Tahiti le 10 octobre 2023. Les nouvelles sont rassurantes pour les 34 Polynésiens bloqués à Jérusalem depuis le début du conflit samedi dernier dans la zone.
Joint par téléphone ce mardi matin, le père Bruno Mai a tenu des propos apaisants sur la situation sur place où, malgré le stress et les bombardements lointains, on pouvait entendre la délégation chanter derrière le téléphone. « Un bus va nous conduire demain matin en Jordanie (mardi soir, heure de Tahiti). Là, nous allons rester deux ou trois jours avant que le groupe ne soit coupé en deux. 12 personnes vont regagner Paris via Istanbul, les 22 autres vont rejoindre Paris via Rome. »
« Ce n’est pas tout à fait la belle vie, mais le moral est bon », a poursuivi le père Mai. « Ici, cela s’est calmé. Nous avons entendu les bombardements jusque 4 heures du matin la veille, mais là, il n’y a plus de tirs. Nous sommes heureux de pouvoir rentrer parce que ça a pété fort. Très fort. »
Si tout se passe correctement, la délégation des 34 pèlerins polynésiens devrait atterrir ce dimanche soir à l’aéroport de Tahiti Faa’a.
Joint par téléphone ce mardi matin, le père Bruno Mai a tenu des propos apaisants sur la situation sur place où, malgré le stress et les bombardements lointains, on pouvait entendre la délégation chanter derrière le téléphone. « Un bus va nous conduire demain matin en Jordanie (mardi soir, heure de Tahiti). Là, nous allons rester deux ou trois jours avant que le groupe ne soit coupé en deux. 12 personnes vont regagner Paris via Istanbul, les 22 autres vont rejoindre Paris via Rome. »
« Ce n’est pas tout à fait la belle vie, mais le moral est bon », a poursuivi le père Mai. « Ici, cela s’est calmé. Nous avons entendu les bombardements jusque 4 heures du matin la veille, mais là, il n’y a plus de tirs. Nous sommes heureux de pouvoir rentrer parce que ça a pété fort. Très fort. »
Si tout se passe correctement, la délégation des 34 pèlerins polynésiens devrait atterrir ce dimanche soir à l’aéroport de Tahiti Faa’a.