Ils se sont réunis à l’appel de l’Association pour la défense des intérêts des retraités actuels et futurs de la CPS, l’ADIRAF, menée par Emile Vernier. Ces quelques retraités ont entamé lundi matin une grève de la faim, qu’ils entendent poursuivre tant qu’ils n’auront pas été entendus.
« La limite à notre mouvement, c’est la réponse de l’assemblée. Ce que j’attends c’est que l’APF s’occupe vraiment des problèmes de la population. » s’exclame Emile Vernier, un ancien instituteur, qui tente de sensibiliser les Polynésiens au problème des retraites et du déficit de la CPS. M. Vernier demande cette fois-ci à l’assemblée l’annulation de l’arrêté du 24 décembre 2010 qui fixe les taux de cotisations de la CPS en 2011. Il exige aussi une meilleure représentation des salariés et des retraités au CA de la CPS. Ses autres requêtes vont de la diminution des taxes sur les produits de grande consommation, à la mise en place d’une retraite complémentaire.
Ces retraités n’avaient toujours pas été reçus par Oscar Temaru, lundi en milieu de journée. Ils disent solliciter cet entretien depuis plus d’un mois. Emile Vernier entend donc rester devant l’assemblée, jusqu’à l’obtention d’un rendez-vous. Les manifestants ont prévu des matelas pour dormir devant l’assemblée si besoin est. « Je pense que le mouvement ne peut aller qu’en s’amplifiant », estime Emile Vernier.
« La limite à notre mouvement, c’est la réponse de l’assemblée. Ce que j’attends c’est que l’APF s’occupe vraiment des problèmes de la population. » s’exclame Emile Vernier, un ancien instituteur, qui tente de sensibiliser les Polynésiens au problème des retraites et du déficit de la CPS. M. Vernier demande cette fois-ci à l’assemblée l’annulation de l’arrêté du 24 décembre 2010 qui fixe les taux de cotisations de la CPS en 2011. Il exige aussi une meilleure représentation des salariés et des retraités au CA de la CPS. Ses autres requêtes vont de la diminution des taxes sur les produits de grande consommation, à la mise en place d’une retraite complémentaire.
Ces retraités n’avaient toujours pas été reçus par Oscar Temaru, lundi en milieu de journée. Ils disent solliciter cet entretien depuis plus d’un mois. Emile Vernier entend donc rester devant l’assemblée, jusqu’à l’obtention d’un rendez-vous. Les manifestants ont prévu des matelas pour dormir devant l’assemblée si besoin est. « Je pense que le mouvement ne peut aller qu’en s’amplifiant », estime Emile Vernier.
