Paris, France | AFP | samedi 07/05/2016 - Seize maternités vont tenter de convaincre de futures mamans d’arrêter de fumer en leur offrant des bons d’achat, indique Le Parisien samedi.
Un total de 400 futures mamans vont être recrutées. Des volontaires, majeures, qui doivent être enceintes de moins de quatre mois et demi et fumer un minimum de cinq cigarettes quotidiennes (ou trois roulées, mais pas d’autre produit à base de tabac, ni de cigarette électronique), selon le journal.
Seize services de maternité de France participent à cette étude baptisée Fiscp et lancée par l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), avec le soutien financier de l’Institut national du cancer (Inca).
Les résultats ne seront connus que dans deux ans, indique encore le quotidien qui explique que les futures mamans seront reçues et suivies en consultation de tabacologie trois ou cinq fois jusqu’à l’accouchement et devront se soumettre à un entretien téléphonique six mois plus tard. Toutes recevront une rémunération de 20 euros à chaque visite. Des bons d’achat valables dans plusieurs enseignes, sauf évidemment pour acheter tabac ou alcool.
Pour une moitié des 400 futures mamans choisie de façon aléatoire (l’autre moitié constituant un groupe de contrôle), l’incitation financière pour cette aide au sevrage sera doublée. 20 euros de bons supplémentaires, en récompense de leurs mois sans cigarettes. Selon Le Parisien, une femme enceinte entrant dans l’étude en début de grossesse pourrait ainsi recevoir l'équivalent de 300 euros.
L’addiction à la cigarette est des plus tenaces, particulièrement chez les femmes enceintes, précise Le Parisien qui indique que le tabac pendant la grossesse présente un risque d’accouchement prématuré, nuit au développement d’un bébé menacé de petit poids, d’asthme et même de diabète futur.
Le journal conclut en citant les dernières statistiques disponibles du baromètre santé Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), selon lesquelles, les futures mamans sont près de 18 % à toujours fumer au dernier mois de leur grossesse.
Un total de 400 futures mamans vont être recrutées. Des volontaires, majeures, qui doivent être enceintes de moins de quatre mois et demi et fumer un minimum de cinq cigarettes quotidiennes (ou trois roulées, mais pas d’autre produit à base de tabac, ni de cigarette électronique), selon le journal.
Seize services de maternité de France participent à cette étude baptisée Fiscp et lancée par l’AP-HP (Assistance publique-Hôpitaux de Paris), avec le soutien financier de l’Institut national du cancer (Inca).
Les résultats ne seront connus que dans deux ans, indique encore le quotidien qui explique que les futures mamans seront reçues et suivies en consultation de tabacologie trois ou cinq fois jusqu’à l’accouchement et devront se soumettre à un entretien téléphonique six mois plus tard. Toutes recevront une rémunération de 20 euros à chaque visite. Des bons d’achat valables dans plusieurs enseignes, sauf évidemment pour acheter tabac ou alcool.
Pour une moitié des 400 futures mamans choisie de façon aléatoire (l’autre moitié constituant un groupe de contrôle), l’incitation financière pour cette aide au sevrage sera doublée. 20 euros de bons supplémentaires, en récompense de leurs mois sans cigarettes. Selon Le Parisien, une femme enceinte entrant dans l’étude en début de grossesse pourrait ainsi recevoir l'équivalent de 300 euros.
L’addiction à la cigarette est des plus tenaces, particulièrement chez les femmes enceintes, précise Le Parisien qui indique que le tabac pendant la grossesse présente un risque d’accouchement prématuré, nuit au développement d’un bébé menacé de petit poids, d’asthme et même de diabète futur.
Le journal conclut en citant les dernières statistiques disponibles du baromètre santé Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), selon lesquelles, les futures mamans sont près de 18 % à toujours fumer au dernier mois de leur grossesse.