Tahiti le 28 octobre 2024. La semaine dernière, 18 nouveaux cas de dengue ont été rapportés au Bureau de veille sanitaire pour 73 prélèvements réalisés (taux de positivité de 25%). De même, 33 nouveaux cas de coqueluche ont été dépistés.
Parmi ces cas, 12 personnes résident à Tahiti, 2 à Moorea, 1 à Huahine, 1 à Bora-Bora. Le précédent et premier cas à Bora Bora remonte au mois de mars 2024. Pour les cas de Bora-Bora et de Huahine, aucune notion de voyage n’a été rapporté, indiquant la circulation du virus dans ces îles.
Les cas surviennent de façon isolée ou en petits clusters familiaux ou de quartiers. Les enfants ou adultes jeunes, souvent résidents récents en Polynésie française sont les plus concernés.
Parmi l’ensemble des cas, 72 ont moins de 20 ans, soit 35%. La médiane d’âge est de 28 ans. Un nouveau cluster a été identifié à Tahiti, dans un quartier de la Pointe Vénus à Mahina.
Deux nouvelles hospitalisations de courte durée ont été rapportées en S42, pour un enfant de 9 ans et une personne de 18 ans. Depuis le 27 novembre 2023, aucun cas sévère ni décès n’ont été rapportés.
La phase d’alerte est maintenue, avec une circulation plus intense à Tahiti, et une diffusion débutante à Bora-Bora et Huahine.
Cette même semaine, 33 cas de coqueluche ont été confirmés. Les cas investigués résident à Tahiti et Moorea. Parmi ces cas rapportés, aucun n’a moins de 12 mois. Près de la moitié des cas a entre 15 et 19 ans. Un cluster regroupant au moins 9 cas (probables et confirmés) a été identifié dans un établissement scolaire de Papeete. Des mesures de prévention et de gestion ont été prises. Depuis le début de l’épidémie en juin, 191 cas confirmés ont été identifiés. Parmi l’ensemble des cas investigués, 10 enfants ont nécessité une hospitalisation, dont 8 nourrissons âgés de 8 mois ou moins.
Compte tenu de l’évolution de la situation épidémiologique en Polynésie française, les recommandations pourraient prochainement être adaptées. Le traitement de première intention reste l’azithromycine. La vaccination reste évidemment fortement recommandée pour les femmes enceintes à partir de la 20ème semaine après les dernières règles et pour les personnels de santé et du social en contact avec la petite enfance, l’accès gratuit au vaccin étant maintenant assuré pour ces personnes.
Parmi ces cas, 12 personnes résident à Tahiti, 2 à Moorea, 1 à Huahine, 1 à Bora-Bora. Le précédent et premier cas à Bora Bora remonte au mois de mars 2024. Pour les cas de Bora-Bora et de Huahine, aucune notion de voyage n’a été rapporté, indiquant la circulation du virus dans ces îles.
Les cas surviennent de façon isolée ou en petits clusters familiaux ou de quartiers. Les enfants ou adultes jeunes, souvent résidents récents en Polynésie française sont les plus concernés.
Parmi l’ensemble des cas, 72 ont moins de 20 ans, soit 35%. La médiane d’âge est de 28 ans. Un nouveau cluster a été identifié à Tahiti, dans un quartier de la Pointe Vénus à Mahina.
Deux nouvelles hospitalisations de courte durée ont été rapportées en S42, pour un enfant de 9 ans et une personne de 18 ans. Depuis le 27 novembre 2023, aucun cas sévère ni décès n’ont été rapportés.
La phase d’alerte est maintenue, avec une circulation plus intense à Tahiti, et une diffusion débutante à Bora-Bora et Huahine.
Cette même semaine, 33 cas de coqueluche ont été confirmés. Les cas investigués résident à Tahiti et Moorea. Parmi ces cas rapportés, aucun n’a moins de 12 mois. Près de la moitié des cas a entre 15 et 19 ans. Un cluster regroupant au moins 9 cas (probables et confirmés) a été identifié dans un établissement scolaire de Papeete. Des mesures de prévention et de gestion ont été prises. Depuis le début de l’épidémie en juin, 191 cas confirmés ont été identifiés. Parmi l’ensemble des cas investigués, 10 enfants ont nécessité une hospitalisation, dont 8 nourrissons âgés de 8 mois ou moins.
Compte tenu de l’évolution de la situation épidémiologique en Polynésie française, les recommandations pourraient prochainement être adaptées. Le traitement de première intention reste l’azithromycine. La vaccination reste évidemment fortement recommandée pour les femmes enceintes à partir de la 20ème semaine après les dernières règles et pour les personnels de santé et du social en contact avec la petite enfance, l’accès gratuit au vaccin étant maintenant assuré pour ces personnes.