Tahiti, le 20 octobre 2020 - Un accord a été trouvé entre A Ti'a i Mua et la direction de la Banque de Tahiti, après le dépôt d'un préavis de grève dénonçant le harcèlement d'une employée de l'agence de Uturoa.
La confédération de A ti i mua ainsi que la direction de la Banque de Tahiti se sont réunies ce mardi. Selon nos informations, les négociations ont duré quatre heures, et seul le directeur des ressources humaines était présent. "Le directeur général n'a même pas daigné participer aux négociations", ont tancé les représentants syndicaux à l'issue de la réunion. La direction de la Banque et la confédération ont néanmoins réussi à trouver un accord, ont confirmé les syndicalistes. Selon eux, la direction leur a demandé de leur accorder du temps pour "mener à terme leur enquête et prendre des décisions fermes". Ainsi, d'un commun accord, un protocole de fin de conflit a été signé et tous doivent se revoir vendredi afin de confirmer ou non le départ du directeur de l'agence de Uturoa. Point central du préavis "pour que notre collègue de Raiatea puisse travailler dans des conditions sereines", rappelle A Ti'a i mua. "On n'a pas de certitudes pour l'heure malheureusement", regrette le délégué syndical de la confédération, Cyril Boiron, qui explique que le syndicat a tout de même signé un protocole de fin de conflit pour démontrer à la direction qu'il jouait la carte des négociations. "On est là pour trouver des solutions ensemble et c'est ce qu'on a fait".
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