PAPEETE, le 10 janvier 2017 - Le secrétariat général de l’Organisation des Nations unies vient de changer. Le Portugais António Guterres a pris le poste du Sud-coréen Ban Ki-Moon le 1er janvier dernier. L’occasion d’y voir plus clair sur cette organisation internationale qui regroupe, à quelques exceptions près, tous les pays de la terre.
António Guterres est l’ancien premier ministre du Portugal. Depuis le 1er janvier, il a remplacé Ban Ki-Moon au secrétariat général de l’Organisation des Nations unies (ONU). Il a été nommé pour cinq ans et devra, comme son prédécesseur, faire en sorte que l’organisation fonctionne bien. Ce n’est pas lui le chef. Même si sa parole compte, ce sont les pays membres qui décident des actions de l’ONU.
Le gendarme du monde….
Les actions de l’ONU vont toutes dans le sens de la paix. Cette organisation, parfois surnommée le gendarme du monde, peut envoyer une armée composée de "casques bleus" sur une zone de conflit. Ces casques bleus, qui sont en fait des militaires issus des pays membres de l’ONU, ont pour mission de protéger les populations et de participer au retour de la paix. Ils ne sont pas envoyés pour se battre. Par exemple, ils peuvent confisquer les armes des combattants.
L’Organisation des Nations unies est née au sortir de la guerre 39-45, le 24 octobre 1945 très précisément lorsque la charte des Nations unies signée le 26 juin 1945 est entrée en vigueur. Elle est venue remplacer la Société des nations (SDN) qui avait échoué dans son rôle de maintient de la paix.
Pour faire partie de l’ONU il faut avoir le statut d’État reconnu. Sur les 197 États reconnus, 193 sont membres de l’ONU. Les quatre États reconnus mais non membres sont : le Vatican, la Palestine, les îles Cook et Niue.
… mais pas que
Le siège de l’ONU est à New York, aux États-Unis. Ses actions ne consistent pas seulement à envoyer des casques bleus en zone de guerre. Elles sont très diversifiées car l’Unesco, l’Unicef, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ou bien encore le Fonds monétaire international (FMI) dépendent de l’ONU.
L’organisation fonctionne avec un conseil de sécurité composé de quinze membres. Cinq sont des membres permanents, ils disposent d’un droit de véto. Ce sont les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Unis. Les dix autres sont en place pour deux ans.
António Guterres est l’ancien premier ministre du Portugal. Depuis le 1er janvier, il a remplacé Ban Ki-Moon au secrétariat général de l’Organisation des Nations unies (ONU). Il a été nommé pour cinq ans et devra, comme son prédécesseur, faire en sorte que l’organisation fonctionne bien. Ce n’est pas lui le chef. Même si sa parole compte, ce sont les pays membres qui décident des actions de l’ONU.
Le gendarme du monde….
Les actions de l’ONU vont toutes dans le sens de la paix. Cette organisation, parfois surnommée le gendarme du monde, peut envoyer une armée composée de "casques bleus" sur une zone de conflit. Ces casques bleus, qui sont en fait des militaires issus des pays membres de l’ONU, ont pour mission de protéger les populations et de participer au retour de la paix. Ils ne sont pas envoyés pour se battre. Par exemple, ils peuvent confisquer les armes des combattants.
L’Organisation des Nations unies est née au sortir de la guerre 39-45, le 24 octobre 1945 très précisément lorsque la charte des Nations unies signée le 26 juin 1945 est entrée en vigueur. Elle est venue remplacer la Société des nations (SDN) qui avait échoué dans son rôle de maintient de la paix.
Pour faire partie de l’ONU il faut avoir le statut d’État reconnu. Sur les 197 États reconnus, 193 sont membres de l’ONU. Les quatre États reconnus mais non membres sont : le Vatican, la Palestine, les îles Cook et Niue.
… mais pas que
Le siège de l’ONU est à New York, aux États-Unis. Ses actions ne consistent pas seulement à envoyer des casques bleus en zone de guerre. Elles sont très diversifiées car l’Unesco, l’Unicef, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ou bien encore le Fonds monétaire international (FMI) dépendent de l’ONU.
L’organisation fonctionne avec un conseil de sécurité composé de quinze membres. Cinq sont des membres permanents, ils disposent d’un droit de véto. Ce sont les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Unis. Les dix autres sont en place pour deux ans.