Le GIE Tahiti Tourisme a organisé mardi à Paris son workshop, le « Rendez-Vous Tahiti et ses îles », à l’attention des principaux marchés européens.
Réunis dans les salons de l’Association France-Amériques, à proximité de l’avenue des Champs-Elysées, les acteurs du tourisme polynésien ont rencontré durant toute la journée, les tour-opérateurs français, suisses et belges.
A cette occasion, le Directeur général, Teva Janicaud a notamment présenté les grandes orientations stratégiques de Tahiti Tourisme pour 2011, en particulier pour la métropole.
« Avec 39 000 visiteurs en 2010, la France reste prioritaire pour nous. Nous avons donc maintenu le même budget cette année » a indiqué Teva Janicaud. Une baisse de fréquentation a été constatée sur ce marché, le deuxième après les Etats-Unis.
Afin de renforcer la position de la Polynésie en Europe, il a été décidé de démarquer la destination de ses concurrents, tels les Maldives et les Seychelles, qui elles aussi ont misé sur l’attrait des bungalows sur l’eau et se veulent destinations lune de miel.
« Nous avons décidé de positionner nos campagnes de communication sur l’identité polynésienne. Ce qui fait la différence chez nous, c’est l’accueil des gens, le mode de vie, et pas seulement les beaux paysages » a précisé Teva Janicaud.
Miser sur le web
Dans cette perspective, Tahiti Tourisme a prévu de renforcer sa présence sur internet.
« C’est aujourd’hui un mode de communication beaucoup plus impactant que les outils d’information traditionnels » a estimé Teva Janicaud.
La plateforme web du GIE est en cours de refonte. Les premiers sites devraient sortir en phase pilote dès le mois d’avril.
Ils proposeront aux internautes de nouvelles fonctionnalités permettant de faciliter la compréhension et la vente de la destination.
En outre, les tour-opérateurs auront la possibilité de mettre en ligne leurs offres.
Un référentiel qualité pour les pensions de famille
Concernant la promotion des pensions de famille, Teva Janicaud a insisté sur l’importance de proposer aux touristes un référentiel de qualité fiable.
« Le classement qui existe est plutôt administratif. C’est nécessaire, mais nous avons choisi de travailler sur un classement complémentaire, qualitatif, qui permettra aux visiteurs de nos principaux marchés, la France, l’Allemagne, la Nouvelle-Zélande et l’Italie, de faire leur choix en toute connaissance de cause » a-t-il expliqué.
Teva Janicaud a, par ailleurs, détaillé les principales orientations stratégiques qui seront développées lors des trois prochaines années. Parmi elles, la promotion des niches de marché (nautisme, croisière, plongée), le soutien à la production audiovisuelle, ou encore la valorisation à l’international des grands évènements polynésiens (Hawaiki nui, Heiva, Marathon de Moorea).
« Le contexte économique actuel nous oblige à penser les choses différemment et remettre à plat notre façon de fonctionner. Notre nouveau positionnement en est une preuve et nous irons ensuite plus loin dans notre manière de communiquer » a conclu Teva Janicaud.
« Les changements doivent être progressifs pour ne pas déstabiliser nos marchés » a-t-il toutefois précisé.
Réunis dans les salons de l’Association France-Amériques, à proximité de l’avenue des Champs-Elysées, les acteurs du tourisme polynésien ont rencontré durant toute la journée, les tour-opérateurs français, suisses et belges.
A cette occasion, le Directeur général, Teva Janicaud a notamment présenté les grandes orientations stratégiques de Tahiti Tourisme pour 2011, en particulier pour la métropole.
« Avec 39 000 visiteurs en 2010, la France reste prioritaire pour nous. Nous avons donc maintenu le même budget cette année » a indiqué Teva Janicaud. Une baisse de fréquentation a été constatée sur ce marché, le deuxième après les Etats-Unis.
Afin de renforcer la position de la Polynésie en Europe, il a été décidé de démarquer la destination de ses concurrents, tels les Maldives et les Seychelles, qui elles aussi ont misé sur l’attrait des bungalows sur l’eau et se veulent destinations lune de miel.
« Nous avons décidé de positionner nos campagnes de communication sur l’identité polynésienne. Ce qui fait la différence chez nous, c’est l’accueil des gens, le mode de vie, et pas seulement les beaux paysages » a précisé Teva Janicaud.
Miser sur le web
Dans cette perspective, Tahiti Tourisme a prévu de renforcer sa présence sur internet.
« C’est aujourd’hui un mode de communication beaucoup plus impactant que les outils d’information traditionnels » a estimé Teva Janicaud.
La plateforme web du GIE est en cours de refonte. Les premiers sites devraient sortir en phase pilote dès le mois d’avril.
Ils proposeront aux internautes de nouvelles fonctionnalités permettant de faciliter la compréhension et la vente de la destination.
En outre, les tour-opérateurs auront la possibilité de mettre en ligne leurs offres.
Un référentiel qualité pour les pensions de famille
Concernant la promotion des pensions de famille, Teva Janicaud a insisté sur l’importance de proposer aux touristes un référentiel de qualité fiable.
« Le classement qui existe est plutôt administratif. C’est nécessaire, mais nous avons choisi de travailler sur un classement complémentaire, qualitatif, qui permettra aux visiteurs de nos principaux marchés, la France, l’Allemagne, la Nouvelle-Zélande et l’Italie, de faire leur choix en toute connaissance de cause » a-t-il expliqué.
Teva Janicaud a, par ailleurs, détaillé les principales orientations stratégiques qui seront développées lors des trois prochaines années. Parmi elles, la promotion des niches de marché (nautisme, croisière, plongée), le soutien à la production audiovisuelle, ou encore la valorisation à l’international des grands évènements polynésiens (Hawaiki nui, Heiva, Marathon de Moorea).
« Le contexte économique actuel nous oblige à penser les choses différemment et remettre à plat notre façon de fonctionner. Notre nouveau positionnement en est une preuve et nous irons ensuite plus loin dans notre manière de communiquer » a conclu Teva Janicaud.
« Les changements doivent être progressifs pour ne pas déstabiliser nos marchés » a-t-il toutefois précisé.
