Durant cet entretien cordial, le M. Leydet a présenté l’ensemble des missions du service de l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre de Polynésie française (O.N.A.C.-V.G.) en matière de solidarité et dont l’action porte en faveur de l’ensemble des ressortissants de l’Office à savoir :
- les anciens combattants titulaires de la carte du combattant ;
- les titulaire du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les invalides pensionnés de guerre ;
- les veuves pensionnées ou qui auraient bénéficié d’une pension militaire ;
- les veuves de titulaires de la carte du combattant ;
- les veuves de titulaires du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les veuves de bénéficiaires du Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre ;
- les prisonniers de guerre, titulaires du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les prisonniers du Vietminh, victimes de captivité en Algérie ;
- les ascendants de militaires ou civils morts pour la France ;
- les pupilles de la Nation ;
- les Harkis.
M. Leydet, qui est le directeur de la branche locale de ce service d’Etat, directement rattaché au Directeur général de l’ONAC à Paris et relevant du Secrétariat d’Etat aux anciens combattants et victimes de guerre, a rappelé que son service peut apporter des aides sociales locales, sous diverses formes, aux ressortissants polynésiens. Pour cela, il souhaiterait connaître l’ensemble des responsables de l’action sociale en Polynésie française, afin de définir conjointement la meilleure politique possible.
Par ailleurs, afin de pouvoir bénéficier de ces aides - dont l’attribution se fait dans la stricte application des règles en vigueur (niveau des ressources, utilisation de ces aides…) - les familles de ces anciens combattants doivent impérativement s’assurer que leur parent est bien inscrit aux registres du Service des anciens combattants et victimes de guerre de Polynésie française.
Le ministre a encouragé l’engagement de M. Leydet à poursuivre ces actions de solidarité, pour permettre de subvenir aux besoins médico-sociaux liés au vieillissement de ces personnes, qui jadis sont allé au combat, pour défendre les valeurs de la Nation.
- les anciens combattants titulaires de la carte du combattant ;
- les titulaire du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les invalides pensionnés de guerre ;
- les veuves pensionnées ou qui auraient bénéficié d’une pension militaire ;
- les veuves de titulaires de la carte du combattant ;
- les veuves de titulaires du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les veuves de bénéficiaires du Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre ;
- les prisonniers de guerre, titulaires du titre de reconnaissance de la Nation ;
- les prisonniers du Vietminh, victimes de captivité en Algérie ;
- les ascendants de militaires ou civils morts pour la France ;
- les pupilles de la Nation ;
- les Harkis.
M. Leydet, qui est le directeur de la branche locale de ce service d’Etat, directement rattaché au Directeur général de l’ONAC à Paris et relevant du Secrétariat d’Etat aux anciens combattants et victimes de guerre, a rappelé que son service peut apporter des aides sociales locales, sous diverses formes, aux ressortissants polynésiens. Pour cela, il souhaiterait connaître l’ensemble des responsables de l’action sociale en Polynésie française, afin de définir conjointement la meilleure politique possible.
Par ailleurs, afin de pouvoir bénéficier de ces aides - dont l’attribution se fait dans la stricte application des règles en vigueur (niveau des ressources, utilisation de ces aides…) - les familles de ces anciens combattants doivent impérativement s’assurer que leur parent est bien inscrit aux registres du Service des anciens combattants et victimes de guerre de Polynésie française.
Le ministre a encouragé l’engagement de M. Leydet à poursuivre ces actions de solidarité, pour permettre de subvenir aux besoins médico-sociaux liés au vieillissement de ces personnes, qui jadis sont allé au combat, pour défendre les valeurs de la Nation.
