Samedi 7 janvier, la gendarmerie de Papara intervient en début de soirée au domicile d'un couple pour tapage. Les militaires sont avertis par le conjoint que sa femme, âgée de 20 ans, aurait été victime d'un viol la veille au soir.
Selon ce couple, c'est en se rendant à pied à son domicile que la jeune femme aurait rencontré son agresseur. Ce dernier, un automobiliste, lui aurait proposé de la raccompagner. Il l'aurait obligé à avoir deux rapport sexuels dans la voiture, au bord de route, sur un parking et en bord de mer
.
La brigade de recherche de Papeete est sollicitée. Après les investigations et les auditions, il s'avère que la jeune femme a menti. Il n'y a jamais eu de viol. La jeune femme avait en fait passé la soirée du vendredi soir à Punaauia.
Coupable de "dénonciation mensongère à une autorité judiciaire ou administrative entrainant des recherches inutiles", l'intéressée sera convoqué au tribunal le 20 juin prochain. La gendarmerie en profite pour rappeller que toute divulgation d'information fausse de nature à provoquer l'intervention des secours peut entraîner des poursuites pénales .
Selon ce couple, c'est en se rendant à pied à son domicile que la jeune femme aurait rencontré son agresseur. Ce dernier, un automobiliste, lui aurait proposé de la raccompagner. Il l'aurait obligé à avoir deux rapport sexuels dans la voiture, au bord de route, sur un parking et en bord de mer
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La brigade de recherche de Papeete est sollicitée. Après les investigations et les auditions, il s'avère que la jeune femme a menti. Il n'y a jamais eu de viol. La jeune femme avait en fait passé la soirée du vendredi soir à Punaauia.
Coupable de "dénonciation mensongère à une autorité judiciaire ou administrative entrainant des recherches inutiles", l'intéressée sera convoqué au tribunal le 20 juin prochain. La gendarmerie en profite pour rappeller que toute divulgation d'information fausse de nature à provoquer l'intervention des secours peut entraîner des poursuites pénales .
