"Cette mesure rend notre destination plus attrayante pour les compagnies, conduit à une augmentation du nombre de jours d’escale dans nos eaux, et permet d’ouvrir de nouvelles opportunités aux réceptifs locaux pour organiser des évènements nocturnes, des festivals, des manifestations culturelles ou des circuits touristiques", indique un communiqué du Conseil des ministres.
PAPEETE, le 28 décembre 2018 - Le Conseil des ministres a acté ce vendredi la poursuite des activités de casinos à bord des navires de croisière étrangers dans les eaux territoriales pour l'année 2019. Cette mesure, prise annuellement depuis 2014, conduit ces navires à ne plus quitter leur amarrage rapidement, et à demeurer plus longuement en escale au fenua.
Les dispositions de l’article 29 de la loi de février 2004 complétant le statut d’autonomie de la Polynésie française, et reprises dans le code de la sécurité intérieure, disposent que "les navires de commerce transporteurs de passagers n’assurant pas de lignes régulières immatriculés au registre de la Polynésie française peuvent être autorisés à ouvrir un casino ou une salle réservée aux jeux de hasard, sous réserve que l’accès en soit limité aux passagers titulaires d’un titre régulier".
Aussi, en l’état actuel du droit, le Pays autorise, par le biais d’un arrêté pris en Conseil des ministres, la poursuite de l’activité d’un casino à bord des navires de commerce transporteurs de passagers, n’assurant pas de lignes régulières et immatriculés hors de la Polynésie française lorsqu’ils sont dans les eaux délimitées comme territoriales ou intérieures, à l’amarrage ou à quai.
À cet effet, il est permis aux navires de ne pas attendre d’être dans les eaux internationales ou, a minima, de n’être plus à l’amarrage ou à quai, pour ouvrir leurs casinos. Cette mesure, prise annuellement depuis 2014, conduit ces navires à ne plus quitter leur amarrage rapidement, et à demeurer plus longuement en escale, économisant ainsi sur les coûts de carburant de la compagnie, et offrant aux prestataires et commerçants de l’île d’accueil le bénéfice d'une présence prolongées des passagers et équipages à terre et, pour ce qui concerne le Port Autonome de Papeete, de recettes importantes. Cet arrêté est par ailleurs soutenu par les opérateurs et agents maritimes locaux. Il représente notamment un gage de confiance et de continuité à l'égard des compagnies internationales de croisière.
Le communiqué du Conseil des ministres indique par ailleurs que, "cette mesure rend notre destination plus attrayante pour les compagnies, conduit à une augmentation du nombre de jours d’escale dans nos eaux, et permet d’ouvrir de nouvelles opportunités aux réceptifs locaux pour organiser des évènements nocturnes, des festivals, des manifestations culturelles ou des circuits touristiques."
Les dispositions de l’article 29 de la loi de février 2004 complétant le statut d’autonomie de la Polynésie française, et reprises dans le code de la sécurité intérieure, disposent que "les navires de commerce transporteurs de passagers n’assurant pas de lignes régulières immatriculés au registre de la Polynésie française peuvent être autorisés à ouvrir un casino ou une salle réservée aux jeux de hasard, sous réserve que l’accès en soit limité aux passagers titulaires d’un titre régulier".
Aussi, en l’état actuel du droit, le Pays autorise, par le biais d’un arrêté pris en Conseil des ministres, la poursuite de l’activité d’un casino à bord des navires de commerce transporteurs de passagers, n’assurant pas de lignes régulières et immatriculés hors de la Polynésie française lorsqu’ils sont dans les eaux délimitées comme territoriales ou intérieures, à l’amarrage ou à quai.
À cet effet, il est permis aux navires de ne pas attendre d’être dans les eaux internationales ou, a minima, de n’être plus à l’amarrage ou à quai, pour ouvrir leurs casinos. Cette mesure, prise annuellement depuis 2014, conduit ces navires à ne plus quitter leur amarrage rapidement, et à demeurer plus longuement en escale, économisant ainsi sur les coûts de carburant de la compagnie, et offrant aux prestataires et commerçants de l’île d’accueil le bénéfice d'une présence prolongées des passagers et équipages à terre et, pour ce qui concerne le Port Autonome de Papeete, de recettes importantes. Cet arrêté est par ailleurs soutenu par les opérateurs et agents maritimes locaux. Il représente notamment un gage de confiance et de continuité à l'égard des compagnies internationales de croisière.
Le communiqué du Conseil des ministres indique par ailleurs que, "cette mesure rend notre destination plus attrayante pour les compagnies, conduit à une augmentation du nombre de jours d’escale dans nos eaux, et permet d’ouvrir de nouvelles opportunités aux réceptifs locaux pour organiser des évènements nocturnes, des festivals, des manifestations culturelles ou des circuits touristiques."