Deux objectifs ont été assignés à cette mission d’expertise constituant la première phase d’élaboration du contrat de redynamisation de site de défense (CRSD) :
- l’étude des impacts sociaux et territoriaux de la restructuration des 7 sites sur les 6 communes concernées (Faaa, Papeete, Pirae, Arue, Taravao, Mahina) ;
- l’étude d’identification des filières créatrices d’emploi pour l’île de Tahiti.
Quelques chiffres-clés : 83 sites supprimés à partir de 2009, déménagements de 33 sites, réduction de 7 emprises militaires existantes, 900 personnels militaires et civils en moins.
Dans une seconde phase, ces experts aideront les acteurs du pays concernés par le désengagement des forces armées à identifier leurs projets macro-économiques.
Pour ce contrat de redynamisation des sites militaires, l’État disposera d’une enveloppe de 6 millions d’euros. La rétrocession des terrains militaires se fera au franc symbolique.
Une première rencontre s’était tenue au Haut-Commissariat le 16 juin dernier réunissant toutes les autorités militaires, institutionnelles et communales. La feuille de route de la SOFRED était alors portée à l’information de tous.
Madame RAOULX a évoqué, entre autres, les problèmes du port de Faratea faisant obstacle à la délocalisation de certaines activités industrielles situées notamment au port de Papeete, l’insuffisance d’atelier-relais mis à la disposition des jeunes entreprises par la CCISM, l’émergence de projets liés à l’économie numérique et aux énergies renouvelables.
- l’étude des impacts sociaux et territoriaux de la restructuration des 7 sites sur les 6 communes concernées (Faaa, Papeete, Pirae, Arue, Taravao, Mahina) ;
- l’étude d’identification des filières créatrices d’emploi pour l’île de Tahiti.
Quelques chiffres-clés : 83 sites supprimés à partir de 2009, déménagements de 33 sites, réduction de 7 emprises militaires existantes, 900 personnels militaires et civils en moins.
Dans une seconde phase, ces experts aideront les acteurs du pays concernés par le désengagement des forces armées à identifier leurs projets macro-économiques.
Pour ce contrat de redynamisation des sites militaires, l’État disposera d’une enveloppe de 6 millions d’euros. La rétrocession des terrains militaires se fera au franc symbolique.
Une première rencontre s’était tenue au Haut-Commissariat le 16 juin dernier réunissant toutes les autorités militaires, institutionnelles et communales. La feuille de route de la SOFRED était alors portée à l’information de tous.
Madame RAOULX a évoqué, entre autres, les problèmes du port de Faratea faisant obstacle à la délocalisation de certaines activités industrielles situées notamment au port de Papeete, l’insuffisance d’atelier-relais mis à la disposition des jeunes entreprises par la CCISM, l’émergence de projets liés à l’économie numérique et aux énergies renouvelables.