PAPEETE, le 9 janvier 2019 - Le ministre de l’Economie verte a présenté une communication sur les conditions d’importation de crevettes et sur la réglementation sanitaire. Dans le cadre du développement de nos filières aquacoles, et notamment de la crevette, la Polynésie française a investi financièrement et techniquement depuis de nombreuses années pour soutenir cette production et les acteurs privés du secteur.
La Polynésie française étant indemne de maladies déclarées sur notre variété de crevette, la réglementation sanitaire a régulièrement évolué afin de se prémunir au mieux de tous risques d’introduction de maladies ou d’agents pathogènes.
Ainsi, un arrêté de septembre 2017 a relevé la niveau de protection sanitaire et les garanties préalables déclaratives, nécessaires avant toute importation de crevette provenant de pays non indemnes de maladies. Le statut de protection de la Polynésie française est au même niveau que l’Australie et la Nouvelle-Zélande concernant les crustacés.
Toutefois, le risque zéro d’introduction de maladies ou d’agents pathogènes de la crevette n’existe pas, l’émergence de nouvelles maladies étant possible et dans des délais plus rapides que la mise à jour des réglementations.
Afin de conserver le statut de la Polynésie française, en tant que territoire indemne de maladies pour les crevettes, et dans le contexte du développement de cette filière en Polynésie, il est donc envisagé de légiférer pour une interdiction totale de crevettes, sous leur forme crue, a minima.
La Polynésie française étant indemne de maladies déclarées sur notre variété de crevette, la réglementation sanitaire a régulièrement évolué afin de se prémunir au mieux de tous risques d’introduction de maladies ou d’agents pathogènes.
Ainsi, un arrêté de septembre 2017 a relevé la niveau de protection sanitaire et les garanties préalables déclaratives, nécessaires avant toute importation de crevette provenant de pays non indemnes de maladies. Le statut de protection de la Polynésie française est au même niveau que l’Australie et la Nouvelle-Zélande concernant les crustacés.
Toutefois, le risque zéro d’introduction de maladies ou d’agents pathogènes de la crevette n’existe pas, l’émergence de nouvelles maladies étant possible et dans des délais plus rapides que la mise à jour des réglementations.
Afin de conserver le statut de la Polynésie française, en tant que territoire indemne de maladies pour les crevettes, et dans le contexte du développement de cette filière en Polynésie, il est donc envisagé de légiférer pour une interdiction totale de crevettes, sous leur forme crue, a minima.