Tahiti, le 15 février 2021 - Stoppée le 17 décembre dernier sur décision de justice à la demande de l’hôtel InterContinental de Bora Bora, la construction de la Villa Aquamaris peut redémarrer. Une ordonnance rendue vendredi en référé constate la régularité du permis de construire de cette villa touristique de luxe.
C’est le dernier rebondissement judiciaire d’un dossier qui mobilise le juge des référés pour la troisième fois depuis le mois d'octobre dernier. Finalement, le chantier de la villa Aquamaris peut redémarrer, à Bora Bora. Débouté en octobre dernier pour recours tardif, l’hôtel InterContinental de Bora Bora avait pourtant obtenu gain de cause deux mois plus tard, le 17 décembre, et fait stopper la construction de cette villa touristique de luxe, en raison d’irrégularités constatées dans la procédure d’attribution du permis de construire. Victoire toute provisoire, puisqu’une ordonnance rendue vendredi annule cette précédente décision. La société Tahiti Beachcomber (TBSA) devra tolérer l’existence d’une villa de luxe de 1 100 m2 sur trois niveaux, avec six chambres, service de restauration, spa, piscines, jacuzzi, espace yoga, bars et salle de cinéma, à 80 mètres à peine de son resort de Bora Bora, sur le motu Roa à Anau.
Contrat de location régularisé
Dans la décision rendue vendredi, le juge des référés constate en effet l’existence d’un avenant au permis de construire en date du 27 janvier dernier, qui met fin à tout litige. Cette demande de modification du permis, alors déposée mais non encore validée, avait été qualifiée en décembre dernier de manœuvre de "régularisation" afin de "purger l’illégalité" de la première autorisation, par l’avocat de TBSA. Un argument de fond de l'avocat guère de nature à influencer la décision du juge des évidences aujourd'hui. Le juge des référés constate en outre, un avenant au bail commercial passé fin décembre avec la mairie de Bora Bora qui régularise le contrat de location au profit de la SA Aquamaris et précise la vocation touristique du projet. Enfin, le système d’assainissement de la villa de luxe est désormais assuré par un procédé autonome. Un système autorisé par les services administratifs compétents. Papiers en règle : le chantier peut se poursuivre. La résidence touristique de luxe Aquamaris prévoit d’être livrée en fin d’année.
C’est le dernier rebondissement judiciaire d’un dossier qui mobilise le juge des référés pour la troisième fois depuis le mois d'octobre dernier. Finalement, le chantier de la villa Aquamaris peut redémarrer, à Bora Bora. Débouté en octobre dernier pour recours tardif, l’hôtel InterContinental de Bora Bora avait pourtant obtenu gain de cause deux mois plus tard, le 17 décembre, et fait stopper la construction de cette villa touristique de luxe, en raison d’irrégularités constatées dans la procédure d’attribution du permis de construire. Victoire toute provisoire, puisqu’une ordonnance rendue vendredi annule cette précédente décision. La société Tahiti Beachcomber (TBSA) devra tolérer l’existence d’une villa de luxe de 1 100 m2 sur trois niveaux, avec six chambres, service de restauration, spa, piscines, jacuzzi, espace yoga, bars et salle de cinéma, à 80 mètres à peine de son resort de Bora Bora, sur le motu Roa à Anau.
Contrat de location régularisé
Dans la décision rendue vendredi, le juge des référés constate en effet l’existence d’un avenant au permis de construire en date du 27 janvier dernier, qui met fin à tout litige. Cette demande de modification du permis, alors déposée mais non encore validée, avait été qualifiée en décembre dernier de manœuvre de "régularisation" afin de "purger l’illégalité" de la première autorisation, par l’avocat de TBSA. Un argument de fond de l'avocat guère de nature à influencer la décision du juge des évidences aujourd'hui. Le juge des référés constate en outre, un avenant au bail commercial passé fin décembre avec la mairie de Bora Bora qui régularise le contrat de location au profit de la SA Aquamaris et précise la vocation touristique du projet. Enfin, le système d’assainissement de la villa de luxe est désormais assuré par un procédé autonome. Un système autorisé par les services administratifs compétents. Papiers en règle : le chantier peut se poursuivre. La résidence touristique de luxe Aquamaris prévoit d’être livrée en fin d’année.