La curieuse histoire de Thierry Fauura
France, le 29 octobre 2015. La rédaction de Tahiti Infos a été informée d’une bien curieuse histoire. Entraineur dans le club de volley ball des Herbiers depuis 5 ans, sans avis préalable, Thierry Fauura a été destitué de ses fonctions.
Il a reçu une lettre de licenciement lui demandant de quitter le vendredi pour le lundi la maison de fonction mise à sa disposition par le club, sans motif défini et surtout sans aucune concertation avec le président du club ou les adjoints.
Il possède à son actif cinq ans de bons et loyaux services, dont deux ans bénévolement. L’équipe des Herbiers a remporté plusieurs matchs importants inter-régionaux. Il n’y aura pas moyen pour Thierry de rencontrer le président pour avoir des éclaircissements sur cette décision soudaine.
Désemparé, Thierry tente d’appeler un autre club dans le sud de la France. Fort heureusement pour lui, ce dernier accepte un contrat de 10 mois. En 2 jours, avec sa petite famille composée de sa femme et de sa fille de 13 ans, Thierry déménage en donnant à qui le souhaite tous ses meubles, n’ayant pas le temps de les vendre. 10 heures de voiture plus tard, il est à Ales…
Nouvelle ville, nouveau club, il faut tout recommencer, scolariser sa fille… Ce ‘Polynésien en France’ se montre aujourd’hui profondément déçu de la tournure des évènements à l’encontre ‘de polynésiens qui portent haut les couleurs de la Polynésie, loin de leur fenua et loin de leur famille’. La fédération tahitienne de volley ball aurait ‘fait mine de ne rien entendre’.
Il a reçu une lettre de licenciement lui demandant de quitter le vendredi pour le lundi la maison de fonction mise à sa disposition par le club, sans motif défini et surtout sans aucune concertation avec le président du club ou les adjoints.
Il possède à son actif cinq ans de bons et loyaux services, dont deux ans bénévolement. L’équipe des Herbiers a remporté plusieurs matchs importants inter-régionaux. Il n’y aura pas moyen pour Thierry de rencontrer le président pour avoir des éclaircissements sur cette décision soudaine.
Désemparé, Thierry tente d’appeler un autre club dans le sud de la France. Fort heureusement pour lui, ce dernier accepte un contrat de 10 mois. En 2 jours, avec sa petite famille composée de sa femme et de sa fille de 13 ans, Thierry déménage en donnant à qui le souhaite tous ses meubles, n’ayant pas le temps de les vendre. 10 heures de voiture plus tard, il est à Ales…
Nouvelle ville, nouveau club, il faut tout recommencer, scolariser sa fille… Ce ‘Polynésien en France’ se montre aujourd’hui profondément déçu de la tournure des évènements à l’encontre ‘de polynésiens qui portent haut les couleurs de la Polynésie, loin de leur fenua et loin de leur famille’. La fédération tahitienne de volley ball aurait ‘fait mine de ne rien entendre’.