ICF) s’établit à 1,8 enfant par femme.Dans l’hypothèse d’un solde migratoire nul et d’un taux de mortalité stable, un ICF de 2,1 enfants par femme assurerait le renouvellement des générations et permettrait ainsi de maintenir la population à un niveau stable, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
Depuis 20 ans, la part de naissances de mères de moins de 18 ans a diminué passant de 4,1 % en 2002 à 1,7 % en 2021. Cependant, les naissances de mères mineures ont augmenté en 2023 par rapport à 2021 et 2022 : 98 enfants sont nés de mères de moins de 18 ans, soit 2,8 % des naissances vivantes, alors qu’il y en avait 90 en 2022 (soit 2,5 %) et 64 en 2021 (soit 1,7 %).