Tahiti le 30 octobre 2024. En début d’année, le Pays se voyait dans l’obligation de mettre en place un dispositif de secours à Moorea pour assurer le service public du transport scolaire par voie terrestre après le retrait de la société RTU. Le ministère de l’Education avait alors annoncé un nouvel appel à candidatures en quête d’un concessionnaire pour les dix ans à venir et une normalisation souhaitée pour la rentrée d’août 2024. C’est fin octobre que cet appel d’offres est finalement lancé, et pour une durée de 7 ans.
« On essaie de chercher des solutions pour que nos enfants soient transportés », justifiait en janvier dernier le ministre de l’Éducation Ronny Teriipaia à Moorea, alors qu’un dispositif de transport scolaire alternatif se mettait tant bien que mal en place sur l’île pour la rentrée des classes.
Depuis le début d’année, le transport scolaire de Moorea est pris en charge par l’entreprise de Warren Guilloux, un transporteur de Raiatea, qui n’aurait pas dû avoir de prolongation lors de la rentrée 2024-2025, mais sans appel d’offres, il a continué à combler le problème.
L’appel d’offres vient d’être publié au Journal officiel ce mercredi 30 octobre. Les transporteurs intéressés ont jusqu’au 29 novembre pour y répondre. Le gouvernement devra donner sa décision dans les trois mois suivant la fin des dépôts des candidatures.
« On essaie de chercher des solutions pour que nos enfants soient transportés », justifiait en janvier dernier le ministre de l’Éducation Ronny Teriipaia à Moorea, alors qu’un dispositif de transport scolaire alternatif se mettait tant bien que mal en place sur l’île pour la rentrée des classes.
Depuis le début d’année, le transport scolaire de Moorea est pris en charge par l’entreprise de Warren Guilloux, un transporteur de Raiatea, qui n’aurait pas dû avoir de prolongation lors de la rentrée 2024-2025, mais sans appel d’offres, il a continué à combler le problème.
L’appel d’offres vient d’être publié au Journal officiel ce mercredi 30 octobre. Les transporteurs intéressés ont jusqu’au 29 novembre pour y répondre. Le gouvernement devra donner sa décision dans les trois mois suivant la fin des dépôts des candidatures.