Tahiti, le 22 mars 2021 – Après la CPS et en attendant le CHPF, un nouveau préavis de grève a été déposé par la CSIP auprès de la Société Tahitienne de dépôts pétroliers. Sans accord, le mouvement social doit débuter le 26 mars prochain.
La confédération CSIP a déposé un préavis de grève auprès de la direction de la Société Tahitienne de dépôts pétroliers (STDP) qui doit prendre effet le 26 mars prochain à 0 heures sur les sites des dépôts à Fare-Ute et Motu Uta, ainsi que sur les différents points de livraisons.
Le syndicat rappelle dans son préavis de grève qu'il se soucie de la protection des "plus démunis et les laissés pour comptes" et qu'il a aussi comme objectif la préservation de leurs "acquis sociaux et l'outil de travail".
Six points de revendications sont exposés dans ce préavis de grève, parmi lesquels le reclassement des employés selon la prise en compte de l'ancienneté de ces derniers, le "paiement des heures supplémentaires", ou encore de la situation de deux agents qui suite à une plainte ont été sujets "à un traitement discriminatoire, favoritisme-pression sur le personnel et manque de transparence dans les décisions".
Autre revendication, la CSIP demande la revalorisation de la prime pétrolier.
La confédération CSIP a déposé un préavis de grève auprès de la direction de la Société Tahitienne de dépôts pétroliers (STDP) qui doit prendre effet le 26 mars prochain à 0 heures sur les sites des dépôts à Fare-Ute et Motu Uta, ainsi que sur les différents points de livraisons.
Le syndicat rappelle dans son préavis de grève qu'il se soucie de la protection des "plus démunis et les laissés pour comptes" et qu'il a aussi comme objectif la préservation de leurs "acquis sociaux et l'outil de travail".
Six points de revendications sont exposés dans ce préavis de grève, parmi lesquels le reclassement des employés selon la prise en compte de l'ancienneté de ces derniers, le "paiement des heures supplémentaires", ou encore de la situation de deux agents qui suite à une plainte ont été sujets "à un traitement discriminatoire, favoritisme-pression sur le personnel et manque de transparence dans les décisions".
Autre revendication, la CSIP demande la revalorisation de la prime pétrolier.