QUITO, 21 nov 2012 (AFP) - L'archipel équatorien des Galapagos a annoncé mercredi la découverte de tortues d'une espèce qui était réputée éteinte, depuis la mort d'un animal centenaire en juin dernier.
La disparition de "Georges le Solitaire" avait semblé sonner le glas de l'espèce "Geochelone Abigdoni", dont il était considéré comme l'unique survivant, au sein de cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 kilomètres des côtes de l'Equateur.
Mais sa mort "ne représente pas la fin de cette espèce de tortues géantes", a finalement indiqué dans un communiqué la direction du Parc national des Galapagos, à la suite d'une étude scientifique qui a mis en évidence l'existence de nouveaux spécimens.
Cette étude, réalisée avec la collaboration de l'Université américaine de Yale, "démontre l'existence de 17 tortues" de la même ascendance, après l'analyse de 1.600 échantillons, a-t-on précisé de même source.
Ces nouvelles tortues ont été découvertes sur un volcan dans l'île Isabela, qui appartient à l'archipel équatorien, tout comme l'île Pinta où est décédé "Georges le Solitaire".
L'étude, qui sera publiée prochainement dans la revue Biological Conservation, a permis d'identifer neuf femelles, trois mâles et cinq jeunes tortues, dont le sexe n'a pas encore été identifié, dotés des mêmes gènes que la tortue centenaire.
Selon l'étude, cette "découverte marque un premier pas vers la récupération de l'espèce 'Geochelone Abigdoni', à travers un programme de reproduction et d'élevage en captivité".
"Georges le Solitaire" s'était éteint de cause naturelle, après plusieurs tentatives infructueuses de reproduction, dans un centre d'élevage.
Considéré comme un symbole de la lutte pour la protection de l'écosystème, il avait été inscrit en juillet dernier par le gouvernement équatorien au patrimoine national.
Entre 30.000 et 40.000 tortues représentant une dizaine d'espèces différentes vivent dans les îles Galapagos.
Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin.
La disparition de "Georges le Solitaire" avait semblé sonner le glas de l'espèce "Geochelone Abigdoni", dont il était considéré comme l'unique survivant, au sein de cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 kilomètres des côtes de l'Equateur.
Mais sa mort "ne représente pas la fin de cette espèce de tortues géantes", a finalement indiqué dans un communiqué la direction du Parc national des Galapagos, à la suite d'une étude scientifique qui a mis en évidence l'existence de nouveaux spécimens.
Cette étude, réalisée avec la collaboration de l'Université américaine de Yale, "démontre l'existence de 17 tortues" de la même ascendance, après l'analyse de 1.600 échantillons, a-t-on précisé de même source.
Ces nouvelles tortues ont été découvertes sur un volcan dans l'île Isabela, qui appartient à l'archipel équatorien, tout comme l'île Pinta où est décédé "Georges le Solitaire".
L'étude, qui sera publiée prochainement dans la revue Biological Conservation, a permis d'identifer neuf femelles, trois mâles et cinq jeunes tortues, dont le sexe n'a pas encore été identifié, dotés des mêmes gènes que la tortue centenaire.
Selon l'étude, cette "découverte marque un premier pas vers la récupération de l'espèce 'Geochelone Abigdoni', à travers un programme de reproduction et d'élevage en captivité".
"Georges le Solitaire" s'était éteint de cause naturelle, après plusieurs tentatives infructueuses de reproduction, dans un centre d'élevage.
Considéré comme un symbole de la lutte pour la protection de l'écosystème, il avait été inscrit en juillet dernier par le gouvernement équatorien au patrimoine national.
Entre 30.000 et 40.000 tortues représentant une dizaine d'espèces différentes vivent dans les îles Galapagos.
Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin.