Dans le cadre d’une autosaisine du CESE portant sur « les énergies renouvelables en Outre-mer, une ressource nationale », une délégation composée de messieurs Michel PAOLETTI, Laurent FUENTES et Fabrice BERGERON est à pied d’œuvre pour répertorier tout ce qui se fait sur le fenua en matière d’énergies renouvelables solaires, maritimes, éoliennes et autres.
Le développement des ressources énergétiques locales est un impératif incontournable pour un développement durable, et l’outre-mer est un acteur majeur en la matière. Elle fait figure de vitrine du monde en terme de savoir-faire technologique tant sur le plan expérimental qu’opérationnel.
Il convient de dresser un catalogue de l’existant de chaque collectivité avant de voir comment optimiser et exporter ces technologies qui peuvent intéresser autant les collectivités situées à proximité ou aux environnements comparables que la métropole.
À Tahiti, la couverture énergétique de l’île peut être satisfaite à hauteur de 50% de ses besoins par l’électricité hydraulique. De nombreux petits projets d’installations solaires sont en attente. A ce propos, la réglementation ne semble pas favoriser la création de grandes fermes solaires, mais plutôt de développer les petites installations privées. Quant à l’éolienne, cette technologie ne semble pas appropriée aux conditions météorologiques existantes. Par ailleurs, plusieurs projets utilisant le procédé de méthanisation devraient voir le jour et intéresseront la production de compost, de substituts de phosphate, etc.
En matière d’énergies renouvelables, la Polynésie française possède de nombreux savoir-faire qui la place au devant de certaines collectivités ultramarines.
Le rapport final du Conseil économique, social et environnemental devrait être rendu entre avril et juin 2011 et déclinera ses recommandations par collectivité. L’une des recommandations envisagées porterait sur la prise en compte des projets de climatisation par les eaux de mer profondes (dit système SWAC) dans le champ d’application de la défiscalisation.
Madame RAOULX n’a pas manqué d‘évoquer le projet du CESC d’installer des panneaux photovoltaïques sur la toiture de son bâtiment. Ce projet est actuellement au stade d’étude de faisabilité.
La Polynésie française constitue la première étape de leurs visites en Outre-mer qui les mèneront notamment aux Antilles françaises (Guadeloupe, Martinique, Saint Barthélémy, Saint Martin) et à la Réunion.
Le développement des ressources énergétiques locales est un impératif incontournable pour un développement durable, et l’outre-mer est un acteur majeur en la matière. Elle fait figure de vitrine du monde en terme de savoir-faire technologique tant sur le plan expérimental qu’opérationnel.
Il convient de dresser un catalogue de l’existant de chaque collectivité avant de voir comment optimiser et exporter ces technologies qui peuvent intéresser autant les collectivités situées à proximité ou aux environnements comparables que la métropole.
À Tahiti, la couverture énergétique de l’île peut être satisfaite à hauteur de 50% de ses besoins par l’électricité hydraulique. De nombreux petits projets d’installations solaires sont en attente. A ce propos, la réglementation ne semble pas favoriser la création de grandes fermes solaires, mais plutôt de développer les petites installations privées. Quant à l’éolienne, cette technologie ne semble pas appropriée aux conditions météorologiques existantes. Par ailleurs, plusieurs projets utilisant le procédé de méthanisation devraient voir le jour et intéresseront la production de compost, de substituts de phosphate, etc.
En matière d’énergies renouvelables, la Polynésie française possède de nombreux savoir-faire qui la place au devant de certaines collectivités ultramarines.
Le rapport final du Conseil économique, social et environnemental devrait être rendu entre avril et juin 2011 et déclinera ses recommandations par collectivité. L’une des recommandations envisagées porterait sur la prise en compte des projets de climatisation par les eaux de mer profondes (dit système SWAC) dans le champ d’application de la défiscalisation.
Madame RAOULX n’a pas manqué d‘évoquer le projet du CESC d’installer des panneaux photovoltaïques sur la toiture de son bâtiment. Ce projet est actuellement au stade d’étude de faisabilité.
La Polynésie française constitue la première étape de leurs visites en Outre-mer qui les mèneront notamment aux Antilles françaises (Guadeloupe, Martinique, Saint Barthélémy, Saint Martin) et à la Réunion.