PAPEETE, le 3 juillet 2018 - Les élèves de Poly3D viennent de publier un jeu de plate-forme gratuit et en téléchargement libre sur Google Play. Il raconte les aventures de la mascotte Vik'Ura et de ses amies qui visitent les îles polynésiennes en tentant d'échapper au rat noir, la plaie de nos oiseaux endémiques.
Nos lecteurs assidus connaissent bien Vik'Ura et ses amies Vik'Iti et Vik'Ana. Les aventures de ces trois mascottes inspirées de nos perruches polynésiennes sont racontées en bande dessinée dans nos colonnes tous les mercredis. Elles ont maintenant droit à leur propre jeu vidéo !
>>> Télécharger le jeu pour Android. Téléchargez-le sur une connection wifi, car il pèse 300 Mo !
Ce jeu est téléchargeable gratuitement sur Google Play pour la version Android. Une version iOS serait également en préparation. L'app s'appelle "Les Aventures de Vik'Ura & Co." et c'est un jeu de plate-forme, façon Super Mario. Le jeune joueur doit traverser 12 niveaux, qui représentent chacun une île polynésienne, en sautant au-dessus de nombreux obstacles et en tentant d'éviter les rats noirs.
Nos lecteurs assidus connaissent bien Vik'Ura et ses amies Vik'Iti et Vik'Ana. Les aventures de ces trois mascottes inspirées de nos perruches polynésiennes sont racontées en bande dessinée dans nos colonnes tous les mercredis. Elles ont maintenant droit à leur propre jeu vidéo !
>>> Télécharger le jeu pour Android. Téléchargez-le sur une connection wifi, car il pèse 300 Mo !
Ce jeu est téléchargeable gratuitement sur Google Play pour la version Android. Une version iOS serait également en préparation. L'app s'appelle "Les Aventures de Vik'Ura & Co." et c'est un jeu de plate-forme, façon Super Mario. Le jeune joueur doit traverser 12 niveaux, qui représentent chacun une île polynésienne, en sautant au-dessus de nombreux obstacles et en tentant d'éviter les rats noirs.
Le rat noir est la plaie du 'Ura et de toutes les autres perruches polynésiennes. Il a conduit à leur extinction sur toutes nos îles, à quelques précieuses exceptions près.
Ces rats sont justement le plus grand danger qui guettent les trois perruches qui ont inspiré ces héroïnes : le 'Ura de Rimatara, aussi appelé "lori de kuhl" ; le Pihiti de Ua Huka ou "lori ultramarin" ; et enfin le "lori bleu nonnette" des Tuamotu. Elles sont toutes les trois en danger d'extinction.
Leur préservation est, selon David Proia qui a créé Vik'Ura, l'objectif principal de ce jeu : "Le but reste de sensibiliser la jeunesse à la protection de cet oiseau qui est le leur, mais qui est en liste rouge. Donc pour qu'ils l'aient à l'esprit, qu'il leur soit familier et qu'ils aient envie de le protéger, il fallait une mascotte, parce que se rendre à Rimatara pour le voir, ce n'est pas donné à tout le monde."
QUATRE ÉLÈVES DE POLY3D MOBILISÉS
Ce jeu est le fruit d'une collaboration avec l'école de création de jeu vidéo Studio Poly3D. David Proia nous raconte que "ce sont les troisièmes années, la première promotion qui va sortir de Poly3D, qui m'ont sollicité pour voir s'il était envisageable d'utiliser ces personnages comme support pour l'élaboration d'un jeu vidéo. Pour eux c'était leur stage de fin d'année. J'ai eu quatre élèves qui ont travaillé trois mois pour créer ce jeu vidéo, qui a été livré la semaine dernière. Ils ont créé tous les personnages en 3D et les niveaux sont en 2D. Il est clair que je vais encore avoir affaire à eux pour des mises à jour et pour poursuivre ce travail. Le jeu est déjà téléchargeable sur Android et le sera bientôt sur iOS, ça ne demandera qu'un peu plus de temps."
En tous cas le résultat le comble : "Je suis super emballé par ce jeu, je suis rempli d'émotions. C'est la consécration d'un long travail. Concernant le jeu en lui-même, avec le temps qui nous a été imparti, il est séduisant. Il est beau, très coloré et les paysages rappellent ceux de nos îles. Les élèves ont fait un effort pour donner à toutes les îles une personnalité. Je l'ai fait tester à ma fille et elle ne pouvait plus le lâcher !"
Après leurs peluches, leurs bandes dessinées et maintenant leur propre jeu, Vik'Ura et ses amies pourraient un jour avoir leur propre dessin animé en 3D : "Il y a plusieurs projets en pourparlers dans le domaine de l'animation, qui pourraient se faire également avec Poly3D".
Leur préservation est, selon David Proia qui a créé Vik'Ura, l'objectif principal de ce jeu : "Le but reste de sensibiliser la jeunesse à la protection de cet oiseau qui est le leur, mais qui est en liste rouge. Donc pour qu'ils l'aient à l'esprit, qu'il leur soit familier et qu'ils aient envie de le protéger, il fallait une mascotte, parce que se rendre à Rimatara pour le voir, ce n'est pas donné à tout le monde."
QUATRE ÉLÈVES DE POLY3D MOBILISÉS
Ce jeu est le fruit d'une collaboration avec l'école de création de jeu vidéo Studio Poly3D. David Proia nous raconte que "ce sont les troisièmes années, la première promotion qui va sortir de Poly3D, qui m'ont sollicité pour voir s'il était envisageable d'utiliser ces personnages comme support pour l'élaboration d'un jeu vidéo. Pour eux c'était leur stage de fin d'année. J'ai eu quatre élèves qui ont travaillé trois mois pour créer ce jeu vidéo, qui a été livré la semaine dernière. Ils ont créé tous les personnages en 3D et les niveaux sont en 2D. Il est clair que je vais encore avoir affaire à eux pour des mises à jour et pour poursuivre ce travail. Le jeu est déjà téléchargeable sur Android et le sera bientôt sur iOS, ça ne demandera qu'un peu plus de temps."
En tous cas le résultat le comble : "Je suis super emballé par ce jeu, je suis rempli d'émotions. C'est la consécration d'un long travail. Concernant le jeu en lui-même, avec le temps qui nous a été imparti, il est séduisant. Il est beau, très coloré et les paysages rappellent ceux de nos îles. Les élèves ont fait un effort pour donner à toutes les îles une personnalité. Je l'ai fait tester à ma fille et elle ne pouvait plus le lâcher !"
Après leurs peluches, leurs bandes dessinées et maintenant leur propre jeu, Vik'Ura et ses amies pourraient un jour avoir leur propre dessin animé en 3D : "Il y a plusieurs projets en pourparlers dans le domaine de l'animation, qui pourraient se faire également avec Poly3D".