Ils découvrent dans les bagages d'un passager originaire de l'île de Huahine venu chercher un emploi à Tahiti, 273g de pakalolo, conditionné en 75 boîtes d'allumettes, ainsi que 2 grammes de résine de cannabis d'une valeur globale de 283 000 XPF sur le marché illicite. L'herbe et la résine de cannabis, achetées selon les déclarations de l'infracteur pour 50 000 XPF à un inconnu étaient destinées à sa consommation personnelle ou à la revente s'il ne trouvait pas d'emploi.
Remis à un OPJ de la DSP, il répondra de ses actes devant le tribunal de Papeete pour l'infraction douanière et celle de droit commun.
Si la découverte de pakalolo, à l'arrivée des goélettes inter-îles, est devenue habituelle pour les agents des douanes de la direction de Polynésie française, une saisie insolite au Fenua est intervenue le lendemain, dans la nuit de dimanche à lundi, à l'aéroport de Tahiti-Faa'a.
Remis à un OPJ de la DSP, il répondra de ses actes devant le tribunal de Papeete pour l'infraction douanière et celle de droit commun.
Si la découverte de pakalolo, à l'arrivée des goélettes inter-îles, est devenue habituelle pour les agents des douanes de la direction de Polynésie française, une saisie insolite au Fenua est intervenue le lendemain, dans la nuit de dimanche à lundi, à l'aéroport de Tahiti-Faa'a.
14 scorpions vivants...
...enfermés dans un bocal en verre abandonné dans la poubelle des toilettes "hommes" du terminal domestique ont été découverts par les techniciennes de surface de la société POLYNET qui les ont remis à la douane. Leur saisie a été immédiatement prononcée.
En effet, au delà du risque de la mise en liberté volontaire ou accidentelle de ces arachnides venimeux se pose la question de leur éventuelle protection par la Convention de Washington.
Cette convention internationale protège les espèces en voie de disparition et en interdit l'importation, l'exportation et le commerce. Or, trois espèces dans la famille des scorpions sont aujourd'hui protégées par la Convention de Washington.
Une expertise scientifique en vue d'identifier l'espèce et l'origine exactes des scorpions a été demandée ; les 14 scorpions ont été remis au service vétérinaire de la Polynésie française.
En effet, au delà du risque de la mise en liberté volontaire ou accidentelle de ces arachnides venimeux se pose la question de leur éventuelle protection par la Convention de Washington.
Cette convention internationale protège les espèces en voie de disparition et en interdit l'importation, l'exportation et le commerce. Or, trois espèces dans la famille des scorpions sont aujourd'hui protégées par la Convention de Washington.
Une expertise scientifique en vue d'identifier l'espèce et l'origine exactes des scorpions a été demandée ; les 14 scorpions ont été remis au service vétérinaire de la Polynésie française.