Tahiti, le 17 mars 2022 – La responsable éducative du centre d'hébergement d'urgence du foyer Pu O Te Hau de Pirae a été mise en examen le 15 mars dernier dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour viol sur mineure de 15 ans et violences volontaires, toujours sur mineur de 15 ans. Elle est soupçonnée d'avoir commis ces faits sur les enfants d'une femme qui était alors sa compagne.
Après l'ouverture, le 15 mars dernier, d'une information judiciaire, la responsable éducative du centre d'hébergement d'urgence du foyer Pu O Te Hau de Pirae a été mise en examen pour viol et violences volontaires sur deux mineurs de moins de 15 ans. Les faits, niés par l'intéressé, auraient eu lieu en 2014 lorsqu'elle hébergeait sa compagne qui avait été auparavant accueillie au foyer car victime de violences conjugales. C'est la fille de cette dernière qui a récemment expliqué qu'elle aurait été victime de viols commis par sa belle-mère lorsqu'elle était hébergée chez elle. La responsable éducative du foyer est également poursuivie pour des violences commises sur le fils de son ex-compagne qui était également mineur à l'époque. Au terme de sa mise en examen le 15 mars, l'employée du foyer a été placée sous contrôle judiciaire sans interdiction d'exercer.
Contactée, l'avocate de la mise en examen, Me Solène Rebeyrol, indique que sa cliente conteste les faits et qu'il "reste des points à éclaircir". Elle précise par ailleurs que "c'est dans le cadre de ce dossier que la présomption d'innocence prend tout son sens".
Après l'ouverture, le 15 mars dernier, d'une information judiciaire, la responsable éducative du centre d'hébergement d'urgence du foyer Pu O Te Hau de Pirae a été mise en examen pour viol et violences volontaires sur deux mineurs de moins de 15 ans. Les faits, niés par l'intéressé, auraient eu lieu en 2014 lorsqu'elle hébergeait sa compagne qui avait été auparavant accueillie au foyer car victime de violences conjugales. C'est la fille de cette dernière qui a récemment expliqué qu'elle aurait été victime de viols commis par sa belle-mère lorsqu'elle était hébergée chez elle. La responsable éducative du foyer est également poursuivie pour des violences commises sur le fils de son ex-compagne qui était également mineur à l'époque. Au terme de sa mise en examen le 15 mars, l'employée du foyer a été placée sous contrôle judiciaire sans interdiction d'exercer.
Contactée, l'avocate de la mise en examen, Me Solène Rebeyrol, indique que sa cliente conteste les faits et qu'il "reste des points à éclaircir". Elle précise par ailleurs que "c'est dans le cadre de ce dossier que la présomption d'innocence prend tout son sens".