Tahiti, le 18 décembre 2020 - Par voie de communiqué, Oscar Temaru apporte officiellement son soutien au "peuple kanak" dans le conflit sur la reprise de l'usine de Vale, en Nouvelle-Calédonie. Le leader indépendantiste défend notamment "le droit de souveraineté (...) inaliénable sur l'ensemble des ressources minières et stratégiques."
« L’Etat et la Province Sud doivent savoir que l’Union Calédonienne ne lâchera rien sur ce dossier » prévient Daniel Goa, dans une lettre de 11 pages rappelant la position de son parti sur le dossier de revente de l'usine du Sud. Alors que le président de l'Union calédonienne leur demande de "revenir sur le soutien qu’ils apportent au projet Beurrier/Trafigura, de stopper le processus de rachat en cours" en attendant "qu’une solution plus juste et plus durable soit trouvée,'" Oscar Temaru s'est fendu d'un communiqué de soutien à ses homologues indépendantistes.
"Le peuple Kanak a posé les préalables non-négociables à cette reprise" écrit le président du tavini soutenant également "le principe selon lequel le peuple kanak dispose d'un droit inaliénable sur l'ensemble des ressources minières et stratégiques de kanaky."
Le tavini rappelle "qu'il ne faut pas confondre intérêts financiers, enjeux économiques, suprématie industrielle ou intérêts privés, avec le droit de souveraineté du peuple kanak sur ses ressources naturelles, qu'elles soient minières, maritimes, atmosphériques et stratégiques." Un droit de souveraineté "inaliénable."
« L’Etat et la Province Sud doivent savoir que l’Union Calédonienne ne lâchera rien sur ce dossier » prévient Daniel Goa, dans une lettre de 11 pages rappelant la position de son parti sur le dossier de revente de l'usine du Sud. Alors que le président de l'Union calédonienne leur demande de "revenir sur le soutien qu’ils apportent au projet Beurrier/Trafigura, de stopper le processus de rachat en cours" en attendant "qu’une solution plus juste et plus durable soit trouvée,'" Oscar Temaru s'est fendu d'un communiqué de soutien à ses homologues indépendantistes.
"Le peuple Kanak a posé les préalables non-négociables à cette reprise" écrit le président du tavini soutenant également "le principe selon lequel le peuple kanak dispose d'un droit inaliénable sur l'ensemble des ressources minières et stratégiques de kanaky."
Le tavini rappelle "qu'il ne faut pas confondre intérêts financiers, enjeux économiques, suprématie industrielle ou intérêts privés, avec le droit de souveraineté du peuple kanak sur ses ressources naturelles, qu'elles soient minières, maritimes, atmosphériques et stratégiques." Un droit de souveraineté "inaliénable."