Nouméa, France | AFP | vendredi 07/09/2018 - Laurent Wauquiez, président des Républicains (LR), est attendu dimanche en Nouvelle-Calédonie, dans le cadre de la campagne pour le référendum du 4 novembre sur l'indépendance, a indiqué vendredi le parti.
Le but de la visite est de "rappeler l'attachement à l'Outre-mer et de rappeler que LR est pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la République", a expliqué l'entourage de M. Wauquiez.
"Il vient pour dire que notre famille politique est attachée à la Nouvelle-Calédonie française", a renchéri Pierre Frogier, sénateur LR et président localement du Rassemblement-LR.
Laurent Wauquiez, qui sera accompagné d'Eric Ciotti, député LR, entamera son séjour dimanche par un déplacement au marché de Nouméa à la rencontre de la population, qui jusqu'alors ne témoigne pas d'un intérêt débordant pour ce scrutin, annoncé nettement perdu par les indépendantistes dans les derniers sondages.
M. Ciotti avait qualifié de "faute majeure" le fait qu'Emmanuel Macron, en déplacement dans l'archipel le 5 mai, n'avait pas pris parti pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la République française. Mais "la France ne serait pas la même sans la Nouvelle-Calédonie", avait cependant précisé le chef de l’État.
Le programme de la visite prévoit des entretiens avec l'ensemble des groupes politiques indépendantistes et non indépendantistes. En Nouvelle-Calédonie, où la droite est fractionnée, le Rassemblement-LR est officiellement affilié au parti de Laurent Wauquiez tandis que plusieurs responsables du parti Les Républicains calédoniens en sont adhérents.
Mardi soir, le patron des Républicains participera à un dîner-débat avec des jeunes Calédoniens avant d'animer une réunion publique le lendemain, dans un hôtel du bord de mer.
Son déplacement sur le Caillou sera également marqué par la visite d'entreprises, d'une mine de nickel et d'une rencontre avec le Sénat coutumier, où siègent des représentants des autorités traditionnelles kanak.
Le 4 novembre, à l'issue du processus de décolonisation de l'accord de Nouméa (1998), les électeurs calédoniens seront appelés, lors d'un référendum, à répondre à cette question : "Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ?"
Le but de la visite est de "rappeler l'attachement à l'Outre-mer et de rappeler que LR est pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la République", a expliqué l'entourage de M. Wauquiez.
"Il vient pour dire que notre famille politique est attachée à la Nouvelle-Calédonie française", a renchéri Pierre Frogier, sénateur LR et président localement du Rassemblement-LR.
Laurent Wauquiez, qui sera accompagné d'Eric Ciotti, député LR, entamera son séjour dimanche par un déplacement au marché de Nouméa à la rencontre de la population, qui jusqu'alors ne témoigne pas d'un intérêt débordant pour ce scrutin, annoncé nettement perdu par les indépendantistes dans les derniers sondages.
M. Ciotti avait qualifié de "faute majeure" le fait qu'Emmanuel Macron, en déplacement dans l'archipel le 5 mai, n'avait pas pris parti pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la République française. Mais "la France ne serait pas la même sans la Nouvelle-Calédonie", avait cependant précisé le chef de l’État.
Le programme de la visite prévoit des entretiens avec l'ensemble des groupes politiques indépendantistes et non indépendantistes. En Nouvelle-Calédonie, où la droite est fractionnée, le Rassemblement-LR est officiellement affilié au parti de Laurent Wauquiez tandis que plusieurs responsables du parti Les Républicains calédoniens en sont adhérents.
Mardi soir, le patron des Républicains participera à un dîner-débat avec des jeunes Calédoniens avant d'animer une réunion publique le lendemain, dans un hôtel du bord de mer.
Son déplacement sur le Caillou sera également marqué par la visite d'entreprises, d'une mine de nickel et d'une rencontre avec le Sénat coutumier, où siègent des représentants des autorités traditionnelles kanak.
Le 4 novembre, à l'issue du processus de décolonisation de l'accord de Nouméa (1998), les électeurs calédoniens seront appelés, lors d'un référendum, à répondre à cette question : "Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ?"