PAPEETE, le 1er mars 2019. « Le dossier du ‘ori tahiti aura une autre chance ! », assure Annick Girardin. « Le dossier a été retenu parmi les quatre finalistes, ce qui démontre qu’il est de qualité. »
Le 1er février, le président de la République a annoncé qu'il défendra le dossier de la yole martiniquaise à l’inscription sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, refusant au passage la candidature du 'ori tahiti. « Le dossier du ‘ori tahiti aura une autre chance ! », assure Annick Girardin « La France ne peut présenter qu’un dossier par an et choisir, c’est forcément créer une déception chez ceux qui ne sont pas retenus. Mais c’est aussi l’opportunité d’approfondir le dossier, de le compléter, et de se donner toutes les chances de convaincre non seulement le ministère de la Culture français, mais surtout les instances de l’Unesco. Le dossier a été retenu parmi les quatre finalistes, ce qui démontre qu’il est de qualité. »
Après l'inscription du marae Taputapuātea au patrimoine mondial de l'Unesco en juillet 2017, la proposition d'inscription a été validée pour neuf sites des Marquises en avril 2018. « La Commission nationale des biens français a validé en 2018 la première étape du dossier des îles Marquises et transmis à la Polynésie française les recommandations de ses experts », explique Annick Girardin. « Il faut noter que la catégorie des 'biens mixtes', soit un site naturel et culturel, est peu représentée au sein de la liste actuelle de l’Unesco et fait partie des priorités. Il y a donc une opportunité à saisir. »
« L’Etat a dédié un fonctionnaire, placé auprès du haut-commissaire, au soutien de la préparation du dossier », ajoute la ministre des Outre-mer. « Celle-ci avance. Les prochaines étapes porteront notamment sur les limites du bien et l’analyse comparative avec d’autres biens classés. »
Le 1er février, le président de la République a annoncé qu'il défendra le dossier de la yole martiniquaise à l’inscription sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco, refusant au passage la candidature du 'ori tahiti. « Le dossier du ‘ori tahiti aura une autre chance ! », assure Annick Girardin « La France ne peut présenter qu’un dossier par an et choisir, c’est forcément créer une déception chez ceux qui ne sont pas retenus. Mais c’est aussi l’opportunité d’approfondir le dossier, de le compléter, et de se donner toutes les chances de convaincre non seulement le ministère de la Culture français, mais surtout les instances de l’Unesco. Le dossier a été retenu parmi les quatre finalistes, ce qui démontre qu’il est de qualité. »
Après l'inscription du marae Taputapuātea au patrimoine mondial de l'Unesco en juillet 2017, la proposition d'inscription a été validée pour neuf sites des Marquises en avril 2018. « La Commission nationale des biens français a validé en 2018 la première étape du dossier des îles Marquises et transmis à la Polynésie française les recommandations de ses experts », explique Annick Girardin. « Il faut noter que la catégorie des 'biens mixtes', soit un site naturel et culturel, est peu représentée au sein de la liste actuelle de l’Unesco et fait partie des priorités. Il y a donc une opportunité à saisir. »
« L’Etat a dédié un fonctionnaire, placé auprès du haut-commissaire, au soutien de la préparation du dossier », ajoute la ministre des Outre-mer. « Celle-ci avance. Les prochaines étapes porteront notamment sur les limites du bien et l’analyse comparative avec d’autres biens classés. »