Suite à leur rencontre avec le président Oscar Temaru, son vice-président Antony Geros et le ministre de l'économie, Pierre Frebault, mardi en fin d'après-midi, les salariés de la société SMPP Sogeba affichaient un peu plus d'optimisme mercredi matin. Si le camion stationné depuis lundi sur une voie de l'avenue du Général de Gaulle n'a toujours pas été déplacé, celui qui bloquait l'entrée principale de la Présidence a en revanche été enlevé.
"Une autre rencontre doit avoir lieu cet après-midi, mais on n'en sait pas plus pour le moment" explique Maeva Lambert, représentante des cadres de la SMPP Sogeba. Mardi soir, les deux parties auraient donc enfin commencé un dialogue un peu constructif, malgré le communiqué envoyé peu avant par la Présidence "SMPP : Du temps pour bloquer, mais injoignables pour négocier", qui accusait la direction de SMPP Sogeba d'être "aux abonnés absents" depuis vendredi dernier.
La SMPP Sogeba, qui avait été employée par le Pays sur le chantier du nouvel hôpital, réclame 3,5 milliards en réglement de ses frais d'immobilisation, une somme que le gouvernement d'Oscar Temaru refuse de payer.
"Une autre rencontre doit avoir lieu cet après-midi, mais on n'en sait pas plus pour le moment" explique Maeva Lambert, représentante des cadres de la SMPP Sogeba. Mardi soir, les deux parties auraient donc enfin commencé un dialogue un peu constructif, malgré le communiqué envoyé peu avant par la Présidence "SMPP : Du temps pour bloquer, mais injoignables pour négocier", qui accusait la direction de SMPP Sogeba d'être "aux abonnés absents" depuis vendredi dernier.
La SMPP Sogeba, qui avait été employée par le Pays sur le chantier du nouvel hôpital, réclame 3,5 milliards en réglement de ses frais d'immobilisation, une somme que le gouvernement d'Oscar Temaru refuse de payer.
A gauche, Robert Bernut, dirigeant de la SMPP Sogeba
